Une vie, Une fille, Un changement.
Par : S-Turindo
Genre : Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 20
Publié le 29/01/10 à 16:24:07 par S-Turindo
Je n'avais pas prévue de la revoir si rapidement après ce qui venais de ce passer, à croire que les choses en avaient décidé autrement.
Coralie referma la porte doucement, puis vint prêt de moi, elle s'assit alors sur le lit. Et me regarda, sans dire un seul mot. Me concernant, j'étais toujours à la fenêtre, entrain de fumer.
Je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire, pour être franc j'attends que ce soit elle qui prenne la parole, cela m'évitera de devoir chercher un quelconque sujet de conversation, parce que la tout de suite je n'ai vraiment pas la tête à ça, non vraiment pas.
Le silence est enfin rompu.
-C'est pas bien de fumer, délinquant.
-Ouai j'sais, j'suis trop un fou moi.
-Tss banane va.
-Patate.
-Tu fumes beaucoup ?
-Non ça va, j'suis pas dépendant.
-Ah bon ? Pourtant à cet âge la on est dépendant nan ?
-Nan, c'est des conneries, à l'adolescence, si tu veux arrêté de fumer, tu arêtes, il te suffit d'avoir la volonté, mais le plus souvent les gens ne l'ont pas, ou alors ils ne veulent tout simplement pas s'arrêter, alors il te dise qu'il sont trop dépendant, mais c'est des conneries. Tu peux parlé de réelle dépendance que lorsque que ça fait genre 20 ans que tu fumes, pas avant.
-Ah d'accord. :)
Je fini ma clope puis me retourne, je la regarde, ses yeux sont encore un peu brillant, j'ai envie de me jeter dans ses bras. Tellement envie.
-Damien je voulais te dire..concernant tout à l'heure..
-Hmm.. oui ?
-Bah.. merci beaucoup.. sans toi je ne sais pas ce que j'aurai fait..
-Ne me remercie pas attends c'est normal.. ce connard la..
Elle me fait un sourire, j'ai du mal à lui rendre, j'ai mal au coeur de ne pas pouvoir la serré contre moi, mais je me force et je parviens à lui rendre.
-Merci, c'est tout.
Elle se lève puis s'avance vers, moi, elle me regarde et reste immobile.
Son regard me trouble encore une fois, elle se tiens la, à un mètre de moi, j'aimerai tellement certaines fois que les choses puisses être simples, comme on le souhaiterai, que l'angoisse et le stress ne soit que des détails des illusions de la poussière, que nos peurs soient inexistantes, que le bonheur puisse être à porté de nos bras, j'aimerai tellement lui avouer mes sentiments, et que cela soit réciproque. j'aimerai, oui encore et toujours, j'aimerai.
Coralie se rapproche de moi, cette fois elle est contre moi, elle m'embrasse sur la joue, puis se retourne et s'en va.
Je n'ai rien compris, c'est à peine si je réalise ce qu'il viens de se passer.
En quelque seconde c'est comme si j'avais respiré comme un fou dans un masque à oxygène, comme si une rafale de vent m'avais emporté, un vent de bonheur de joie, de vie. Son " bisou " m'a fait l'effet d'une bombe. Je l'aime je l'aime à mourir c'est atroce.. la porte se referme, reviens Coralie, reviens ne me laisse pas j'ai besoin de toi, je t'en prie ne me laisse pas seul.; Coralie je t'aime..
Les mots ne sortent pas.
Il est 3h du matin, je jette un œil par la fenêtre, et aperçoit quelques personnes qui partent, la fête se termine bientôt je pense, qu'importe, il faut que je retourne dans le salon maintenant, pour aller voir Anthony, mais surtout pour la revoir elle.
Coralie referma la porte doucement, puis vint prêt de moi, elle s'assit alors sur le lit. Et me regarda, sans dire un seul mot. Me concernant, j'étais toujours à la fenêtre, entrain de fumer.
Je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire, pour être franc j'attends que ce soit elle qui prenne la parole, cela m'évitera de devoir chercher un quelconque sujet de conversation, parce que la tout de suite je n'ai vraiment pas la tête à ça, non vraiment pas.
Le silence est enfin rompu.
-C'est pas bien de fumer, délinquant.
-Ouai j'sais, j'suis trop un fou moi.
-Tss banane va.
-Patate.
-Tu fumes beaucoup ?
-Non ça va, j'suis pas dépendant.
-Ah bon ? Pourtant à cet âge la on est dépendant nan ?
-Nan, c'est des conneries, à l'adolescence, si tu veux arrêté de fumer, tu arêtes, il te suffit d'avoir la volonté, mais le plus souvent les gens ne l'ont pas, ou alors ils ne veulent tout simplement pas s'arrêter, alors il te dise qu'il sont trop dépendant, mais c'est des conneries. Tu peux parlé de réelle dépendance que lorsque que ça fait genre 20 ans que tu fumes, pas avant.
-Ah d'accord. :)
Je fini ma clope puis me retourne, je la regarde, ses yeux sont encore un peu brillant, j'ai envie de me jeter dans ses bras. Tellement envie.
-Damien je voulais te dire..concernant tout à l'heure..
-Hmm.. oui ?
-Bah.. merci beaucoup.. sans toi je ne sais pas ce que j'aurai fait..
-Ne me remercie pas attends c'est normal.. ce connard la..
Elle me fait un sourire, j'ai du mal à lui rendre, j'ai mal au coeur de ne pas pouvoir la serré contre moi, mais je me force et je parviens à lui rendre.
-Merci, c'est tout.
Elle se lève puis s'avance vers, moi, elle me regarde et reste immobile.
Son regard me trouble encore une fois, elle se tiens la, à un mètre de moi, j'aimerai tellement certaines fois que les choses puisses être simples, comme on le souhaiterai, que l'angoisse et le stress ne soit que des détails des illusions de la poussière, que nos peurs soient inexistantes, que le bonheur puisse être à porté de nos bras, j'aimerai tellement lui avouer mes sentiments, et que cela soit réciproque. j'aimerai, oui encore et toujours, j'aimerai.
Coralie se rapproche de moi, cette fois elle est contre moi, elle m'embrasse sur la joue, puis se retourne et s'en va.
Je n'ai rien compris, c'est à peine si je réalise ce qu'il viens de se passer.
En quelque seconde c'est comme si j'avais respiré comme un fou dans un masque à oxygène, comme si une rafale de vent m'avais emporté, un vent de bonheur de joie, de vie. Son " bisou " m'a fait l'effet d'une bombe. Je l'aime je l'aime à mourir c'est atroce.. la porte se referme, reviens Coralie, reviens ne me laisse pas j'ai besoin de toi, je t'en prie ne me laisse pas seul.; Coralie je t'aime..
Les mots ne sortent pas.
Il est 3h du matin, je jette un œil par la fenêtre, et aperçoit quelques personnes qui partent, la fête se termine bientôt je pense, qu'importe, il faut que je retourne dans le salon maintenant, pour aller voir Anthony, mais surtout pour la revoir elle.
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