- Pourquoi nous nous mettrions pas nus tous les deux en même temps ?
- Toi d'abord...
- Tu me fais pas confiance c'est ça ?
- ...

Silence de sa part. Je sentais tout de suite du doute chez elle. Ca peut se comprendre, c'est dur de faire confiance à un mec juste après une relation difficile, mais j'suis assez déçu, généralement une fille se laisse tenté par le premier venu limite, après oui avec des belles paroles je pensais qu'elle ferait son choix. Bon c'est pas totalement fini, je peux essayer de me rattraper.

Je pose mes mains sur ses hanches pour l'emmener vers le lit, nous nous allongeons tout près l'un de l'autre, je l'embrassais tendrement et répondait à mes baisers en me caressant doucement le ventre. Nous étions encore habillé, mais elle tenait à des "marques d'affections" avant de se décider. En gros, si je me montre patient et attentionné, il est probable qu'elle me laisse disposer de son corps quelques heures. C'est peut-être une manière de me démarquer des autres mecs, elle veut voir si je suis "au dessus du lot" peut-être.

Ainsi, je la laisse garder ces vêtements, faut pas la brusquer. J'embrasse tendrement sa joue délicate, puis ces cheveux. Durant une vingtaine de minutes, nous en sommes resté au stade des caresses et des baisers affectueux, puis je décide de prendre une initiative : Retirer sa veste. Cool elle me laisse faire. Je fais ensuite de même, ces mains caressent des lors mon torse. Je frissonne rapidement avant de reprendre le controle et continuer mes manoeuvres. Je commence doucement à baisser son jean, elle s'assoit sur le lit pour me rendre la tâche plus difficile, toujours avec un petit sourire au coin des lèvres, sa main est là, sur mon visage, alors que je suis accroupi devant elle.

Finalement, il ne lui reste qu'un léger soutien gorge et une culotte. Pour lui montrer une nouvelle fois ma patience, j'enlève à mon tour mon pantalon pour rester en calbut juste devant elle. Je l'amène sur le lit avec moi et je rabat la couverture sur nous deux. Nos deux corps fusionnent l'espace d'un instant, elle est chaude et son corps tremblote doucement, son visage est blottit contre mon épaule, pendant plusieurs secondes, on reste là, presque à attendre.

D'un coté je ne veux pas la brusquer et lui faire peur, et de l'autre j'aimerai juste que ça soit un plan cul sans relation, pour le moment je veux rester libre, jusqu'à trouver la bonne personne. J'hésite à la retourner et lui faire un coup de pute le lendemain, mais Fidélité s'impatiente, je ne suis plus moi-même. La main de Nathalie se balade sous la couverture jusqu'à atteindre mon bassin. Ces deux yeux se posent sur moi de manière coquine, puis ces doigts commencent à masser doucement Fidélité. Je tente de rester impassible, la pauvre est stupéfaite et tente bien le massage durant près d'une minute avant que Fidélité mette les gaz ( ), mon sourire m'a par ailleurs trahi.

- Je te fais pas d'effet c'est ça ? Me susurre t-elle à l'oreille, accompagnant ces paroles d'un baiser imprévue sur mes cheveux.
- Disons que j'aimerai voir de quoi tu es capable avant d'emettre un jugement.

Prenant ça pour un défi, la jeune femme sort du lit. Son corps m'apparait là, devant moi. Taille : 1,64m. Poids : 51 kilos. Style vestimentaire : Charmant. Forme : 7/10. Métier : Bonne.

- Offre moi du spectacle, j'attends. ( Fidélité aussi )
- Ah ouais ?

Elle commençait à enlever doucement son soutif, sa paire de nibards m'apparait des lors. De sa démarche sensuelle, elle s'approche et monte sur le lit, et vient à 4 pattes juste au dessus de moi, toujours allongé. Ces jambes sont de part et d'autre de mon torse, ses fesses posées délicatement sur Fidélité, toujours dans son placard.

- Regarde et admire.

Ces mains, posés sur mes épaules, commencent à cogiter, son bassin s'agite promptement sur Fidélité, je suis comme une sorte de cheval qu'elle monte, et ces mouvements ont pour but de m'exciter. M'enfin, à part ces fesses qui touchent Fidélité assez maladroitement, je trouve ça moyen comme tentative de l'emmener au septième ciel, mais bon. C'est vrai que son contact est agréable, mais je pense sortir le loup de sa cage avant qu'il ne la détruise lui-même avec ces crocs, ou ne la salissent encore avec sa bave blanche.

Soudainement, ces deux genoux se posent sur mes épaules, mes deux bras sont impossible à bouger. Rapidement, elle tente d'ôter mon calbut qu'elle jette je ne sais où, elle retire sa culotte d'un mouvement très rapide et sans même me permettre de parler, elle l'enfonce dans ma bouche avec tous ces doigts. Elle attrape Fidélité à une main et commence à l'agiter comme un lévier de vitesse, actionnant la première, puis la deuxième. Elle éprouve quelques difficultés pour la troisième mais commence à manier l'engin avec les deux mains, son toucher est doux et rugueux par moment. Le pommeau commence alors à prendre une taille considérable à la quatrième vitesse, après un coup d'oeil furtif vers moi et une hésitation, elle décida d'engloutir Fidélité, les coups de langue sont insistant, c'est le bonheur absolu. C'est rapide, fluide, Fidélité se réchauffe de plus en plus.

Mon esprit commence à redouter la cinquième vitesse, sa culotte, qu'elle a bien du porter plusieurs heures, est dans ma bouche. Il m'est impossible de parler, l'odeur et le gout humide font battre à mon coeur la chamade, alors que ces mouvements sur Fidélité le font bondir contre ma poitrine. Soudain, ces dents le mordent légèrement, puis ces deux mains l'agitent encore plus rapidement.

C'est officiel : Fidélité va cracher. Ca monte de plus en plus, mais la bougre continue son affaire, comme pour me défier et montrer définitivement qu'elle me fait de l'effet. Je retire sa culotte à regret de ma bouche pour la prévenir du danger, je regarde un peu partout dans la chambre où jouir en toute sécurité. Finalement et précipitamment, je choppe une boite de conserve qui traine par là pour tout déverser dedans.

Putain, j'ai failli y rester j'ai l'impression. 5 minutes hyper exaltante et un peu stressante vers la fin, la flemme d'éjac' dans toute la pièce et nettoyé le "foutoir" sans mauvais jeux de mots.

Je reprends mes habits rapidement pour les mettre, ce fut un bon moment pour ma part. Nathalie se rhabille aussi et me remercie de ma sympathie, de mon affection. En gros ça lui a plu de m'avoir comme plan cul pour se changer les idées. C'était cool, et heureusement pour moi, elle ne veut rien de concret à l'arrivée. Avant de partir, elle me donne un dernier baiser puis met sa culotte dans la poche de mon jean.

- Un petit cadeau.
- Ah. Merci.
- J'ai passé un bon moment...
- Moi aussi.

Bordel chaud, c'était super bizarre : Avoir sa culotte dans laggle + Finir le boulot dans une boite de conserve + Et pourquoi mon cerveau a fait le rapprochement avec le pommeau de vitesse d'une bagnole ? Putain. Aller je retrouve Alexia et on rentre, l'objectif a été atteint personnellement.