Ma Vie
Par : TheCowardlyDog
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 07/10/09 à 22:51:58 par TheCowardlyDog
PS : ( Bien mon PS au début ? ) Notez et commentez, je me sens seul
En réalité, ce n'est qu'une nouvelle à chute, assez courte. Cette version contient quelques courts rajouts.
" Mal... Très mal...
En plus de ne plus arriver à m'exprimer convenablement, mon souffle étant coupé, je n'arrive même plus à penser correctement... Je souffre horriblement... Je ne trouve même pas d'autres mots synonymes de « souffrance » ...
Je suis profondément blessé. Étrangement, je n'arrive même pas à voir mon sang couler... Ma joie me quitte, accompagnée de toutes mes forces, de mon courage et de ce qui me restait de volonté.
Mes jambes ne parviennent plus à soutenir mon poids. Elles fléchissent, se courbent dangereusement devant ce travail draconien qui leur est imposé. Je vais finir par tomber, mais je m'adosse au mur, simplement par réflexe. J'ai du mal à croire ce qui m'arrive. De mon cœur lacéré s'écoulent des larmes de sang qui s'échappent de mon corps meurtri par mes yeux rougis. Cette douleur immense, qui se propage dans mon corps, s'insinue dans chacun de mes membres, serpente le long de mes veines... C'est insupportable.
Je glisse lentement le long du bâtiment qui m'empêche de chuter, mes jambes s'arquant davantage. Le mur râpe vicieusement mon dos. Il est mon seul soutien, mais il m'agresse tout de même... Même les murs me trahissent, désormais ! Mais cette sensation de peau qui se soulève, qui s'arrache n'est encore rien comparé à ce que je subis.
Par réflexe, je tente à nouveau de m'agripper au ciment à l'aide de mes bras. Malheureusement, mes deux mains sont prises... Je n'ai même pas la force... De lâcher ce que je tiens. Je voudrais me laisser tomber, m'étaler sur le sol et me noyer dans la flaque qui se forme, lentement, sous moi, mais... je n'en ai pas « la force ». Ou bien est-ce du courage qui me manque ? Je ne sais pas, je continue toujours de m'affaler... Le mur se met également à abîmer les derniers objets qui sont en ma possession, alors je les décolle de la paroi, supprimant - presque - à contrecœur ce soutien précédemment créé.
Je suis presque assis maintenant... Mes jambes redeviennent mon unique support. Dans un ultime effort, réunissant les dernières émotions qui habitent mon futur cadavre, je tente de me relever, de sortir de ce gouffre dans lequel je m'enfonce inéluctablement. Mon corps s'élève, lentement, branlant et tremblant... Et là, c'est le drame. J'abandonne. Toute ma masse retombe brutalement sur moi-même, et mes jambes me lâchent.
De la même façon que je lâche mon téléphone portable.
Comment à-t-elle osé me faire ça, à moi ? Comment a-t-elle pu... Faire une chose pareille, ouvrir une telle plaie béante dans le cœur de celui qui l'a aimée, de celui qu'elle a aimé ?
C'est une chose contraire à la morale humaine... Oui, c'est un acte parfaitement inhumain, venant d'une créature tout aussi inhumaine, faite d'une rancœur de givre et d'une haine ardente.
Celle qui représentait tout pour moi s'en est allée, me laissant, gisant, agonisant intérieurement dans une mare de larmes. Et cela, suite à un simple texto. Un message ni émouvant, ni poignant... Une rupture, simple et dure.
Elle avait plusieurs noms pour moi : Force, Volonté, Courage, Joie, Amour, Espoir... Vie...
Et elle s'en est allée, emportant tout cela avec elle, loin de moi.
Je me vois donc obligé d'accompagner cette douleur sentimentale par une réelle douleur physique. D'accompagner les larmes par le sang.
Lentement, j'approche l'autre objet que je détiens près de ma gorge...
La dernière once de Force et de Courage qui me reste me permet d'effectuer l'ultime geste de ma vie.
Car ma Vie est partie...
En réalité, ce n'est qu'une nouvelle à chute, assez courte. Cette version contient quelques courts rajouts.
" Mal... Très mal...
En plus de ne plus arriver à m'exprimer convenablement, mon souffle étant coupé, je n'arrive même plus à penser correctement... Je souffre horriblement... Je ne trouve même pas d'autres mots synonymes de « souffrance » ...
Je suis profondément blessé. Étrangement, je n'arrive même pas à voir mon sang couler... Ma joie me quitte, accompagnée de toutes mes forces, de mon courage et de ce qui me restait de volonté.
Mes jambes ne parviennent plus à soutenir mon poids. Elles fléchissent, se courbent dangereusement devant ce travail draconien qui leur est imposé. Je vais finir par tomber, mais je m'adosse au mur, simplement par réflexe. J'ai du mal à croire ce qui m'arrive. De mon cœur lacéré s'écoulent des larmes de sang qui s'échappent de mon corps meurtri par mes yeux rougis. Cette douleur immense, qui se propage dans mon corps, s'insinue dans chacun de mes membres, serpente le long de mes veines... C'est insupportable.
Je glisse lentement le long du bâtiment qui m'empêche de chuter, mes jambes s'arquant davantage. Le mur râpe vicieusement mon dos. Il est mon seul soutien, mais il m'agresse tout de même... Même les murs me trahissent, désormais ! Mais cette sensation de peau qui se soulève, qui s'arrache n'est encore rien comparé à ce que je subis.
Par réflexe, je tente à nouveau de m'agripper au ciment à l'aide de mes bras. Malheureusement, mes deux mains sont prises... Je n'ai même pas la force... De lâcher ce que je tiens. Je voudrais me laisser tomber, m'étaler sur le sol et me noyer dans la flaque qui se forme, lentement, sous moi, mais... je n'en ai pas « la force ». Ou bien est-ce du courage qui me manque ? Je ne sais pas, je continue toujours de m'affaler... Le mur se met également à abîmer les derniers objets qui sont en ma possession, alors je les décolle de la paroi, supprimant - presque - à contrecœur ce soutien précédemment créé.
Je suis presque assis maintenant... Mes jambes redeviennent mon unique support. Dans un ultime effort, réunissant les dernières émotions qui habitent mon futur cadavre, je tente de me relever, de sortir de ce gouffre dans lequel je m'enfonce inéluctablement. Mon corps s'élève, lentement, branlant et tremblant... Et là, c'est le drame. J'abandonne. Toute ma masse retombe brutalement sur moi-même, et mes jambes me lâchent.
De la même façon que je lâche mon téléphone portable.
Comment à-t-elle osé me faire ça, à moi ? Comment a-t-elle pu... Faire une chose pareille, ouvrir une telle plaie béante dans le cœur de celui qui l'a aimée, de celui qu'elle a aimé ?
C'est une chose contraire à la morale humaine... Oui, c'est un acte parfaitement inhumain, venant d'une créature tout aussi inhumaine, faite d'une rancœur de givre et d'une haine ardente.
Celle qui représentait tout pour moi s'en est allée, me laissant, gisant, agonisant intérieurement dans une mare de larmes. Et cela, suite à un simple texto. Un message ni émouvant, ni poignant... Une rupture, simple et dure.
Elle avait plusieurs noms pour moi : Force, Volonté, Courage, Joie, Amour, Espoir... Vie...
Et elle s'en est allée, emportant tout cela avec elle, loin de moi.
Je me vois donc obligé d'accompagner cette douleur sentimentale par une réelle douleur physique. D'accompagner les larmes par le sang.
Lentement, j'approche l'autre objet que je détiens près de ma gorge...
La dernière once de Force et de Courage qui me reste me permet d'effectuer l'ultime geste de ma vie.
Car ma Vie est partie...
08/10/09 à 22:48:23
Ah, ouais, merde, owned
08/10/09 à 22:39:22
FAKE
t'aurais pas du poster ce topic sur jv.com
08/10/09 à 19:24:45
08/10/09 à 16:54:16
OMG, si on tape " rancoeur de givre " dans Google, on tombe directement sur ma fic
J'imaginais pas ça possible
http://www.google.fr/search?q=rancoeur+de+givre&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a
08/10/09 à 05:43:42
Je sais pas si je compte en faire d'autres, normalement c'était juste pour une rédac' de Français
07/10/09 à 23:21:15
tu raconte ton manque de vie
ta fin de vie
ta courte esperance de vie
ta MORT
ton passage de vie à trépas
une partie de ta vie défini sur ]-60;0] en prenant pour unité les secondes
Donc ta vie
(m'enfin, pas la tienne, je me comprends quoique, ce serait interessant si c'était la tienne )
07/10/09 à 23:18:22
Excellent, j'ai beaucoup aimé
tu comptes en faire d'autres ?
07/10/09 à 22:59:06
Contrairement à ce que le titre pourrait indiquer, non, je ne raconte pas ma vie
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