Le monde terrible de pokémon
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Réaliste , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 49
Évacuation
Publié le 24/07/14 à 18:32:58 par Camion2LaGalayr
« Je suis désolée » déclare la fillette en sanglotant.
Maxime ne comprend pas la réaction de la fillette, il ne sait pas pourquoi elle se met soudainement à pleurer et à s'excuser. Le jeune garçon, sans rien dire, se baisse difficilement et s'agenouille sur les dalles froides du cimetière pour faire face au visage taché de larmes de la fillette qui fait tout pour ne pas croiser son regard.
Peu à peu Émilie se calme et arrête de pleurer.
« Je suis désolée, c'est de ma faute, dit-elle en regardant le sol.
_ Ce n'est pas vrai, mes parents ont été tués alors que tu n'étais pas là, répond le jeune garçon.
_ Si je n'avais pas attaqué ces mecs qui t'avaient frappés, si je ne les avaient pas blessés…
_ Mes parents sont morts parce qu'ils ne voulaient plus que la Team Rocket soient dans la ville, ce n'est pas à cause ça, j'ai été frappés pendant un mois pour être puni à ta place mais c'est tout ce qu'ils ont fait et ce n'était pas la Team Rocket, c'était ceux que tu as attaqué. »
Les explications du garçon soulagent un peu Émilie qui regarde dans les yeux compatissant du jeune garçon alors que les siens sont encore mouillés par les larmes.
La fillette se retrouve en ce garçon, leurs vies ont été détruites par la Team Rocket parce que leurs parents ont tentés de résister pour leur offrir un avenir meilleur.
Émilie se rapproche un peu du garçon et le prend dans ses bras et dans son esprit elle se jure de faire tout ce qu'elle peut pour l'aider.
Après quelques minutes, la jeune fille relâche Maxime.
« Je vais t'aider à t'enfuir, ce n'est pas grave si tu as une jambe invalide, je vais te faire sortir d'ici, déclare fermement Émilie.
_ Merci mais je ne peux pas partir, déclare Maxime.
_ Pourquoi ? Demande la fillette.
_ Mes pokémons… Les gens qui tiennent l'orphelinat me les ont confisquées…
_ Je vais les récupérés, annonce la fillette en se relevant et en tendant la main au garçon.
_ Tu le peux vraiment ? Demande Maxime qui hésite.
_ Je vais le faire, réponde Émilie.
_ Je veux partir d'ici… dit doucement le garçon. D'accord, je te suis, déclare t-il après quelques secondes tout en prenant la main de la fillette. »
Émilie aide le garçon à se relever et s'assure qu'il n'ait pas du mal à tenir sur ses jambes. Elle n'aurait jamais pensée être aussi proche de Maxime, avant de se quittés, ils étaient de simples rivaux, à peine amis mais aujourd'hui, leur malheur commun a créé un lien beaucoup plus fort.
« Allons à l'orphelinat, » déclare Émilie. Maxime hoche la tête et tous les deux se dirigent lentement vers cet endroit terrible.
Après de longues minutes à marcher à la cadence de Maxime, les deux enfants arrivent devant la porte brillante de l'orphelinat.
Émilie recule d'un pas pour avoir une vue d'ensemble du bâtiment et c'est avec colère qu'elle remarque qu'il n'a pas changé d'un poil, il est toujours aussi bien entretenu, aussi propre.
La jeune fille se rappelle, elle se rappelle de ces longues heures à astiquer la porte d'entrée, à nettoyer le plancher, les escaliers, le jardin, la cuisine, à faire la vaisselle et ce tous les jours et si le travail était mal fait, elle recevait plusieurs coups de ceinture ou de bâton.
En ce retournant vers Maxime qui reste pétrifié devant la maison, elle imagine le nombre incalculable de cicatrice qu'il doit avoir dans le dos.
Toute cette colère montée en elle, la fillette allait la déverser et elle commence en ouvrant violemment la porte et en entrant furieusement dans la maison suivit timidement par Maxime.
Rapidement elle traverse le couloir qui mène à la salle de réception puis elle emprunte les escaliers qui mène à l'étage. Émilie se déplace rapidement et furieusement dans le couloir du premier étage et ouvre la porte du bureau du propriétaire puis elle fouille dans la pièce, n'ayant pas peur d'y mettre le désordre jusqu'à ce qu'elle trouve enfin les deux pokéball de Maxime.
Soudain Émilie entend du vacarme venant du rez de chaussé. Elle met rapidement les pokéballs dans son sac et court vers les escaliers.
« Qu'est-ce que c'est que ce bordel ! Hurle la vieille femme sur le petit garçon en lui tirant les cheveux. C'est quoi cette boue ! C'est toi qui a fait ça ?! Tu as salopé ton pantalon en plus ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! »
La vieille femme entraîne de force le garçon dans la large salle de réception, richement décorée et d'une propreté impeccable et alors qu'elle se saisit de la ceinture entreposée dans un placard tout en jetant l'enfant sur le tapis, la femme sent une petite main ferme lui agripper fermement le poignet. Brusquement elle se retourne et croise le regard haineux d'une de ses ancienne pensionnaire perdue depuis presque un an.
D'abord effrayée par la jeune fille, la vieille femme recule de quelques pas alors que Maxime rampe derrière son amie.
« Toi ! Tu es revenue ! Où … ?
_ Je suis revenue pour t'empêcher de maltraiter d'autres enfants ! Crie Émilie en rage.
_ Toi tu vas voir ce que tu vas prendre ! Déclare la vieille femme en faisant claquer sa ceinture dans le vide »
N'ayant aucunement peur de la vieille femme, Émilie pose son sac à terre et donne ses pokéball à Maxime qui est heureux de les récupérer. Soudain la vielle femme frappe Émilie au bras avec la ceinture. Le coup est douloureux et la déséquilibre mais la fillette a subie des douleurs plus intenses, elle se redresse et fait face à la vieille femme.
L'agressivité de la femme fait peur à Maxime mais Émilie se place devant lui pour le protéger avant de se prendre un nouveau coup. Ne voulant pas être un poids, Maxime lance l'une de ses pokéball devant la vieille femme et dans un éclat de lumière, un Linéon apparaît entre la vieille femme et les deux enfants.
La femme n'a pas peur de Linéon et le frappe avec la ceinture mais son attaque surprise n'a fait qu'énerver Linéon qui, après l'ordre de son jeune dresseur, charge dans l'abdomen de la vieille femme qui tombe à la renverse et se tortille de douleur.
« Merci Maxime, dit Émilie.
_ Ça va ? T'as pas mal ? Demande le jeune garçon inquiet.
_ Un peu mais j'ai connu pire, déclare t-elle en prenant la main du garçon et le menant vers la sortie. »
Les deux enfants accompagnés de Linéon sortent lentement de la ville.
Maintenant qu'Émilie a décidée de s'occuper de Maxime, elle ne peut plus se permettre de dormir dehors sous la pluie, elle va devoir trouver un abri pour la nuit.
Une fois à la lisière de la forêt, s'abritant du mieux qu'ils peuvent sous un arbre, Émilie réfléchit à la manière de trouver un endroit où s'abriter correctement.
« Où va-t-on aller ? Demande Maxime inquiet.
_ J'ai encore des choses à faire ici mais ça ne prendra pas plus d'une semaine par contre je dois t'avouer que je n'ai pas prévu d'endroit où dormir mais ne t'inquiètes pas, j'y réfléchit, explique Émilie.
_ Où tu comptais dormir alors ? Demande le garçon.
_ Dehors, avoue la fille.
_ Vraiment ? Mais il fait super froid la nuit et en plus le soleil va bientôt se coucher…
_ Pas le choix alors, nous allons devoir aller dans la ville la plus proche et je sais où elle est mais ça risque d'être plutôt long.
_ Tu as mis combien de temps à y aller à pied ? Demande Maxime.
_ Trois ou quatre jours…
_ Ça prendra beaucoup plus de temps avec moi…
_ Non, ça prendra à peu près cinq heures, répond la fillette en prenant deux de ses pokéballs. Rappelles ton pokémon, demande t-elle au garçon.
_ D'accord, dit Maxime en rappelant son pokémon. »
Émilie fait alors apparaître Libégon et Dracaufeu devant son jeune ami qui est impressionné par la taille et la force apparente de ces pokémons.
Les deux grands pokémons volants sont méfiants vis à vis du jeune garçon, ils savent que leur maîtresse n'aiment pas trop les autres humains mais Émilie se rapproche d'eux et les rassurent leurs assurant que ce garçon est son ami. Dracaufeu se rappelle soudain de lui, Émilie l'avait battu à deux reprise grâce à lui il y a longtemps. La jeune fille invite ensuite Maxime, visiblement intimidé, à se rapprocher, les deux pokémons, qui conformément au vœu d'Émilie essayent d'avoir l'air le moins agressif possible, et après quelques secondes d'hésitation, Maxime se rapproche et caresse même la tête de Libégon.
« Nous allons avoir besoin de vous pour nous faire survoler la forêt vers la ville la plus proche » déclare Émilie à ses pokémons.
Comme à son habitude, Libégon ne montre aucun signe de contestation et comme à son habitude, Dracaufeu ne semble pas apprécier qu'on le prenne pour un moyen de transport. Conscient du caractère de ses pokémons, Émilie demande à Libégon de transporter Maxime tandis que Dracaufeu la transportera. Ne s'attendant pas à ce genre d'idée, Maxime conteste, il a peur de voler avec les pokémons mais Libégon ne lui laisse pas le choix et l'attrape à la taille avec ses pattes antérieures avant de décoller tandis qu'Émilie grimpe sur le dos de Dracaufeu qui fait la tête.
Maxime ne comprend pas la réaction de la fillette, il ne sait pas pourquoi elle se met soudainement à pleurer et à s'excuser. Le jeune garçon, sans rien dire, se baisse difficilement et s'agenouille sur les dalles froides du cimetière pour faire face au visage taché de larmes de la fillette qui fait tout pour ne pas croiser son regard.
Peu à peu Émilie se calme et arrête de pleurer.
« Je suis désolée, c'est de ma faute, dit-elle en regardant le sol.
_ Ce n'est pas vrai, mes parents ont été tués alors que tu n'étais pas là, répond le jeune garçon.
_ Si je n'avais pas attaqué ces mecs qui t'avaient frappés, si je ne les avaient pas blessés…
_ Mes parents sont morts parce qu'ils ne voulaient plus que la Team Rocket soient dans la ville, ce n'est pas à cause ça, j'ai été frappés pendant un mois pour être puni à ta place mais c'est tout ce qu'ils ont fait et ce n'était pas la Team Rocket, c'était ceux que tu as attaqué. »
Les explications du garçon soulagent un peu Émilie qui regarde dans les yeux compatissant du jeune garçon alors que les siens sont encore mouillés par les larmes.
La fillette se retrouve en ce garçon, leurs vies ont été détruites par la Team Rocket parce que leurs parents ont tentés de résister pour leur offrir un avenir meilleur.
Émilie se rapproche un peu du garçon et le prend dans ses bras et dans son esprit elle se jure de faire tout ce qu'elle peut pour l'aider.
Après quelques minutes, la jeune fille relâche Maxime.
« Je vais t'aider à t'enfuir, ce n'est pas grave si tu as une jambe invalide, je vais te faire sortir d'ici, déclare fermement Émilie.
_ Merci mais je ne peux pas partir, déclare Maxime.
_ Pourquoi ? Demande la fillette.
_ Mes pokémons… Les gens qui tiennent l'orphelinat me les ont confisquées…
_ Je vais les récupérés, annonce la fillette en se relevant et en tendant la main au garçon.
_ Tu le peux vraiment ? Demande Maxime qui hésite.
_ Je vais le faire, réponde Émilie.
_ Je veux partir d'ici… dit doucement le garçon. D'accord, je te suis, déclare t-il après quelques secondes tout en prenant la main de la fillette. »
Émilie aide le garçon à se relever et s'assure qu'il n'ait pas du mal à tenir sur ses jambes. Elle n'aurait jamais pensée être aussi proche de Maxime, avant de se quittés, ils étaient de simples rivaux, à peine amis mais aujourd'hui, leur malheur commun a créé un lien beaucoup plus fort.
« Allons à l'orphelinat, » déclare Émilie. Maxime hoche la tête et tous les deux se dirigent lentement vers cet endroit terrible.
Après de longues minutes à marcher à la cadence de Maxime, les deux enfants arrivent devant la porte brillante de l'orphelinat.
Émilie recule d'un pas pour avoir une vue d'ensemble du bâtiment et c'est avec colère qu'elle remarque qu'il n'a pas changé d'un poil, il est toujours aussi bien entretenu, aussi propre.
La jeune fille se rappelle, elle se rappelle de ces longues heures à astiquer la porte d'entrée, à nettoyer le plancher, les escaliers, le jardin, la cuisine, à faire la vaisselle et ce tous les jours et si le travail était mal fait, elle recevait plusieurs coups de ceinture ou de bâton.
En ce retournant vers Maxime qui reste pétrifié devant la maison, elle imagine le nombre incalculable de cicatrice qu'il doit avoir dans le dos.
Toute cette colère montée en elle, la fillette allait la déverser et elle commence en ouvrant violemment la porte et en entrant furieusement dans la maison suivit timidement par Maxime.
Rapidement elle traverse le couloir qui mène à la salle de réception puis elle emprunte les escaliers qui mène à l'étage. Émilie se déplace rapidement et furieusement dans le couloir du premier étage et ouvre la porte du bureau du propriétaire puis elle fouille dans la pièce, n'ayant pas peur d'y mettre le désordre jusqu'à ce qu'elle trouve enfin les deux pokéball de Maxime.
Soudain Émilie entend du vacarme venant du rez de chaussé. Elle met rapidement les pokéballs dans son sac et court vers les escaliers.
« Qu'est-ce que c'est que ce bordel ! Hurle la vieille femme sur le petit garçon en lui tirant les cheveux. C'est quoi cette boue ! C'est toi qui a fait ça ?! Tu as salopé ton pantalon en plus ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! »
La vieille femme entraîne de force le garçon dans la large salle de réception, richement décorée et d'une propreté impeccable et alors qu'elle se saisit de la ceinture entreposée dans un placard tout en jetant l'enfant sur le tapis, la femme sent une petite main ferme lui agripper fermement le poignet. Brusquement elle se retourne et croise le regard haineux d'une de ses ancienne pensionnaire perdue depuis presque un an.
D'abord effrayée par la jeune fille, la vieille femme recule de quelques pas alors que Maxime rampe derrière son amie.
« Toi ! Tu es revenue ! Où … ?
_ Je suis revenue pour t'empêcher de maltraiter d'autres enfants ! Crie Émilie en rage.
_ Toi tu vas voir ce que tu vas prendre ! Déclare la vieille femme en faisant claquer sa ceinture dans le vide »
N'ayant aucunement peur de la vieille femme, Émilie pose son sac à terre et donne ses pokéball à Maxime qui est heureux de les récupérer. Soudain la vielle femme frappe Émilie au bras avec la ceinture. Le coup est douloureux et la déséquilibre mais la fillette a subie des douleurs plus intenses, elle se redresse et fait face à la vieille femme.
L'agressivité de la femme fait peur à Maxime mais Émilie se place devant lui pour le protéger avant de se prendre un nouveau coup. Ne voulant pas être un poids, Maxime lance l'une de ses pokéball devant la vieille femme et dans un éclat de lumière, un Linéon apparaît entre la vieille femme et les deux enfants.
La femme n'a pas peur de Linéon et le frappe avec la ceinture mais son attaque surprise n'a fait qu'énerver Linéon qui, après l'ordre de son jeune dresseur, charge dans l'abdomen de la vieille femme qui tombe à la renverse et se tortille de douleur.
« Merci Maxime, dit Émilie.
_ Ça va ? T'as pas mal ? Demande le jeune garçon inquiet.
_ Un peu mais j'ai connu pire, déclare t-elle en prenant la main du garçon et le menant vers la sortie. »
Les deux enfants accompagnés de Linéon sortent lentement de la ville.
Maintenant qu'Émilie a décidée de s'occuper de Maxime, elle ne peut plus se permettre de dormir dehors sous la pluie, elle va devoir trouver un abri pour la nuit.
Une fois à la lisière de la forêt, s'abritant du mieux qu'ils peuvent sous un arbre, Émilie réfléchit à la manière de trouver un endroit où s'abriter correctement.
« Où va-t-on aller ? Demande Maxime inquiet.
_ J'ai encore des choses à faire ici mais ça ne prendra pas plus d'une semaine par contre je dois t'avouer que je n'ai pas prévu d'endroit où dormir mais ne t'inquiètes pas, j'y réfléchit, explique Émilie.
_ Où tu comptais dormir alors ? Demande le garçon.
_ Dehors, avoue la fille.
_ Vraiment ? Mais il fait super froid la nuit et en plus le soleil va bientôt se coucher…
_ Pas le choix alors, nous allons devoir aller dans la ville la plus proche et je sais où elle est mais ça risque d'être plutôt long.
_ Tu as mis combien de temps à y aller à pied ? Demande Maxime.
_ Trois ou quatre jours…
_ Ça prendra beaucoup plus de temps avec moi…
_ Non, ça prendra à peu près cinq heures, répond la fillette en prenant deux de ses pokéballs. Rappelles ton pokémon, demande t-elle au garçon.
_ D'accord, dit Maxime en rappelant son pokémon. »
Émilie fait alors apparaître Libégon et Dracaufeu devant son jeune ami qui est impressionné par la taille et la force apparente de ces pokémons.
Les deux grands pokémons volants sont méfiants vis à vis du jeune garçon, ils savent que leur maîtresse n'aiment pas trop les autres humains mais Émilie se rapproche d'eux et les rassurent leurs assurant que ce garçon est son ami. Dracaufeu se rappelle soudain de lui, Émilie l'avait battu à deux reprise grâce à lui il y a longtemps. La jeune fille invite ensuite Maxime, visiblement intimidé, à se rapprocher, les deux pokémons, qui conformément au vœu d'Émilie essayent d'avoir l'air le moins agressif possible, et après quelques secondes d'hésitation, Maxime se rapproche et caresse même la tête de Libégon.
« Nous allons avoir besoin de vous pour nous faire survoler la forêt vers la ville la plus proche » déclare Émilie à ses pokémons.
Comme à son habitude, Libégon ne montre aucun signe de contestation et comme à son habitude, Dracaufeu ne semble pas apprécier qu'on le prenne pour un moyen de transport. Conscient du caractère de ses pokémons, Émilie demande à Libégon de transporter Maxime tandis que Dracaufeu la transportera. Ne s'attendant pas à ce genre d'idée, Maxime conteste, il a peur de voler avec les pokémons mais Libégon ne lui laisse pas le choix et l'attrape à la taille avec ses pattes antérieures avant de décoller tandis qu'Émilie grimpe sur le dos de Dracaufeu qui fait la tête.
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