Histoire d'un anonyme héroïque
Par : Hart_MGO
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 01/05/10 à 11:17:23 par Hart_MGO
Chapitre 2
Cela fait deux jours que les navettes sont parties. Je me nomme Josh Miller, officier en second sur la navette New Hope. Nous avons accueillis dans cette navette la moitié des personnes prévues pour l'opération 'survie raciale'. C'est une opération secrète. Aucun des passagers ne savent se qui les attendent, ni même ce qui se passe. Tous ignorent où nous allons, et ce pourquoi ils ont été choisis. Le pire, c'est qu'ils ne se posent même pas de questions. Je passe une heure à déambuler dans les couloirs, saluant les passagers d'un signe de tête, qu'ils me rendent. J'en aide certains à se repérer. La routine. Mais bientôt arrive le moment le plus désagréable de la journée, le soir. C'est le seul moment qui me fait regretter d'être en vie. Chaque nuit, le même cauchemar.
«Ici le général Cliver. A toutes les unités en patrouille, on nous signal une horde de pillards en véhicules non protégés dans la zone des civils. Ils se déplacent à grande vitesse, alors dépêchez-vous!!»
Alarme habituelle, message habituel. Cela fait deux jours que nous diffusons le même message non-stop sur toutes les fréquences. Il y a beaucoup trop de monde ici qui ne partiront pas, qu'à chaque fois que je les regarde, je me dis que nous ferions mieux de tous mourir ensemble sur cette planète. Si seulement c'était les méritants qui partaient. Tien, un détail inhabituel. Ce groupe de pillards a un tireur d'élite, et très bon. J'épaule mon fusil,et quand j'aperçois son visage, je ne peux m'empêcher de penser à mon fils qui devrait avoir le même âge que lui, c'est-à-dire dix-sept ans. Il est mort avec ma femme quand notre maison à brûlée; Fuite de gaz, qu'ils m'ont dit, quand je suis revenu de mission. C'est après ça que je suis devenu tireur d'élite. Je ne voulais plus voir ces foutus terroristes arriver assez près de nos hommes, ou de civils. Bon sang, je ne vais quand même pas tuer un gosse. Mais il tue tout ce qu'il voit,et il a un très bonne vue. Je charge, et tire. Mais je n'ai pas pu, je ne pourrais jamais. Je l'ai touché à l'épaule. Il se vide de son sang, on dirait. Il se retourne. Tue un homme derrière lui. Et là, j'aperçois sur son cou une tache qui m'est familière, et pour cause, je porte la même. Je m'effondre, je délire. Mon fils est bien mort dans un accident, on m'a dit que deux corps avaient été retrouvés. Et pourtant. A chaque fois que je me réveille, la voix de mon fils retentit (c'est toi, papa, qui avait raison).
Cela fait deux jours que les navettes sont parties. Je me nomme Josh Miller, officier en second sur la navette New Hope. Nous avons accueillis dans cette navette la moitié des personnes prévues pour l'opération 'survie raciale'. C'est une opération secrète. Aucun des passagers ne savent se qui les attendent, ni même ce qui se passe. Tous ignorent où nous allons, et ce pourquoi ils ont été choisis. Le pire, c'est qu'ils ne se posent même pas de questions. Je passe une heure à déambuler dans les couloirs, saluant les passagers d'un signe de tête, qu'ils me rendent. J'en aide certains à se repérer. La routine. Mais bientôt arrive le moment le plus désagréable de la journée, le soir. C'est le seul moment qui me fait regretter d'être en vie. Chaque nuit, le même cauchemar.
«Ici le général Cliver. A toutes les unités en patrouille, on nous signal une horde de pillards en véhicules non protégés dans la zone des civils. Ils se déplacent à grande vitesse, alors dépêchez-vous!!»
Alarme habituelle, message habituel. Cela fait deux jours que nous diffusons le même message non-stop sur toutes les fréquences. Il y a beaucoup trop de monde ici qui ne partiront pas, qu'à chaque fois que je les regarde, je me dis que nous ferions mieux de tous mourir ensemble sur cette planète. Si seulement c'était les méritants qui partaient. Tien, un détail inhabituel. Ce groupe de pillards a un tireur d'élite, et très bon. J'épaule mon fusil,et quand j'aperçois son visage, je ne peux m'empêcher de penser à mon fils qui devrait avoir le même âge que lui, c'est-à-dire dix-sept ans. Il est mort avec ma femme quand notre maison à brûlée; Fuite de gaz, qu'ils m'ont dit, quand je suis revenu de mission. C'est après ça que je suis devenu tireur d'élite. Je ne voulais plus voir ces foutus terroristes arriver assez près de nos hommes, ou de civils. Bon sang, je ne vais quand même pas tuer un gosse. Mais il tue tout ce qu'il voit,et il a un très bonne vue. Je charge, et tire. Mais je n'ai pas pu, je ne pourrais jamais. Je l'ai touché à l'épaule. Il se vide de son sang, on dirait. Il se retourne. Tue un homme derrière lui. Et là, j'aperçois sur son cou une tache qui m'est familière, et pour cause, je porte la même. Je m'effondre, je délire. Mon fils est bien mort dans un accident, on m'a dit que deux corps avaient été retrouvés. Et pourtant. A chaque fois que je me réveille, la voix de mon fils retentit (c'est toi, papa, qui avait raison).
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