Battle Royale, édition 2010
Par : ]hapi[
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 21
Publié le 08/02/10 à 23:25:40 par ]hapi[
Chapitre 19 : Encore ?
Pipichaud... Non, il était encore vivant, mais cloué au sol, tel un Jésus-Christ sur sa croix. Seulement, allait-il le rester encore longtemps ? Rien n'était moins sûr, car quelqu'un croisa sa route, et, par le fruit du hasard, ce fut les retrouvailles bis, entre Pingu et Pipichaud. Sauf que cette fois, Pingu n'avait pas à craindre pour sa vie, il était hors de danger. Lorsqu'il croisa le regard endoloris par tant de souffrance de Pipichaud, il afficha un rictus presque maléfique et alla s'asseoir sur un rocher relativement proche de sa proie. Tout en retournant machinalement son arme de poing dans la main, il prit la parole, d'un ton glacial.
« - Et bien mon ami, tu es bien mal à ce que je vois. »
« - Achève moi, sale pourri... »
« - Je ne te procurerais pas ce plaisir ; non seulement te voir agonisé m'amuse au plus haut point ; mais te donner ce que tu veux me donne la gerbe. Tu mérites de pourrir comme l'immondice que tu es. »
Pipichaud, tenta ridiculement une action de grande envergure : Il bougea son bras droit de façon à attraper une pierre. Il la lança, et cette pierre, pas plus grande qu'un pouce, partit dans les buissons, bien loin de toucher Pingu. Dans un premier temps, il rigola. Oui, il s'amusait de la frustration de Pipichaud. Reprenant son sérieux, il reprit parole.
« - Tu sais, cette – Battle Royale – aura été utile finalement. Sans ça, je n'aurais jamais put me vengé de toi. Sans ça, je n'aurais jamais put prouvé que j'étais supérieur, et je trouves que c'est vraiment amusant : On se retrouve ici, comme par hasard... Et regarde, tout le monde est sérieux ici : Ils se tirent dessus, les corps tombent... Je suis sûr que nous ne sommes plus beaucoup, et vraiment, je vais survivre. Et tu sais quoi ? Tu es le prochain à mourir, ta tête me répugne. »
« Arrête ! J'ai fait des erreurs, et je le sais. Mais tu sais, me retrouvé dans cette situation m'ouvre les yeux : je suis désolé pour ce que j'ai fais. Si je pouvais retourner en arrière, j'arrangerais tout ça. »
Silencieusement, Pingu se leva. Sa haine était profondément marquée sur son visage, et la supplication de Pipichaud ne faisait aucun effet.
« - Tu as ouvert les yeux trop tard. »
Pingu tira froidement deux balles dans le torse de Pipichaud, lui enlevant, sans doute, son dernier souffle de vie.
« - Personne ne peux retourner dans le temps, et il en est mieux ainsi. »
Pingu tira une nouvelle balle dans le corps de Pipichaud. Il se sentait mieux, comme un boulet qu'on retire de son pied, c'est libre, qu'il poursuivit sa route, tout droit vers le port, qui selon lui, devait être le point d'évasion des survivants restants.
Pipichaud... Non, il était encore vivant, mais cloué au sol, tel un Jésus-Christ sur sa croix. Seulement, allait-il le rester encore longtemps ? Rien n'était moins sûr, car quelqu'un croisa sa route, et, par le fruit du hasard, ce fut les retrouvailles bis, entre Pingu et Pipichaud. Sauf que cette fois, Pingu n'avait pas à craindre pour sa vie, il était hors de danger. Lorsqu'il croisa le regard endoloris par tant de souffrance de Pipichaud, il afficha un rictus presque maléfique et alla s'asseoir sur un rocher relativement proche de sa proie. Tout en retournant machinalement son arme de poing dans la main, il prit la parole, d'un ton glacial.
« - Et bien mon ami, tu es bien mal à ce que je vois. »
« - Achève moi, sale pourri... »
« - Je ne te procurerais pas ce plaisir ; non seulement te voir agonisé m'amuse au plus haut point ; mais te donner ce que tu veux me donne la gerbe. Tu mérites de pourrir comme l'immondice que tu es. »
Pipichaud, tenta ridiculement une action de grande envergure : Il bougea son bras droit de façon à attraper une pierre. Il la lança, et cette pierre, pas plus grande qu'un pouce, partit dans les buissons, bien loin de toucher Pingu. Dans un premier temps, il rigola. Oui, il s'amusait de la frustration de Pipichaud. Reprenant son sérieux, il reprit parole.
« - Tu sais, cette – Battle Royale – aura été utile finalement. Sans ça, je n'aurais jamais put me vengé de toi. Sans ça, je n'aurais jamais put prouvé que j'étais supérieur, et je trouves que c'est vraiment amusant : On se retrouve ici, comme par hasard... Et regarde, tout le monde est sérieux ici : Ils se tirent dessus, les corps tombent... Je suis sûr que nous ne sommes plus beaucoup, et vraiment, je vais survivre. Et tu sais quoi ? Tu es le prochain à mourir, ta tête me répugne. »
« Arrête ! J'ai fait des erreurs, et je le sais. Mais tu sais, me retrouvé dans cette situation m'ouvre les yeux : je suis désolé pour ce que j'ai fais. Si je pouvais retourner en arrière, j'arrangerais tout ça. »
Silencieusement, Pingu se leva. Sa haine était profondément marquée sur son visage, et la supplication de Pipichaud ne faisait aucun effet.
« - Tu as ouvert les yeux trop tard. »
Pingu tira froidement deux balles dans le torse de Pipichaud, lui enlevant, sans doute, son dernier souffle de vie.
« - Personne ne peux retourner dans le temps, et il en est mieux ainsi. »
Pingu tira une nouvelle balle dans le corps de Pipichaud. Il se sentait mieux, comme un boulet qu'on retire de son pied, c'est libre, qu'il poursuivit sa route, tout droit vers le port, qui selon lui, devait être le point d'évasion des survivants restants.
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