et voilà un autre chap, un peu court mais bon. bonne lecture en tout cas.
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Le lendemain.

« -Les trois professeurs ont fait part au bureau du Vatican qu’ils étaient contre la poursuite des recherches et ont décidé d’abandonner leurs travaux.
- mais ce n’est pas possible…. Je ne peux le croire….
- ce matin le professeur Mitier est parti. Néanmoins frère Ivan, j’espère que vous resterez pour mener à bien, jusqu’au bout, votre tâche.
- croyez vous que j’y arriverai seul ? Je ne m’en sens pas capable…
- bien sûr que si. Je connais vos capacités et je suis certain que vous réussirez. »

Je sortis de son bureau, je ne comprenais pas. Hier soir, le professeur avait voulu s’entretenir avec moi en haut d’une tour. Je me remémorais ses dernières paroles.

‘Ce ne sont que des suppositions personnelles, mais il y a quelque chose d’étrange. Je sais que ce que je vous dire ressemble à de la calomnie mais, le fait que cet homme ait pris la tête de Bertines semble cacher un objectif précis. Peut être es-ce un simple pressentiment mais je crois que cet homme est dangereux.’

Mes pas m’amenèrent dans le bureau du professeur Mitier. Bizarrement je remarquais qu’aucun document n’avait été déplacé. Ils étaient toujours éparpillés sur la table. J’en pris un et le feuilleta. Je m’arrêtais net, je vis une trainée de sang sur une page. Je le jetais sur la table. Je couru alors vers le frère Riaul pour avoir la vérité. Je rentrais sans frapper.

« - je veux que vous soyez sincère avec moi ! Qu’est-il arrivé aux trois professeurs ?
- il est arrivé exactement ce que je vous ai déjà dit. Pourquoi cette question frère Ivan ?
- parce qu’ils n’avaient aucune raison de quitter le monastère et il n’y a aucune preuve de leur départ. Rien qu’hier…
- frère Ivan ! Je ne sais pas pour quelle raison vous agissez de la sorte mais les professeurs nous ont quittés !!
- en fait le professeur Mitier avait raison. Vous essayer de me cacher quelque chose ! »

Riaul ne répondit pas. Il restait immobile et muet.

« - dans ce cas je suis contraint de mener ma propre enquête ! »

Je me dirigeai vers la porte déjà ouverte.

« Ivan ! C’est incompréhensible ! Je pensais qu’au moins vous, vous seriez prêt à tout pour percer le mystère du Domes Forata. N’êtes vous pas intrigué par l’autre visage de Dieu ?
- non… pas ça. »

J’avais enfin compris ce que voulais faire Riaul, je voulais m’en allais le plus vite possible. Je me retournais et là je vis que ma seule issue était bouchée. Des hommes en tunique étaient derrière. Avant que je puisse esquisser le moindre geste une douleur vive au cou me fit perdre connaissance.