Le monde terrible de pokémon
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Réaliste , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 19
Le gangster
Publié le 17/05/14 à 01:04:22 par Camion2LaGalayr
Depuis longtemps déjà le soleil éclaire la plaine et le corps de la jeune fille endormie dans l'herbe de la plaine. Le vent léger emporte avec lui les feuilles tombées des arbres voisins ainsi que de multiples odeurs. La chaleur de la journée réchauffe le corps de la fillette, disposée pour plusieurs heures de sieste supplémentaire mais sur la joue de cette dernière, un muscle humide vient se poser.
Le contact de la langue du pokémon suffit pour réveiller la fillette qui surprise bondi, s'éloignant le plus vite possible. Elle a paniqué quelques secondes mais maintenant elle est rassurée, elle voit qu'ils ne veulent pas lui faire de mal.
En effet c'était bien la curiosité qui a amené le groupe composé de galopa et ponyta vers la jeune fille.
Une fois Émilie debout, les pokémons feu partent dans la direction opposée à l'objectif d'Émilie, Aéropolis.
Cela fait deux jours que la jeune fille à quitté le village où elle a séjourné et où elle s'est entraînée, deux jours qu'elle marche à travers la plaine, divisant de moitié le temps de trajet par rapport au fait de suivre la route. Elle estime que si elle garde la même cadence, elle sera arrivée dans trois jours.
Après deux heures de marche, les jambes de la fillette lui font affreusement mal et la chaleur rend ses mouvements pénibles. Elle s'arrête et s'assoit dans l'herbe et par la même occasion, elle sort tous ses pokémons de leurs pokéballs.
À chaque pauses de la jeune fille, c'est aux pokémons de faire des effort. Émilie leur ordonnent de s'entraîner entre eux pendant qu'elle se repose.
À force, les pokémons sont devenus autonomes. Ils se mettent par deux et commencent à se battre.
Cette fois salamèche affronte roucool tandis que chétiflor combat chrysacier.
Le combat entre roucool et salamèche est intense, le pokémon feu crache ses petites flammes sur le pokémon oiseau qui les esquivent brillamment. Par contre le combat entre chrysacier et chétiflor n'a rien de vraiment passionnant. Le pokémon plante frappe de ses lianes le pokémon insecte qui ne réplique qu'en augmentant sa résistance. Chrysacier est plusieurs fois soulevé et jeté au sol mais à chaque fois, grâce à des mouvements aussi faibles que grossiers, il se redresse.
Pendant un quart d'heure, les combats continuent. Roucool finit par triompher de salamèche qui ayant craché trop de flamme, ne pouvait pas résister à l'attaque tornade du pokémon oiseau.
Le combat entre chétiflor et chrysacier est plus long mais chrysacier finit par tomber sous les coups de chétiflor.
Ayant admiré le combat pendant son repos, Émilie rappelle tous ses pokémons, les félicitant tous pour leurs efforts.
Avec détermination, elle se relève et continue son chemin vers Aéropolis.
Trois jours ont passés et la voici en vue d'Aéropolis. Depuis la colline herbeuse, la fillette observe la frénésie propre à la ville. Un important trafique aérien occupait le ciel, dispersant les pokémons volants, le bleu du ciel est zébré de la fumée blanche des appareils au dessus des grands immeubles et des tours de contrôle.
« Je vais pouvoir faire le plein de ravitaillement ici » pense Émilie en souriant doucement avant de descendre de la colline.
Une fois dans les rues, Émilie prend quelques repères et guette une potentiel cible, un homme en costume, une mallette noire à la main.
Après quelques minutes de filature, elle se décide à agir. Elle se met à courir vers sa victime et la pousse brusquement, la faisant tomber au sol. Avant que l'homme ne comprenne ce qui lui arrive, la fillette prend le porte-monnaie qui est dans sa poche arrière et s'enfuit.
Rapidement, la jeune fille avait disparut dans les ruelles sombres du quartier industriel qui n'était pas si lointain. Ces attaques surprises et plutôt violentes, et surtout en publique, elle n'en avait pas l'habitude, elle préfère de loin les vols discrets mais elle ne tient pas à perdre de temps.
Doucement, la fille reprend son souffle dans la sombre ruelle. Une fumée blanche s'échappe d'une bouche d'aération d'un bâtiment voisin et au travers, une forme grise est visible.
Émilie remarque la silhouette qui semble se rapprocher d'elle. Elle sort doucement son couteau de sa poche et le cache derrière son dos tout en reculant tout aussi doucement.
La silhouette fini par traverser la fumée. Un homme, grand, la trentaine, avec un blouson en cuire marron et des cicatrices au visage s'approche de la jeune fille.
« J'ai vu ce que tu as fais, petite, dit l'homme d'une voix inquiétante.
Ici c'est mon territoire, pas de vols, pas de trafics, pas de meurtres sans ma permission. Tu n'es sans doute pas au courant, dommage pour toi, continue t-il avec un sourire en coin.
Donne moi ce porte feuille maintenant et je verrais ce que je vais faire de toi, rajoute t-il en tendant la main vers la jeune fille. »
La jeune fille recule de plus en plus mais à force, son dos finit par se coller au mur d'une vieille usine en brique rouge et froides. L'homme continue à avancer vers elle, lui même n'est pas encore sûr de ce qu'il va faire de la petite fille mais il sait que si elle continue de lui faire perdre autant de temps, elle allait devoir subir d'atroces sévices.
Émilie est paralysée, elle tremble, elle hésite. Son instinct lui dicte de donner le porte feuille. Finalement, alors que l'homme est tout près, elle finie par lui céder ce qu'il demande.
Il prend le porte-monnaie et le met dans sa poche arrière puis il pose ses mains sur les épaules de la fillette chancelante. Cette dernière évite son regard et concentre celui-ci sur le sol.
« Je n'ai jamais dis que je te laisserais partir, dit-il en affichant un sourire démoniaque. »
Émilie comprit et en un instant, elle imagine ce que cet homme va lui faire. Cela fait ressortir tous ses souvenirs douloureux du passé en une fraction de seconde. La peur, la haine, ces sentiments font en un instant déconnecter l'esprit de la jeune fille.
La fillette relève la tête et c'est un regard vide et inexpressif qui se pose sur le visage hideux du gangster.
L'homme est surprit et apeuré par ce soudain regard glacial, l'emprise de ses mains sur les épaules de la jeune fille se fait faible.
Soudain, le bras tenant le couteau d'Émilie se lance sur l'homme. Ce dernier arrive à éviter l'attaque de justesse en reculant rapidement.
Choqué par la réaction violente et soudaine de la jeune fille, il reprend ses esprit et furieux, il sort de son blouson de cuir un pistolet de 9mm chargé et prêt à tiré.
« C'était une mauvaise idée, dit-il en ricanant. ».
Le contact de la langue du pokémon suffit pour réveiller la fillette qui surprise bondi, s'éloignant le plus vite possible. Elle a paniqué quelques secondes mais maintenant elle est rassurée, elle voit qu'ils ne veulent pas lui faire de mal.
En effet c'était bien la curiosité qui a amené le groupe composé de galopa et ponyta vers la jeune fille.
Une fois Émilie debout, les pokémons feu partent dans la direction opposée à l'objectif d'Émilie, Aéropolis.
Cela fait deux jours que la jeune fille à quitté le village où elle a séjourné et où elle s'est entraînée, deux jours qu'elle marche à travers la plaine, divisant de moitié le temps de trajet par rapport au fait de suivre la route. Elle estime que si elle garde la même cadence, elle sera arrivée dans trois jours.
Après deux heures de marche, les jambes de la fillette lui font affreusement mal et la chaleur rend ses mouvements pénibles. Elle s'arrête et s'assoit dans l'herbe et par la même occasion, elle sort tous ses pokémons de leurs pokéballs.
À chaque pauses de la jeune fille, c'est aux pokémons de faire des effort. Émilie leur ordonnent de s'entraîner entre eux pendant qu'elle se repose.
À force, les pokémons sont devenus autonomes. Ils se mettent par deux et commencent à se battre.
Cette fois salamèche affronte roucool tandis que chétiflor combat chrysacier.
Le combat entre roucool et salamèche est intense, le pokémon feu crache ses petites flammes sur le pokémon oiseau qui les esquivent brillamment. Par contre le combat entre chrysacier et chétiflor n'a rien de vraiment passionnant. Le pokémon plante frappe de ses lianes le pokémon insecte qui ne réplique qu'en augmentant sa résistance. Chrysacier est plusieurs fois soulevé et jeté au sol mais à chaque fois, grâce à des mouvements aussi faibles que grossiers, il se redresse.
Pendant un quart d'heure, les combats continuent. Roucool finit par triompher de salamèche qui ayant craché trop de flamme, ne pouvait pas résister à l'attaque tornade du pokémon oiseau.
Le combat entre chétiflor et chrysacier est plus long mais chrysacier finit par tomber sous les coups de chétiflor.
Ayant admiré le combat pendant son repos, Émilie rappelle tous ses pokémons, les félicitant tous pour leurs efforts.
Avec détermination, elle se relève et continue son chemin vers Aéropolis.
Trois jours ont passés et la voici en vue d'Aéropolis. Depuis la colline herbeuse, la fillette observe la frénésie propre à la ville. Un important trafique aérien occupait le ciel, dispersant les pokémons volants, le bleu du ciel est zébré de la fumée blanche des appareils au dessus des grands immeubles et des tours de contrôle.
« Je vais pouvoir faire le plein de ravitaillement ici » pense Émilie en souriant doucement avant de descendre de la colline.
Une fois dans les rues, Émilie prend quelques repères et guette une potentiel cible, un homme en costume, une mallette noire à la main.
Après quelques minutes de filature, elle se décide à agir. Elle se met à courir vers sa victime et la pousse brusquement, la faisant tomber au sol. Avant que l'homme ne comprenne ce qui lui arrive, la fillette prend le porte-monnaie qui est dans sa poche arrière et s'enfuit.
Rapidement, la jeune fille avait disparut dans les ruelles sombres du quartier industriel qui n'était pas si lointain. Ces attaques surprises et plutôt violentes, et surtout en publique, elle n'en avait pas l'habitude, elle préfère de loin les vols discrets mais elle ne tient pas à perdre de temps.
Doucement, la fille reprend son souffle dans la sombre ruelle. Une fumée blanche s'échappe d'une bouche d'aération d'un bâtiment voisin et au travers, une forme grise est visible.
Émilie remarque la silhouette qui semble se rapprocher d'elle. Elle sort doucement son couteau de sa poche et le cache derrière son dos tout en reculant tout aussi doucement.
La silhouette fini par traverser la fumée. Un homme, grand, la trentaine, avec un blouson en cuire marron et des cicatrices au visage s'approche de la jeune fille.
« J'ai vu ce que tu as fais, petite, dit l'homme d'une voix inquiétante.
Ici c'est mon territoire, pas de vols, pas de trafics, pas de meurtres sans ma permission. Tu n'es sans doute pas au courant, dommage pour toi, continue t-il avec un sourire en coin.
Donne moi ce porte feuille maintenant et je verrais ce que je vais faire de toi, rajoute t-il en tendant la main vers la jeune fille. »
La jeune fille recule de plus en plus mais à force, son dos finit par se coller au mur d'une vieille usine en brique rouge et froides. L'homme continue à avancer vers elle, lui même n'est pas encore sûr de ce qu'il va faire de la petite fille mais il sait que si elle continue de lui faire perdre autant de temps, elle allait devoir subir d'atroces sévices.
Émilie est paralysée, elle tremble, elle hésite. Son instinct lui dicte de donner le porte feuille. Finalement, alors que l'homme est tout près, elle finie par lui céder ce qu'il demande.
Il prend le porte-monnaie et le met dans sa poche arrière puis il pose ses mains sur les épaules de la fillette chancelante. Cette dernière évite son regard et concentre celui-ci sur le sol.
« Je n'ai jamais dis que je te laisserais partir, dit-il en affichant un sourire démoniaque. »
Émilie comprit et en un instant, elle imagine ce que cet homme va lui faire. Cela fait ressortir tous ses souvenirs douloureux du passé en une fraction de seconde. La peur, la haine, ces sentiments font en un instant déconnecter l'esprit de la jeune fille.
La fillette relève la tête et c'est un regard vide et inexpressif qui se pose sur le visage hideux du gangster.
L'homme est surprit et apeuré par ce soudain regard glacial, l'emprise de ses mains sur les épaules de la jeune fille se fait faible.
Soudain, le bras tenant le couteau d'Émilie se lance sur l'homme. Ce dernier arrive à éviter l'attaque de justesse en reculant rapidement.
Choqué par la réaction violente et soudaine de la jeune fille, il reprend ses esprit et furieux, il sort de son blouson de cuir un pistolet de 9mm chargé et prêt à tiré.
« C'était une mauvaise idée, dit-il en ricanant. ».
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