Sur la route
Par : ParadiseCity
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 01/03/10 à 21:42:04 par ParadiseCity
Bref, j'en avais marre de mon lycée de wesh, marre des mes parents bourges, marre de ma vie de geek et une furieuse envie d'exotisme. (Résumé du chapitre 1 quoi...)
Partir...
Un mot, un petit mot, tout simple, tout mignon, tout beau, mais qui faisait son petit bout de chemin dans mon esprit !
Partir, voyager, découvrir, visiter, survivre aussi !
Mais evidemment, les choses étaient loin d'être facile ! Bon déjà, côté fric, j'étais plutôt rassuré (suffisait d'"emprunter" un peu d'argent à Papa Maman, la famille, faut bien que ça serve à quelque chose !)
Mais il reste toujours le côté "pratique" :
-où aller ?
-comment ?
-avec qui ?
-comment manger ?
-comment m'abriter le soir où en cas d'urgence ?
-comment me barrer tranquilement sans qu'il y ait une révolution familiale ?...
Bref, c'était pas gagné !
Enfin, heureusement qu'il y'a Internet !
Internet, le pays où tous les violeurs, tueurs, voleurs, et autres passent s'amusent sans qu'on leur pose de question, et où les fugueurs peuvent tranquilement préparer leur escapade.
Déjà, choisir la destination...
Rome, Berlin, Londres, Madrid, Casablanca peut-être...
Finalement, j'optais pour Londres. Grâce à mes nombreux voyages linguistiques de collège, je connaissais la ville comme ma poche (tiens je savais pas que Londres était abritée par une capote géante )
Je réservais donc un billet de train.
Pour dans trois mois, jours pour jours.
Ca me laissait le temps de m'organiser.
Donc, Où et Comment, s'étaient fait.
Maintenant avec qui ?
Evidemment personne ! De toute façon j'allais pas mettre une annonce avec marqué : je cherche quelqu'un pour m'accompagner je sais pas où parce que j'ai envie de fuguer mais pas seul.
Vive la solitude.
Il ne restait plus qu'une semaine avant le départ.
J'avais eu le temps d'acheter le plus gros sac à dos Quechua de chez Decathlon, une tente 2sec (celle de la pub qui s'ouvre quand tu la balance ! Le kiff quoi !), une lampe torche, un stock d'eau, quelques trucs à manger déjà, des vêtements, et enfin une peluche de Pikachu (elle me faisait envie dans le magasin ).
J'étais fin prêt.
Je piquais la carte bleu de ma mère (ça sert de regarder discrètement son code chez Leclerc), retirais un maximum d'argent (environ 3000 à 5000 euros), et préparais les papiers administratifs.
Je laissais une gentille lettre pour mes parents :
"Cher papa, cher maman.
Vous m'avez toujours détesté et je vous ai toujours détesté.
J'ai donc décidé de régler ce léger problème en m'en allant.
Me cherchez pas, oubliez moi.
PS : Merci pour la carte bleu."
Je sortais, faisais une vingtaine de kilomètres à pattes pour me rapprocher des grandes routes, et attendes un une voiture pour me prendre en stop.
Quelqu'un s'arretta.
Partir...
Un mot, un petit mot, tout simple, tout mignon, tout beau, mais qui faisait son petit bout de chemin dans mon esprit !
Partir, voyager, découvrir, visiter, survivre aussi !
Mais evidemment, les choses étaient loin d'être facile ! Bon déjà, côté fric, j'étais plutôt rassuré (suffisait d'"emprunter" un peu d'argent à Papa Maman, la famille, faut bien que ça serve à quelque chose !)
Mais il reste toujours le côté "pratique" :
-où aller ?
-comment ?
-avec qui ?
-comment manger ?
-comment m'abriter le soir où en cas d'urgence ?
-comment me barrer tranquilement sans qu'il y ait une révolution familiale ?...
Bref, c'était pas gagné !
Enfin, heureusement qu'il y'a Internet !
Internet, le pays où tous les violeurs, tueurs, voleurs, et autres passent s'amusent sans qu'on leur pose de question, et où les fugueurs peuvent tranquilement préparer leur escapade.
Déjà, choisir la destination...
Rome, Berlin, Londres, Madrid, Casablanca peut-être...
Finalement, j'optais pour Londres. Grâce à mes nombreux voyages linguistiques de collège, je connaissais la ville comme ma poche (tiens je savais pas que Londres était abritée par une capote géante )
Je réservais donc un billet de train.
Pour dans trois mois, jours pour jours.
Ca me laissait le temps de m'organiser.
Donc, Où et Comment, s'étaient fait.
Maintenant avec qui ?
Evidemment personne ! De toute façon j'allais pas mettre une annonce avec marqué : je cherche quelqu'un pour m'accompagner je sais pas où parce que j'ai envie de fuguer mais pas seul.
Vive la solitude.
Il ne restait plus qu'une semaine avant le départ.
J'avais eu le temps d'acheter le plus gros sac à dos Quechua de chez Decathlon, une tente 2sec (celle de la pub qui s'ouvre quand tu la balance ! Le kiff quoi !), une lampe torche, un stock d'eau, quelques trucs à manger déjà, des vêtements, et enfin une peluche de Pikachu (elle me faisait envie dans le magasin ).
J'étais fin prêt.
Je piquais la carte bleu de ma mère (ça sert de regarder discrètement son code chez Leclerc), retirais un maximum d'argent (environ 3000 à 5000 euros), et préparais les papiers administratifs.
Je laissais une gentille lettre pour mes parents :
"Cher papa, cher maman.
Vous m'avez toujours détesté et je vous ai toujours détesté.
J'ai donc décidé de régler ce léger problème en m'en allant.
Me cherchez pas, oubliez moi.
PS : Merci pour la carte bleu."
Je sortais, faisais une vingtaine de kilomètres à pattes pour me rapprocher des grandes routes, et attendes un une voiture pour me prendre en stop.
Quelqu'un s'arretta.
02/03/10 à 19:39:03
"Je sortais, faisais une vingtaine de kilomètres à pattes pour me rapprocher des grandes routes, et attendes un une voiture pour me prendre en stop.
Quelqu'un s'arretta."
Moi jdit 'tention pedobear en vue
01/03/10 à 22:04:43
L'adieu de connard...encore pire que de partir sans rien dire.
Suite
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