Le jour J arriva bien vite. Le matin même, Johnny se leva à 6h du matin, bien qu'il dut se retrouver au Lycée à 8 heures.

Arrivé au Lycée, Johnny dit bonjour à Jordan, appela son papa et sa maman et emmena ses affaires, dans lesquelles la petite sacoche contenant le costume et tout le reste. Il y avait une grande impression d'excitation qui se dégageait des élèves. Deux heures durant lesquelles Johnny alla boire un verre avec Jordan.
- Qu'as-tu pensé d'Alice au pays des merveilles ?
- Bof, ils auraient pu mieux faire.
- tu rigoles ?
- Un peu déçu...
- Franchement toi...
La conversation qui suivit fut passionnante, comme vous n'en doutez pas

9h, un rassemblement expliquant ce qu'il faudrait faire là-bas, ce qu'ils allaient visiter, faire, où ils allaient dormir, manger etc... ils seraient donc accueilli par John Mandell, celui qui se chargerait de la sortie du point de vue américain et qui amènerait l'an prochain des américains de son Lycée lui aussi.
Il fallait aussi aller changer la monnaie.
Bref, midi sonna.

C'était l'heure des préparatifs.
Johnny s'adressa alors à Jordan:
- Hé, tu veux pas bouffer ?
- Non merci j'ai un sandwich je boufferai dans l'avion
- Ok comme tu veux (ah ok le cassos)

13h, l'heure de partir !!!
En raison du nombre d'élèves il y aurait deux avions (tous les lycéens y vont ou presque).
Quel manque de chance, Johnny qui croyait qu'il y avait plus d'élève se retrouva être le seul à embarquer dans le deuxième avion avec Jordan, quand soudain celui qui se chargeait de la répartition des élèves dit à voix haute qu'il manquait quelqu'un pour monter.
Maria, au grand étonnement de tout le monde et surtout de Quentin, accepta d'y aller.
Le voyage s'annonçait bien pensa Johnny :)

13h30, ils avaient embarqué, l'avion décolla.
Jordan mangeait silencieusement, Johnny lisait une BD en jetant de temps à autres quelques petits coups d'oeil à maria, qui regardait par la fenêtre d'un air passablement énervée...


Sweet tout à l'heure, le chapître sera modifié, je suis obligé de partir précipitemment juste au moment où il allait avoir de l'action