S.A.S: Spec Ops
Par : TheBigBoss98
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Chapitre 3 : Quelques imprévus…
Publié le 12/07/10 à 21:21:02 par TheBigBoss98
Jenkins nous félicita et nous dit d’aller nous reposer dans nos dortoirs quand il fut interrompu par sa radio qui grésillait :
« Jenkins, situation d’urgence, rassemblez les S.A.S, ils ont une mission, terminé, ordonna la voix. »
Jenkins, le teint pâle nous dit d’aller mettre nos tenues et s’équiper à l’armurerie. En sortant du terrain d’entrainement, je remarquai la gravité de la situation : les hélicoptères décollaient et atterrissaient, des soldats couraient partout tandis que des supérieurs leur donnaient des ordres en criant. Je me faufilai parmi cette masse et arrivai enfin à l’armurerie. L’armurier me donna mon treillis de combat vert, un étui pour couteau de combat et l’objet qui va avec ainsi qu’un Five Seven et un G36C, tous deux équipés de silencieux.
Jenkins se mit debout sur une table à proximité de l’armurier et dit que tous les SAS devaient aller à la zone B-6. Je sortais puis suivais les autres SAS pour arriver au terrain. Nous traversâmes la base, passèrent un portail puis arrivâmes sur ce qui semblait la zone de départ pour les missions. John vint vers moi et me dit de le suivre, ce que je fis. Nous montâmes dans un CH-47 Chinook et ce n’est qu’une fois à l’intérieur que je pus m’apercevoir du remue-ménage qu’il y avait dans la base. Les officiers appelaient désespérément leurs soldats qui s’étaient perdus dans d’autres unités.
Parmi ce foutoir, un soldat foutait le bordel plus que d’autres : il portait dans chaque main une caisse contenant un missile Javelin, et il donnait malencontreusement des coups à ses camarades, qui répliquaient par une volée d’insultes à propos de lui et sa famille.
Je fus tiré de mes pensées par le pilote qui annonça le départ. La rampe se ferma, le moteur se mit en route et quelques secondes plus tard, je sentais que l’on quittait le sol. C’est à ce moment que je regardai attentivement ce qui m’entourait : nous étions une dizaine de soldats et partagions l’espace avec des caisses et une mitrailleuse, à l’arrière. Je remarquai que j’étais assis sur une boite contenant du C4. Je me levai aussi et m’asseyais un peu plus loin, après avoir vérifié que le siège était libre, gêné. Je regardai John , il n’avait pas l’air stressé et écoutait de la musique dans son iPod. Pourtant, je savais qu’il avait peur au fond de lui, après tout, celui qui n’a pas peur n’est pas humain. Le pilote annonça l’arrivée dans cinq heures. Un homme se leva et pris la parole :
« Voilà le briefing soldats : un vieil entrepôt nucléaire Russe a été attaqué par des terroristes, nous craignons qu’il ne soit désormais en leur contrôle. Le danger est grand, car les têtes nucléaires seraient activés et pourraient exploser. Je vous conseille de dormir et de manger, le voyage sera long et il faudra être en forme au combat. Bonne chance. »
Je m’endormais en craignant de mourir pendant mon sommeil, et le cœur serré en pensant à la prochaine bataille.
To be continued…
« Jenkins, situation d’urgence, rassemblez les S.A.S, ils ont une mission, terminé, ordonna la voix. »
Jenkins, le teint pâle nous dit d’aller mettre nos tenues et s’équiper à l’armurerie. En sortant du terrain d’entrainement, je remarquai la gravité de la situation : les hélicoptères décollaient et atterrissaient, des soldats couraient partout tandis que des supérieurs leur donnaient des ordres en criant. Je me faufilai parmi cette masse et arrivai enfin à l’armurerie. L’armurier me donna mon treillis de combat vert, un étui pour couteau de combat et l’objet qui va avec ainsi qu’un Five Seven et un G36C, tous deux équipés de silencieux.
Jenkins se mit debout sur une table à proximité de l’armurier et dit que tous les SAS devaient aller à la zone B-6. Je sortais puis suivais les autres SAS pour arriver au terrain. Nous traversâmes la base, passèrent un portail puis arrivâmes sur ce qui semblait la zone de départ pour les missions. John vint vers moi et me dit de le suivre, ce que je fis. Nous montâmes dans un CH-47 Chinook et ce n’est qu’une fois à l’intérieur que je pus m’apercevoir du remue-ménage qu’il y avait dans la base. Les officiers appelaient désespérément leurs soldats qui s’étaient perdus dans d’autres unités.
Parmi ce foutoir, un soldat foutait le bordel plus que d’autres : il portait dans chaque main une caisse contenant un missile Javelin, et il donnait malencontreusement des coups à ses camarades, qui répliquaient par une volée d’insultes à propos de lui et sa famille.
Je fus tiré de mes pensées par le pilote qui annonça le départ. La rampe se ferma, le moteur se mit en route et quelques secondes plus tard, je sentais que l’on quittait le sol. C’est à ce moment que je regardai attentivement ce qui m’entourait : nous étions une dizaine de soldats et partagions l’espace avec des caisses et une mitrailleuse, à l’arrière. Je remarquai que j’étais assis sur une boite contenant du C4. Je me levai aussi et m’asseyais un peu plus loin, après avoir vérifié que le siège était libre, gêné. Je regardai John , il n’avait pas l’air stressé et écoutait de la musique dans son iPod. Pourtant, je savais qu’il avait peur au fond de lui, après tout, celui qui n’a pas peur n’est pas humain. Le pilote annonça l’arrivée dans cinq heures. Un homme se leva et pris la parole :
« Voilà le briefing soldats : un vieil entrepôt nucléaire Russe a été attaqué par des terroristes, nous craignons qu’il ne soit désormais en leur contrôle. Le danger est grand, car les têtes nucléaires seraient activés et pourraient exploser. Je vous conseille de dormir et de manger, le voyage sera long et il faudra être en forme au combat. Bonne chance. »
Je m’endormais en craignant de mourir pendant mon sommeil, et le cœur serré en pensant à la prochaine bataille.
To be continued…
12/07/10 à 23:26:15
Je sais ce que vous avez tous avec les Sas mais... J'en ai marre
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