Mothership Zeta
Par : ponahoum
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 01/05/10 à 23:51:41 par ponahoum
27 avril 2034, vestige de l'aéroport de Chicago, transformé en QG de l’armée Américaine.
Quelle merde, je suis pris dans une embuscade, je sens que je vais y rester. Les balles sifflent, c'est irréel, je ne pourrai certainement pas m'en sortir cette fois, je suis seul. Oui, seul face à ce monde noir et obscur, corrompu par le pouvoir et l’argent. Un monde qui a bien changé depuis que des missiles ont éclaté sur Washington, laissant derrière eux un monde de dévastation et de désolation. Vous ne pouvez comprendre ce qu'il s'est réellement passé, pour se faire il faudrait remonter deux semaines auparavant…
20 avril 2034, Maison blanche.
« Sergent Peterssen, 22ieme régiment sniper, au rapport mon général !
- Repos Sergent. Je veux un rapport détaillé sur votre expédition dans le secteur A456 ! »
-Pour tout dire...Durant la patrouille de 12h30, nous nous sommes frotté à deux escouades ennemies armées jusqu’aux dents. Il a fallu ruser pour pouvoir nous en tirer, tous les hommes y sont passé. Enfin...presque. Le caporal Mathew et moi-même sommes les deux seuls survivants.»
-Peterssen, vous méritez bien quelques jours de mise à pied après ce que vous venez de faire pour cette nation. »
Cette mission que l’on m'avait confié fut une belle promotion. Du rang de simple caporal, je fus promu au grade de sergent. Je l’avais tout de même bien mérité, en empêchant un attentat sur le Général . J’avais mis quelques secondes à débusquer le tireur planqué. A ce moment j'eus juste le temps de sortir mon Desert Eagle et de tirer brusquement en donnant une direction à ma balle, afin qu’elle aille se loger dans sa jambe, le faisant ainsi tomber du toit. Il vint s'écraser aux pieds de l’immeuble, la colonne brisé, crachant son sang. J'abrégeai ses souffrances.
J’étais dévoué pour mon armée, il faut dire qu’en ces temps-là, le moral des troupes n’était pas au plus haut. La corruption envahissait les esprits petit à petit, pour finir par assombrir le coeur des Hommes, chose qui ne m'échappait pas. Je sentais que cette corruption ne me touchait pas, j’étais le seul être humain sur qui on pouvait avoir confiance, la dernière lueur d’espoir en ce monde.
En effet, après que ces nombreuses bombes eurent défiguré Washington, les raclures du gouvernement allèrent se terrer dans des bunkers surprotégés et inaccessibles, complotant les uns avec les autres, retournant leur veste pour un oui comme pour un non. Le chaos régnait sur Terre, les gravas d’immeuble dévastés s'amoncelaient dans les rues. Des rues peuplées de rats, de personnes au visage fondu dû aux radiations de ces bombes, sans oublier ces rôdeurs des villes, anthropophages qui s'étaient décidés à faire régner la terreur auprès des rescapés sortis tout droit de villes bâties avec des tôles. Ces villes gigantesques grouillaient de vivants comme de morts. Les battisses, aussi sales que minables à nos yeux, formaient des espèces de bidonvilles faites avec trois bouts de bois et de la ficelle. Cela me faisait mal au coeur de voir que des gens habitaient dans ces taudis.
Le pire étant qu'en plus de batailler pour rester en vie dans ces carcasses qui leur servaient de toit, ils devaient toujours et sans cesse faire face aux raids des infâmes Loubards que les bombes avaient engendré. On les surnommait les Raideurs. J'avais eu à faire à eux pendant une mission de pacification. Ces "combattants" avaient une hargne sans pareil pour pouvoir pénétrer dans la ville, violer les femmes est les enfants, garder les hommes comme esclaves, voir même organiser de grands massacres en "famille" puis tranquillement vider chaque garde-manger souvent emplis de plats infâmes que seuls ces populations pouvaient avaler. Cela variait, on pouvait trouver de l'urine en boisson de table ou des viandes de rat mort dans je ne sais quelle circonstance.
Il n'y avait plus rien sur cette terre qui faisait penser a l'avant guerre. Ces bandits des rues n'avaient plus peur du mot Marines et les populations nous crachaient au visage alors qu'on leur empêchait peut être de se faire tuer et violer. Bref, le respect avait été supprimé de leur langage, ce monde sans foi ni loi ne faisait plus peur au ménages, qui continuaient toujours d'avoir des enfants. Les villes grandissaient et les enfants avaient deux voies possibles : la violence en s'engageant dans l'armé ou dans le raid, ou alors rester dans ces villes et peut-être mourir. Ils choisissaient souvent la voie de la violence sans aucun état d'âme, et malheureusement pour nous celle des raids. Tuer leurs parents, ceux qui les avaient mis au monde, les faisait sourire, comme si c'était devenu quelque chose de normal dans la société actuelle.
J'entrais dans le bâtiment où j’étais logé "grâce" à l'Etat-Major, ma famille étant morte suite à un raid dévastateur, et ma maison ayant été détruite et explosée en mille morceaux par du C4 posé dans le village par des raideur. Il ne me restait plus rien sur cette terre, mais cela ne m'ôtait pas l’envie de faire le bien autour de moi. Vouloir que le bien triomphe du mal encore et toujours est ce qui me permis d'éviter des pertes considérable. Pour moi une défaite était inconcevable, la victoire n’était pas qu’une formalité, c’était une obligation, quitte à me faire exploser la tronche par une balle filante à plus de 500 m/s, de toute façon je n'avais plus rien à perdre.
Quelle merde, je suis pris dans une embuscade, je sens que je vais y rester. Les balles sifflent, c'est irréel, je ne pourrai certainement pas m'en sortir cette fois, je suis seul. Oui, seul face à ce monde noir et obscur, corrompu par le pouvoir et l’argent. Un monde qui a bien changé depuis que des missiles ont éclaté sur Washington, laissant derrière eux un monde de dévastation et de désolation. Vous ne pouvez comprendre ce qu'il s'est réellement passé, pour se faire il faudrait remonter deux semaines auparavant…
20 avril 2034, Maison blanche.
« Sergent Peterssen, 22ieme régiment sniper, au rapport mon général !
- Repos Sergent. Je veux un rapport détaillé sur votre expédition dans le secteur A456 ! »
-Pour tout dire...Durant la patrouille de 12h30, nous nous sommes frotté à deux escouades ennemies armées jusqu’aux dents. Il a fallu ruser pour pouvoir nous en tirer, tous les hommes y sont passé. Enfin...presque. Le caporal Mathew et moi-même sommes les deux seuls survivants.»
-Peterssen, vous méritez bien quelques jours de mise à pied après ce que vous venez de faire pour cette nation. »
Cette mission que l’on m'avait confié fut une belle promotion. Du rang de simple caporal, je fus promu au grade de sergent. Je l’avais tout de même bien mérité, en empêchant un attentat sur le Général . J’avais mis quelques secondes à débusquer le tireur planqué. A ce moment j'eus juste le temps de sortir mon Desert Eagle et de tirer brusquement en donnant une direction à ma balle, afin qu’elle aille se loger dans sa jambe, le faisant ainsi tomber du toit. Il vint s'écraser aux pieds de l’immeuble, la colonne brisé, crachant son sang. J'abrégeai ses souffrances.
J’étais dévoué pour mon armée, il faut dire qu’en ces temps-là, le moral des troupes n’était pas au plus haut. La corruption envahissait les esprits petit à petit, pour finir par assombrir le coeur des Hommes, chose qui ne m'échappait pas. Je sentais que cette corruption ne me touchait pas, j’étais le seul être humain sur qui on pouvait avoir confiance, la dernière lueur d’espoir en ce monde.
En effet, après que ces nombreuses bombes eurent défiguré Washington, les raclures du gouvernement allèrent se terrer dans des bunkers surprotégés et inaccessibles, complotant les uns avec les autres, retournant leur veste pour un oui comme pour un non. Le chaos régnait sur Terre, les gravas d’immeuble dévastés s'amoncelaient dans les rues. Des rues peuplées de rats, de personnes au visage fondu dû aux radiations de ces bombes, sans oublier ces rôdeurs des villes, anthropophages qui s'étaient décidés à faire régner la terreur auprès des rescapés sortis tout droit de villes bâties avec des tôles. Ces villes gigantesques grouillaient de vivants comme de morts. Les battisses, aussi sales que minables à nos yeux, formaient des espèces de bidonvilles faites avec trois bouts de bois et de la ficelle. Cela me faisait mal au coeur de voir que des gens habitaient dans ces taudis.
Le pire étant qu'en plus de batailler pour rester en vie dans ces carcasses qui leur servaient de toit, ils devaient toujours et sans cesse faire face aux raids des infâmes Loubards que les bombes avaient engendré. On les surnommait les Raideurs. J'avais eu à faire à eux pendant une mission de pacification. Ces "combattants" avaient une hargne sans pareil pour pouvoir pénétrer dans la ville, violer les femmes est les enfants, garder les hommes comme esclaves, voir même organiser de grands massacres en "famille" puis tranquillement vider chaque garde-manger souvent emplis de plats infâmes que seuls ces populations pouvaient avaler. Cela variait, on pouvait trouver de l'urine en boisson de table ou des viandes de rat mort dans je ne sais quelle circonstance.
Il n'y avait plus rien sur cette terre qui faisait penser a l'avant guerre. Ces bandits des rues n'avaient plus peur du mot Marines et les populations nous crachaient au visage alors qu'on leur empêchait peut être de se faire tuer et violer. Bref, le respect avait été supprimé de leur langage, ce monde sans foi ni loi ne faisait plus peur au ménages, qui continuaient toujours d'avoir des enfants. Les villes grandissaient et les enfants avaient deux voies possibles : la violence en s'engageant dans l'armé ou dans le raid, ou alors rester dans ces villes et peut-être mourir. Ils choisissaient souvent la voie de la violence sans aucun état d'âme, et malheureusement pour nous celle des raids. Tuer leurs parents, ceux qui les avaient mis au monde, les faisait sourire, comme si c'était devenu quelque chose de normal dans la société actuelle.
J'entrais dans le bâtiment où j’étais logé "grâce" à l'Etat-Major, ma famille étant morte suite à un raid dévastateur, et ma maison ayant été détruite et explosée en mille morceaux par du C4 posé dans le village par des raideur. Il ne me restait plus rien sur cette terre, mais cela ne m'ôtait pas l’envie de faire le bien autour de moi. Vouloir que le bien triomphe du mal encore et toujours est ce qui me permis d'éviter des pertes considérable. Pour moi une défaite était inconcevable, la victoire n’était pas qu’une formalité, c’était une obligation, quitte à me faire exploser la tronche par une balle filante à plus de 500 m/s, de toute façon je n'avais plus rien à perdre.
02/05/10 à 01:27:58
1) Tu sembles avoir beaucoup de difficulté avec les participes passés.
2) L'histoire, pour l'instant, semble bien partie, mais beaucoup trop clichée. Évidemment, j'attends la sweet pour en juger.
02/05/10 à 00:36:18
Mais non, pas de plagiat. A mon avis, c'est juste quelques bonnes idées empruntées. Pas super original de reprendre le nom...mais bon.
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