Le monde terrible de pokémon
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Réaliste , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 1
La neige tombe
Publié le 29/04/14 à 14:04:24 par Camion2LaGalayr
Le vent glacé souffle sur l'immense forêt de pins enneigée et lui qui était tout à l'heure un véritable blizzard semble se calmer au moins un peu.
La forêt est presque déserte, seuls les stalgamins et les blizzis semblent l'habitée, seuls quelques uns de ces êtres donnent un sentiment mouvement et de vie au bois durant cet hiver tardif car cela fait maintenant un mois que les neiges auraient dû fondre mais il n'en est rien.
Au cœur de cette forêt, la ville Granbois semble paralysée. Il faut dire que cette citée n'est pas réputée pour son frétillement et sa joie de vivre, dans cette ville, comme dans toutes les autres, tout le monde est pressé, sur les nerfs, seul le travail et les profits comptent. De plus, ces dernières années, la criminalité a grandement augmentée et la crise économique du pays n'a pas arrangée les choses, la police est actuellement débordée, les prisons sont pleines.
À plusieurs kilomètres de Granbois, à une heure et demie de marche environ, une vieille cabane en bois délabrée s'impose péniblement entre les arbres. Les carreaux sont fissurés, les planches moisies, à l'intérieur, la plupart du mobilier est en morceaux, la cheminée s'est écroulée, le sol est sale, poussiéreux, le planché est troué de toute part, les portes menant aux autres pièces sont défoncées et au milieu de ce chaos, recroquevillée au pied du mur du fond de la pièce principale, une jeune fille de douze ans habillée de haillon essaye de se réchauffer autant qu'elle peu.
Elle s'appelle Émilie. Il y a encore un an, elle étudiait à l'école de Granbois dans le but d'être institutrice comme le rêvent beaucoup de filles de son âge. Elle était plutôt heureuse avec ses parents, sa famille avait un niveau de vie moyen mais tout à fait vivable et surtout simple. Son père était le gérant d'un petit restaurant et sa mère était son associée.
Les parents d'Émilie n'avaient aucun soucis excepté la phobie de leur fille des pokémons. Ils avaient essayé plusieurs psychologues pour résoudre ce problème mais aucune thérapie n’eut d'effets.
Malgré cet échec, la vie était paisible pour la famille et la vie suivait son cours jusqu'au jour où alors que la jeune fille était à l'école, un agent de police entra dans la salle de classe, la prise seule dans un endroit discret de l'établissement pour lui annoncer que le restaurant de ses parents avait été victime d'un attentat à la bombe et que son père et sa mère avaient été tués dans l'explosion.
Depuis ce jour là, la vie d'Émilie ne fut que souffrance et tragédies. Après la mort de se parents, Émilie fut transférée dans un orphelinat et elle y resta plusieurs mois, plusieurs longs mois à supporter les coups des gérants qui la battaient et les journées entières à faire les tâches les plus ingrates.
N'en pouvant plus, elle finie par s'enfuir en une fin d'été. Recherchée par la police, elle ne voulait pas retourner dans l'orphelinat, elle craignait les représailles de sa fugue. Elle trouva finalement un abri lorsqu'un homme, habillé de noir avec une casquette où, à l'instar de son uniforme, était cousu un « R » rouge, lui proposa de rester dans un entrepôt lugubre.
Elle ne resta seulement quelques heures au calme dans le bâtiment car très vite, d'autre hommes similaires à son sauveur entrèrent dans l'entrepôt. Un homme, différent des autres car il ne portait pas d'uniforme, lui annonça que tout ces gens faisaient partit d'une organisation, la « Team Rocket » et que c'est justement cette organisation qui avait fait assassiner ses parents. Suite à cela, et ce pendant des jours, la jeune fille fut battue par ces hommes et les pokémons qui les accompagnèrent, jusqu'à finalement, être relâchée dans la rue.
Par peur de se faire retrouver par la police ou par ces gens, elle s'enfuit dans la forêt, cette forêt infestée de pokémons, ces créatures repoussantes qu'elle ne supportait pas. Elle finit par tomber sur une vieille cabane abandonnée et décida d'y vivre, n'en sortant seulement pour chercher de la nourriture, dans la forêt ou en volant les marchands en ville, et se réapprovisionner en eau.
Maintenant, Émilie se demande si la mort pourrait la libérer de la morsure du froid qui la torture tellement.
La forêt est presque déserte, seuls les stalgamins et les blizzis semblent l'habitée, seuls quelques uns de ces êtres donnent un sentiment mouvement et de vie au bois durant cet hiver tardif car cela fait maintenant un mois que les neiges auraient dû fondre mais il n'en est rien.
Au cœur de cette forêt, la ville Granbois semble paralysée. Il faut dire que cette citée n'est pas réputée pour son frétillement et sa joie de vivre, dans cette ville, comme dans toutes les autres, tout le monde est pressé, sur les nerfs, seul le travail et les profits comptent. De plus, ces dernières années, la criminalité a grandement augmentée et la crise économique du pays n'a pas arrangée les choses, la police est actuellement débordée, les prisons sont pleines.
À plusieurs kilomètres de Granbois, à une heure et demie de marche environ, une vieille cabane en bois délabrée s'impose péniblement entre les arbres. Les carreaux sont fissurés, les planches moisies, à l'intérieur, la plupart du mobilier est en morceaux, la cheminée s'est écroulée, le sol est sale, poussiéreux, le planché est troué de toute part, les portes menant aux autres pièces sont défoncées et au milieu de ce chaos, recroquevillée au pied du mur du fond de la pièce principale, une jeune fille de douze ans habillée de haillon essaye de se réchauffer autant qu'elle peu.
Elle s'appelle Émilie. Il y a encore un an, elle étudiait à l'école de Granbois dans le but d'être institutrice comme le rêvent beaucoup de filles de son âge. Elle était plutôt heureuse avec ses parents, sa famille avait un niveau de vie moyen mais tout à fait vivable et surtout simple. Son père était le gérant d'un petit restaurant et sa mère était son associée.
Les parents d'Émilie n'avaient aucun soucis excepté la phobie de leur fille des pokémons. Ils avaient essayé plusieurs psychologues pour résoudre ce problème mais aucune thérapie n’eut d'effets.
Malgré cet échec, la vie était paisible pour la famille et la vie suivait son cours jusqu'au jour où alors que la jeune fille était à l'école, un agent de police entra dans la salle de classe, la prise seule dans un endroit discret de l'établissement pour lui annoncer que le restaurant de ses parents avait été victime d'un attentat à la bombe et que son père et sa mère avaient été tués dans l'explosion.
Depuis ce jour là, la vie d'Émilie ne fut que souffrance et tragédies. Après la mort de se parents, Émilie fut transférée dans un orphelinat et elle y resta plusieurs mois, plusieurs longs mois à supporter les coups des gérants qui la battaient et les journées entières à faire les tâches les plus ingrates.
N'en pouvant plus, elle finie par s'enfuir en une fin d'été. Recherchée par la police, elle ne voulait pas retourner dans l'orphelinat, elle craignait les représailles de sa fugue. Elle trouva finalement un abri lorsqu'un homme, habillé de noir avec une casquette où, à l'instar de son uniforme, était cousu un « R » rouge, lui proposa de rester dans un entrepôt lugubre.
Elle ne resta seulement quelques heures au calme dans le bâtiment car très vite, d'autre hommes similaires à son sauveur entrèrent dans l'entrepôt. Un homme, différent des autres car il ne portait pas d'uniforme, lui annonça que tout ces gens faisaient partit d'une organisation, la « Team Rocket » et que c'est justement cette organisation qui avait fait assassiner ses parents. Suite à cela, et ce pendant des jours, la jeune fille fut battue par ces hommes et les pokémons qui les accompagnèrent, jusqu'à finalement, être relâchée dans la rue.
Par peur de se faire retrouver par la police ou par ces gens, elle s'enfuit dans la forêt, cette forêt infestée de pokémons, ces créatures repoussantes qu'elle ne supportait pas. Elle finit par tomber sur une vieille cabane abandonnée et décida d'y vivre, n'en sortant seulement pour chercher de la nourriture, dans la forêt ou en volant les marchands en ville, et se réapprovisionner en eau.
Maintenant, Émilie se demande si la mort pourrait la libérer de la morsure du froid qui la torture tellement.
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