Poésies diverses et farceuses
Par : Barnaclus
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 24/10/16 à 19:26:04 par Barnaclus
Comme promis, le deuxième chapitre est là, grandement en avance par la même. La majorité des textes présentés ici ont plus une visée humoristique/divertissante que les autres. Une fournée de textes plus sérieux sont en préparation. Profitez bien
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Divin sommeil
Mon amour du sommeil me violente chaque matin
Me sortir de mon lit vient m’emplir de tristesse
Mon esprit est chargé d’un accès de paresse
Qui jamais ne me quitte, me remplit de chagrin
J’aimerai lézarder, m’étendre sur mon matelas
M’enrouler dans ma couette, embrasser mon sommeil
Presser mon oreiller, embraser mon réveil
Jouir de mon confort, m’enivrer de mes draps
Pouvoir tuer le temps, me perdre dans mes pensées
Oublier les problèmes qui perturbent mon cœur
Chasser les pensées noires et dormir à toute heure
Rester dans les rêveries sera ma panacée
Je pense à tous ces gens, pressés et agressifs
Opprimés et stressés, perdus dans l’existence
Ne sachant se détendre, trépignants d’impatience
Ils feraient mieux d’apprendre à être créatif
-----------------------------------------------------------------
Cannibalisme
J’aimerai manger ton cœur
Brûler tes longs cheveux
Remplir d’acide tes yeux
Savourer ta douleur
Arracher tes tétons
Sucer ton lait de sang
Faire taire tes cris stridents
En t’embrochant le fion
Toucher ton foie du chibre
A travers ton colon
Puis sortir mon violon
Enfin me sentir libre
Tu giras, éventré
Baignant dans tes boyaux
Tu trouveras le repos
Une fois ton corps souillé
-----------------------------------------------------------------
Possession télépathe
Mon démon se disperse, se répand en fragments
Furtif et éclaté, il vogue au gré des vents
Cherchant un nouvel hôte, pour transmettre sa folie
L’envoyer en asile, quelle douce mélancolie
Un vampire des pensées, une goule des sentiments
Une créature nocturne, un être ignominieux
Quand un badaud me voit, il me dit monstrueux
Puis s’enfuit à toutes jambes, finit en convulsant
Je me suis infiltré ; dans son crâne, son esprit
Je me plaît à le tordre, à violer son cerveau
Je contrôle ses actions, l’emmène au bord de l’eau
Le précipite au fond, c’en est finit de lui
Une fois mon crime commis, je repart à la chasse
Sans culpabilité, sans le moindre remord
Ma seule finalité est de semer la mort
La tristesse et la peur, la cruauté, l’angoisse
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El Tacos
Écoute moi seigneur, et entends mon supplique
Pitié, délivre moi de la souffrance ultime
Offre moi un tacos, ô toi être sublime
Je t’en conjure aide moi, pauvre humain alcoolique
C’est un plaisir suprême, que d’avaler le gras
La sauce dégoulinante, de ce suprême délice
Y oublier les frites, est un cruel supplice
Sauce blanche ou algérienne, est un autre débat
Je bâfre et je me goinfre, je me remplit la panse
J’en commande un deuxième, je me ressert un verre
Je dévore des loukoums, et me retrouve par terre
A digérer lentement cette divine expérience
Je suis maintenant repu, je m’en vais faire ma sieste
Afin de digérer, de reprendre des forces
De cet met succulent, jamais je ne divorce
Jamais je ne m’éloigne, jamais ne laisse de restes
-----------------------------------------------------------------
El Rhum
Avé à toi, bouteille, qui renferme le rhum
Cette divine boisson, qui vient animer l’âme
Qui réchauffe le corps, du cœur ravive la flamme
Cette délicieuse boisson est la muse de l’homme
Tu entraînes dans ta danse, les punks dans le déni
Les écrivains perdus, ou bien les musiciens
Les étudiants joyeux, voir même les lycéens
Tous veulent te glorifier, toi qui anime leurs vies
Combien se sont connus, aimés sous ton emprise ?
Ont joué du violon, ont chanté sous la pluie ?
En délaissant leurs masques, ils deviennent vrais et rient
Des tracas du réel, ils préfèrent lâcher prise
Ils fuient ce monde de merde, préfèrent vivre dans la joie
Cette mixture aide grandement, fait fuir la vilenie
Et l’humain libéré, n’en sera que grandit
Dans le rhum sacré, nous devons avoir foi
-----------------------------------------------------------------
Mortelle monotonie
Mon esprit tourmenté n’en peut plus du morose
Dès lors il veut s’enfuir, quitter ce triste ennui
Il délaisse le réel et sa monotonie
Il module son esprit, et refuse la névrose
L’ennui étant toutefois la plus grande petite mort
Il convient de lutter contre son développement
De combattre ce mal, de remplir le néant
D’illuminer la nuit avec un météore
Que ce soit dans la voix, la forme ou le contenu
D’un discours me poussant à boire de l’arsenic
Ou dans l’attente sans fin d’un bus hypothétique
Il est ma foi hardi de rester détendu
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Barnacle
Une divinité qui ne pue point la bite
Il n’y a que l’Optique qui puisse la révéler
Et aduler ainsi les grands Colosses dorés
Eux seuls pouvant détruire les Chèvres sodomites
Le Sous-jacement est là pour guider les fidèles
Leur montrer le chemin, et leur donner la foi
Car ses enseignements ont une valeur de loi
Pour tous ceux désirant se blottir sous son aile
Je vous en prie messieurs, ne soyez point biteux
Acceptez les vertus de ce divin concept
Propagez la parole inhérente au grand être
La toute puissante Barnacle vous rendra tous heureux
-----------------------------------------------------------------
Paprika ( パプリカ )
Il ne manque qu’une épice, une touche de Paprika
Le parfum enjôleur d’une douce damoiselle
Elle danse et elle sautille, bondit telle une gazelle
Cette actrice onirique vient relever mon plat
Elle soigne mes complexes et pimente mon sommeil
Ses analyses de songes viennent libérer l’esprit
Me font comprendre le monde et éclairer ma vie
M’aident à m’émanciper des barrières du réel
Mon réseau neuronal est en effervescence
Des décharges électriques viennent baigner ma psyché
Paprika mon idole, que j’aime te contempler
Observer ta beauté, admirer ta vaillance
Te trouvant dénudée, tu resplendis ainsi
Tu te métamorphose, sors de ta chrysalide
Je me joins à ton corps, la scène deviens torride
Devenu amoureux de tes cheveux rubis
-----------------------------------------------------------------
L’homme au violon
Pour la « joie » des voisins, je viole mon violon
Je fais glisser l’archet sur les cordes vibrantes
J’emplis l’appartement d’une musique brillante
Et dans tout mon immeuble résonne le dit son
Je joue pour tous les hommes, qui vivent dans la tristesse
Leur faire ouïr mes valses, mes danses et variations
Partager avec eux mes propres créations
Pouvoir inséminer dans leur cœur l’allégresse
La musique est une force liant l’espèce humaine
Un lubrifiant social, un instrument de paix
Visant à rendre libre un peuple désabusé
Permettant par la même d’éradiquer la haine
C’est un plaisir grandiose de jouer ma musique
Faire jaillir mes pensées sous une forme auditive
Libérer mes fantasmes comme folie créative
Si la police me gène, je sortirai ma bique
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Divin sommeil
Mon amour du sommeil me violente chaque matin
Me sortir de mon lit vient m’emplir de tristesse
Mon esprit est chargé d’un accès de paresse
Qui jamais ne me quitte, me remplit de chagrin
J’aimerai lézarder, m’étendre sur mon matelas
M’enrouler dans ma couette, embrasser mon sommeil
Presser mon oreiller, embraser mon réveil
Jouir de mon confort, m’enivrer de mes draps
Pouvoir tuer le temps, me perdre dans mes pensées
Oublier les problèmes qui perturbent mon cœur
Chasser les pensées noires et dormir à toute heure
Rester dans les rêveries sera ma panacée
Je pense à tous ces gens, pressés et agressifs
Opprimés et stressés, perdus dans l’existence
Ne sachant se détendre, trépignants d’impatience
Ils feraient mieux d’apprendre à être créatif
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Cannibalisme
J’aimerai manger ton cœur
Brûler tes longs cheveux
Remplir d’acide tes yeux
Savourer ta douleur
Arracher tes tétons
Sucer ton lait de sang
Faire taire tes cris stridents
En t’embrochant le fion
Toucher ton foie du chibre
A travers ton colon
Puis sortir mon violon
Enfin me sentir libre
Tu giras, éventré
Baignant dans tes boyaux
Tu trouveras le repos
Une fois ton corps souillé
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Possession télépathe
Mon démon se disperse, se répand en fragments
Furtif et éclaté, il vogue au gré des vents
Cherchant un nouvel hôte, pour transmettre sa folie
L’envoyer en asile, quelle douce mélancolie
Un vampire des pensées, une goule des sentiments
Une créature nocturne, un être ignominieux
Quand un badaud me voit, il me dit monstrueux
Puis s’enfuit à toutes jambes, finit en convulsant
Je me suis infiltré ; dans son crâne, son esprit
Je me plaît à le tordre, à violer son cerveau
Je contrôle ses actions, l’emmène au bord de l’eau
Le précipite au fond, c’en est finit de lui
Une fois mon crime commis, je repart à la chasse
Sans culpabilité, sans le moindre remord
Ma seule finalité est de semer la mort
La tristesse et la peur, la cruauté, l’angoisse
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El Tacos
Écoute moi seigneur, et entends mon supplique
Pitié, délivre moi de la souffrance ultime
Offre moi un tacos, ô toi être sublime
Je t’en conjure aide moi, pauvre humain alcoolique
C’est un plaisir suprême, que d’avaler le gras
La sauce dégoulinante, de ce suprême délice
Y oublier les frites, est un cruel supplice
Sauce blanche ou algérienne, est un autre débat
Je bâfre et je me goinfre, je me remplit la panse
J’en commande un deuxième, je me ressert un verre
Je dévore des loukoums, et me retrouve par terre
A digérer lentement cette divine expérience
Je suis maintenant repu, je m’en vais faire ma sieste
Afin de digérer, de reprendre des forces
De cet met succulent, jamais je ne divorce
Jamais je ne m’éloigne, jamais ne laisse de restes
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El Rhum
Avé à toi, bouteille, qui renferme le rhum
Cette divine boisson, qui vient animer l’âme
Qui réchauffe le corps, du cœur ravive la flamme
Cette délicieuse boisson est la muse de l’homme
Tu entraînes dans ta danse, les punks dans le déni
Les écrivains perdus, ou bien les musiciens
Les étudiants joyeux, voir même les lycéens
Tous veulent te glorifier, toi qui anime leurs vies
Combien se sont connus, aimés sous ton emprise ?
Ont joué du violon, ont chanté sous la pluie ?
En délaissant leurs masques, ils deviennent vrais et rient
Des tracas du réel, ils préfèrent lâcher prise
Ils fuient ce monde de merde, préfèrent vivre dans la joie
Cette mixture aide grandement, fait fuir la vilenie
Et l’humain libéré, n’en sera que grandit
Dans le rhum sacré, nous devons avoir foi
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Mortelle monotonie
Mon esprit tourmenté n’en peut plus du morose
Dès lors il veut s’enfuir, quitter ce triste ennui
Il délaisse le réel et sa monotonie
Il module son esprit, et refuse la névrose
L’ennui étant toutefois la plus grande petite mort
Il convient de lutter contre son développement
De combattre ce mal, de remplir le néant
D’illuminer la nuit avec un météore
Que ce soit dans la voix, la forme ou le contenu
D’un discours me poussant à boire de l’arsenic
Ou dans l’attente sans fin d’un bus hypothétique
Il est ma foi hardi de rester détendu
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Barnacle
Une divinité qui ne pue point la bite
Il n’y a que l’Optique qui puisse la révéler
Et aduler ainsi les grands Colosses dorés
Eux seuls pouvant détruire les Chèvres sodomites
Le Sous-jacement est là pour guider les fidèles
Leur montrer le chemin, et leur donner la foi
Car ses enseignements ont une valeur de loi
Pour tous ceux désirant se blottir sous son aile
Je vous en prie messieurs, ne soyez point biteux
Acceptez les vertus de ce divin concept
Propagez la parole inhérente au grand être
La toute puissante Barnacle vous rendra tous heureux
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Paprika ( パプリカ )
Il ne manque qu’une épice, une touche de Paprika
Le parfum enjôleur d’une douce damoiselle
Elle danse et elle sautille, bondit telle une gazelle
Cette actrice onirique vient relever mon plat
Elle soigne mes complexes et pimente mon sommeil
Ses analyses de songes viennent libérer l’esprit
Me font comprendre le monde et éclairer ma vie
M’aident à m’émanciper des barrières du réel
Mon réseau neuronal est en effervescence
Des décharges électriques viennent baigner ma psyché
Paprika mon idole, que j’aime te contempler
Observer ta beauté, admirer ta vaillance
Te trouvant dénudée, tu resplendis ainsi
Tu te métamorphose, sors de ta chrysalide
Je me joins à ton corps, la scène deviens torride
Devenu amoureux de tes cheveux rubis
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L’homme au violon
Pour la « joie » des voisins, je viole mon violon
Je fais glisser l’archet sur les cordes vibrantes
J’emplis l’appartement d’une musique brillante
Et dans tout mon immeuble résonne le dit son
Je joue pour tous les hommes, qui vivent dans la tristesse
Leur faire ouïr mes valses, mes danses et variations
Partager avec eux mes propres créations
Pouvoir inséminer dans leur cœur l’allégresse
La musique est une force liant l’espèce humaine
Un lubrifiant social, un instrument de paix
Visant à rendre libre un peuple désabusé
Permettant par la même d’éradiquer la haine
C’est un plaisir grandiose de jouer ma musique
Faire jaillir mes pensées sous une forme auditive
Libérer mes fantasmes comme folie créative
Si la police me gène, je sortirai ma bique
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06/11/16 à 17:04:33
@moi_cest_robert, j'ai une page fb vite fait, mais je publie pas tout dessus et la plupart de mes lecteurs étant de mes amis IRL, ils me font leur commentaires en vrai généralement
Sinon non, j'ai pas de site autres, je vois pas trop ou je pourrais les publier en fait
05/11/16 à 01:47:02
hey frere bipolaire, tu balances tes poemes autres part ? J'ai recommencé à écrire il y a peu, et carrément dans le meme style. Ca minteresserait de savoir si tavais un site actif ou tu pouvais avoir des feedback autre que noelfic. Jespere que tu me repondras bonne continuation khey
25/10/16 à 10:57:17
Cannibalisme est terrible, j'ai bien aimé aussi Mortelle Monotonie.
Sinon je suis d'accord, Paprika est superbe !
24/10/16 à 23:17:05
Pareil que Sheyne, j'ai beaucoup aimé Paprika et le Violon
Et sinon, sauce algé. Ou BBQ.
24/10/16 à 21:49:09
Ah oui, référence spéciale au Tacos dans lequel je me suis bien retrouvé les jours de défonce.
24/10/16 à 21:48:03
Oh putain celle sur le cannibal !Elle m'a fait rire par sa violence.
La barnacle m'a laissé de marbre, j'ai beau le tourner dans tous les sens j'ai du mal à saisir.
En revanche celles sur paprika et le violon... Les deux sont juste fantastique.
Le vilon est très imagé, je me suis pris à immaginer un vieux entrain de casser les couilles de ses voisins.
Et paprika est de loin la meilleur à mes yeux. Elle sonne beaucoup plus vrai, peut être par ce qu'il y a des notions d'amour et d'attirance, que ça parle par leur coté universel. Le mixt entre l'épice et l'heroïne du film est parfait.
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