Les chroniques du temps
Par : jonyfic
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 17/06/10 à 12:56:05 par jonyfic
Je pris Ray sous l'épaule. Il était abattu, incapable de marcher. Je le trainai derrière moi, il était inerte, les larmes aux yeux. Je le trainais, tel un tronc d'arbre ou un quelconque objet sans âme. Derrière nous, il y avait deux sciage parallèle laissé par les chaussure de Ray. Ce fut légèrement plus dur pour monter ses escaliers, juste devant sa porte, mais pas insurmontable. J'ouvris lentement la porte de sa maison, et je le posa sur un chaise. Je me retourna et appuya sur interrupteur. "Et que la lumière soit !". J'allais ensuite à dans la cuisine chercher deux vers d'eau, et une serviette. Le premier vers d'eau, je lui versai sur le visage, histoire de le faire réagir, le second, je lui mis entre les mains et je lui essuyai le tête avec la serviette. Il tremblai. Il bu tant bien que mal quelques gorgés puis se mit à répéter quelques mots. En boucle, toujours les mêmes. Il tremblotait, et se balançait d'avant en arrière.
-C'était Dans mon jardin... Comment ils ont fait ? Comment ils ont fait ?!
-Hey, calme toi lui ds-je, c'est qu'une météorite...
C'est alors à ce moment qu'il du reprendre ses esprits, car il m'agrippa par le col et me dit
-Qu'un météorite, UN SIMPLE MÉTÉORITE ? J'ai attendu se moment toute ma vie !
-Calme toi s'il te plait. Il doit y avoir une explication ...
-Quel explication ? Je viens de perdre l'occasion de ma vie !
Il se rassit, mis ses mains sur son visage, et se mit à pleurer. Je m'approchais de lui, pour le consoler, il me signe de m'en aller.
-Ça va aller, lui demandais-je.
-Oui, oui, me dit-il, en sanglotant.
Je rentrai donc chez moi, le sentiment d'avoir raté quelque chose, d'avoir perdu mon temps, et surtout, le sentiment d'avoir laissé un ami seul, dans le besoin...
Le lendemain, la journée reprit son cour normale, enfin, c'est ce que je pensai. C'est la première fois que je me lève, que je prends une douche, et que l'eau est enfin chaude. D'ailleurs, c'est pas normale. Je descends pour appeler ma fille. Pas de réponse, une maison vide. Ce n'est pas son genre de partir en avance... Il faut bien que le monde change. Et moi avec. Comme d'habitude, je prends mon café, face à la fenêtre, et j'observe l'horizon. Jusqu'à ce que mon téléphone sonne. Mais cette fois si, je n'hésitais pas une seul seconde avant de répondre.
-Allo ? Ray ?
-Oui Jeff, c'est moi, me dit-il, d'une voie, lente, et monotone. Il ne devait pas s'être totalement remis de ses émotions.
-Ecoute Ray je, euh...
-Nan, Jeff, c'est moi, je suis désolé pour hier. Je sais pas ce qui m'a pris, je ...
-T'inquiète vieux, t'es pardonné.
-Bon, j'appelle juste pour dire, qu'il y a une seconde météorite, à 20 Km cette fois si.
-A quoi bon ? Elle sera plus là à notre arrivé...
-C'est toi qui voit, vieux.
Et il raccrocha. C'est vrai, à quoi bon y aller, si la météorite sera réquisitionné par l'observatoire, pas le labo, par la NASA par quelqu'un avant nous, ou elle ne sera plus là à notre arrivé... Mais je ne pouvais pas faire ça à Ray. C'est mon meilleur ami... Je pris les clefs de la voiture et me dirigeait vers la porte. Je l'ouvris, puis jeta un dernier coup d'½il à l'intérieur de la maison. Vous savez, ce dernier coup d'½il, celui interminable, ou vous scrutez chaque recoin de la pièce pour voir si vous n'avez rien oubliez, mais à chaque fois, c'est pareille, vous n'avez rien oublié... C'était juste pour vous rassurez, pour vous mettre en confiance. Cette fois si, je n'étais vraiment pas pressé. Je pris le temps d'appeler mon chien, Toufi. Ce brave golden retriever, fidèle. Mais à chaque fois que je le regardai, il me rappelait que rien en ce monde n'est éternelle.
Je ne sautai pas dans ma voiture cette fois si, j'ouvris normalement la porte. Je mis le contacte, mais je roulai à la vitesse autorisé, voir moins, beaucoup moins. Comme si, instinctivement, je ne voulais pas arrivé à destination.
Et finalement, j'arrivai à destination. C'était un grand bois, une forêt. On avait l'habitude, Ray et moi, de venir jouer ici, quand on étaient plus jeune. Je m'avançai, puis m'enfonçai de plus en plus dans les bois.
-RAY ! RAY ! T'es où ? Aucune réponse.
-Ce grand gamin, il me fait encore une blague, c'est pas possible.
Mais, astucieux que je suis, je décidai de le prendre pas surprise. Je sorti donc mon portable pour l'appeler. J'entendis sa sonnerie. Du Wagner. Depuis le temps que je lui dis de la changer. Je laissai sonner, et je m'avançai en sa direction. Je pouvais maintenant entendre distinctement le son du mobile. Il était sous mes pieds.
-Merde, il l'a perdu. Quel idiot quand même.
Mais alors que je me baissai pour le ramasser, quelque chose d'autre attira mon attention. Une météorite de la taille d'un camion ! Je levai les yeux, impressionné, non pas par sa taille, mais par celui de son cratère, inexistant. Je m'approchais du caillou spatiale. C'est comme s'il m'attirai. Je posais donc ma main dessus, pour en comprendre sa structure. Mais c'est alors qu'une étrange sensation m'envahis. C'était un force qui me pénétra, au plus profond de mon être. Ma vu se troubla, et laissa place à des faisceaux de lumière parallèle. Je voulu voir le reste, mais la lumière devint trop intense.
Quand j'ouvris les yeux, tous revint lentement. Quelque chose de familier. J'étais sur une banquète. Mais j'avais une ceinture. Quand je retrouva la totalité de mes facultés d'observations, je compris vite ou j'étais. Dans un taxi. Je regardai autour de moi, par la fenêtre, je connaissais cet endroit, j'étais déjà venu.
Je décidais donc, bien que la situation soit des plus étrange, de parler au chauffeur.
-Euh, excusez moi, mais, euh, ou sommes nous ?
-Ha ! Té un vré pomé me dit le chauffeur, surement émigré, avec son accent mexicain.
-No some a nou horque.
-Hein quoi ? Mettez la radio s'il vous plait.
-Cé vo qui vouhahé
Le chauffeur tourna le bouton de la radio, et mit une station, au pif. C'était deux personnes, deux présentateurs qui parlaient entre eux, quand l'un dit :
"Et c'est un magnifique journée que nous avons aujourd'hui à New York, en ce 11 septembre 2001"
-C'était Dans mon jardin... Comment ils ont fait ? Comment ils ont fait ?!
-Hey, calme toi lui ds-je, c'est qu'une météorite...
C'est alors à ce moment qu'il du reprendre ses esprits, car il m'agrippa par le col et me dit
-Qu'un météorite, UN SIMPLE MÉTÉORITE ? J'ai attendu se moment toute ma vie !
-Calme toi s'il te plait. Il doit y avoir une explication ...
-Quel explication ? Je viens de perdre l'occasion de ma vie !
Il se rassit, mis ses mains sur son visage, et se mit à pleurer. Je m'approchais de lui, pour le consoler, il me signe de m'en aller.
-Ça va aller, lui demandais-je.
-Oui, oui, me dit-il, en sanglotant.
Je rentrai donc chez moi, le sentiment d'avoir raté quelque chose, d'avoir perdu mon temps, et surtout, le sentiment d'avoir laissé un ami seul, dans le besoin...
Le lendemain, la journée reprit son cour normale, enfin, c'est ce que je pensai. C'est la première fois que je me lève, que je prends une douche, et que l'eau est enfin chaude. D'ailleurs, c'est pas normale. Je descends pour appeler ma fille. Pas de réponse, une maison vide. Ce n'est pas son genre de partir en avance... Il faut bien que le monde change. Et moi avec. Comme d'habitude, je prends mon café, face à la fenêtre, et j'observe l'horizon. Jusqu'à ce que mon téléphone sonne. Mais cette fois si, je n'hésitais pas une seul seconde avant de répondre.
-Allo ? Ray ?
-Oui Jeff, c'est moi, me dit-il, d'une voie, lente, et monotone. Il ne devait pas s'être totalement remis de ses émotions.
-Ecoute Ray je, euh...
-Nan, Jeff, c'est moi, je suis désolé pour hier. Je sais pas ce qui m'a pris, je ...
-T'inquiète vieux, t'es pardonné.
-Bon, j'appelle juste pour dire, qu'il y a une seconde météorite, à 20 Km cette fois si.
-A quoi bon ? Elle sera plus là à notre arrivé...
-C'est toi qui voit, vieux.
Et il raccrocha. C'est vrai, à quoi bon y aller, si la météorite sera réquisitionné par l'observatoire, pas le labo, par la NASA par quelqu'un avant nous, ou elle ne sera plus là à notre arrivé... Mais je ne pouvais pas faire ça à Ray. C'est mon meilleur ami... Je pris les clefs de la voiture et me dirigeait vers la porte. Je l'ouvris, puis jeta un dernier coup d'½il à l'intérieur de la maison. Vous savez, ce dernier coup d'½il, celui interminable, ou vous scrutez chaque recoin de la pièce pour voir si vous n'avez rien oubliez, mais à chaque fois, c'est pareille, vous n'avez rien oublié... C'était juste pour vous rassurez, pour vous mettre en confiance. Cette fois si, je n'étais vraiment pas pressé. Je pris le temps d'appeler mon chien, Toufi. Ce brave golden retriever, fidèle. Mais à chaque fois que je le regardai, il me rappelait que rien en ce monde n'est éternelle.
Je ne sautai pas dans ma voiture cette fois si, j'ouvris normalement la porte. Je mis le contacte, mais je roulai à la vitesse autorisé, voir moins, beaucoup moins. Comme si, instinctivement, je ne voulais pas arrivé à destination.
Et finalement, j'arrivai à destination. C'était un grand bois, une forêt. On avait l'habitude, Ray et moi, de venir jouer ici, quand on étaient plus jeune. Je m'avançai, puis m'enfonçai de plus en plus dans les bois.
-RAY ! RAY ! T'es où ? Aucune réponse.
-Ce grand gamin, il me fait encore une blague, c'est pas possible.
Mais, astucieux que je suis, je décidai de le prendre pas surprise. Je sorti donc mon portable pour l'appeler. J'entendis sa sonnerie. Du Wagner. Depuis le temps que je lui dis de la changer. Je laissai sonner, et je m'avançai en sa direction. Je pouvais maintenant entendre distinctement le son du mobile. Il était sous mes pieds.
-Merde, il l'a perdu. Quel idiot quand même.
Mais alors que je me baissai pour le ramasser, quelque chose d'autre attira mon attention. Une météorite de la taille d'un camion ! Je levai les yeux, impressionné, non pas par sa taille, mais par celui de son cratère, inexistant. Je m'approchais du caillou spatiale. C'est comme s'il m'attirai. Je posais donc ma main dessus, pour en comprendre sa structure. Mais c'est alors qu'une étrange sensation m'envahis. C'était un force qui me pénétra, au plus profond de mon être. Ma vu se troubla, et laissa place à des faisceaux de lumière parallèle. Je voulu voir le reste, mais la lumière devint trop intense.
Quand j'ouvris les yeux, tous revint lentement. Quelque chose de familier. J'étais sur une banquète. Mais j'avais une ceinture. Quand je retrouva la totalité de mes facultés d'observations, je compris vite ou j'étais. Dans un taxi. Je regardai autour de moi, par la fenêtre, je connaissais cet endroit, j'étais déjà venu.
Je décidais donc, bien que la situation soit des plus étrange, de parler au chauffeur.
-Euh, excusez moi, mais, euh, ou sommes nous ?
-Ha ! Té un vré pomé me dit le chauffeur, surement émigré, avec son accent mexicain.
-No some a nou horque.
-Hein quoi ? Mettez la radio s'il vous plait.
-Cé vo qui vouhahé
Le chauffeur tourna le bouton de la radio, et mit une station, au pif. C'était deux personnes, deux présentateurs qui parlaient entre eux, quand l'un dit :
"Et c'est un magnifique journée que nous avons aujourd'hui à New York, en ce 11 septembre 2001"
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