Chapitre 68

Je vis alors un mec de face, collé à une fille, qui était de dos à moi... cette fille, c'était Mélanie. Il avait la main dans son jean, lui caressant alors les fesses, et l'autre dans son t-shirt, atteignant presque ses seins.. tout en s'embrassant.. sans pouvoir voir si il avait son jean défait ou pas. J'étais alors face à eux, le mec me regardait alors comme s'il était victime de quelque chose, et je la vis se retourner, une bretelle de soutiens gorge sur son bras, son débardeur presque enlevé.

Elle se retourna vite face à moi, ce qui me permis de voir l'état dans laquelle elle se trouvait. Elle avait l'air ivre, et ne semblait psa bien. Heureusement, elle avait toujours son pantalon ouvert, tout comme celui du mec, et le soutien-gorge n'était pas totalement ouvert, j'étais arrivé au bon moment. Elle marcha lentement vers moi avant de me serrer dans ses bras.

- Non mais tu te fous de ma gueule , t'oses venir m'embrasser en plus ?
- Vince...

Elle se mit alors à genoux, une main sur ses yeux, elle n'avait pas l'air bien, tout en me serrant la mienne avec sa seconde main. Je pensais sur le coup qu'elle se foutait de ma gueule, mais c'est une fois avoir vu son visage , que je trouvais qu'il était bizarre, sûrement l'alcool. J'avais une rage croissante en moi contre le mec, en face de moi, qui souriait d'un air désinvolte en face de nous. Je m'approchais de lui, lui choppa le col, avant de lui lancer :

- Espèce de conn*rd, tu lui as fait quoi ?
- Comment ça, j'ai fait ? Tu l'as vu ? Tu t'es vu ? Tu crois pas que c'est normal qu'elle aille voir ailleurs, vu ta gueule ?

Mon poing s'était serré dès le début de sa remarque, et termina dans son visage, sur sa joue après l'avoir fini. Il posa un genoux à terre, et lorsqu'il tenta de se relever, retomba net à la suite du coup de genoux dans la machoîre. Il était devant moi, en train de se tenir la tête, en gromelant certains trucs incompréhensibles. Je pris Mélanie dans mes bras, la soulevant( Bodyguard, sisi ) , et sortie avec elle de la maison, sous les regards et incompréhension de la plupart. Je vis l'amie de Laura du début de la fête,lui dit d e prévenir Laura de mon départ, et sortie , regagnant sa maison.

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Lendemain matin


Il était aux alentours de 9h quand elle se réveilla. Elle ne semblait pas bien, s'était endormi dans mes bras la veille, et se réveilait à l'instant. Je ne savais pas enore comment réagir, j'avais juste envie de comprendre la situation, avant de prendre une décision trop hâtive.. je l'aimais encore, et ça ne chanerai pas de sitôt.
Elle fixait le vide, elle avait l'air triste, je ne savais pas ce qu'elle pensait, ni ce qu'elle comptait me dire. Je décidais de commencer, pour lui faciliter la tâche.

- Dis, il faudrait quand même que tu m'expliques pour..
- II a voulu abuser de moi..
- De... non.
- Hier... j'étais avec quelques amis, on a sûrement un peu bu, sûrement trop. Et, il .. il m'a dit de venir voir, puis il a commencé à m'embrasser. J'ai tenté de le repousser, mais il m'a plaqué contre le mur et a commencé à.. m'enlever certains vêtements.. je suis vraiment désolé, mais j'ai pas pu, j'étaistrop bourré pour réaliser ou faire quelque chose..

J'eu alors , à cet instant précis envie de tuer ce mec,de le retrouver, et d'en finir avec son existence qu'il ne méritait pas. Je me suis cependant dit que je ne vaudrais pas mieux que lui, et décidais de me calmer pour prendre la meilleur déicison.
L'important était que Mélanie aille mieux, qu'elle se remette de tout ça, et qu'elle me fasse confiance pour les évènements à suivre. Malgré ses confidences, une part en moi réfusait de croise à cette version.. était-ce une salope finie qui me trompait et faisait croise qu'elle était victime de viole.. je ne savais pas encore.

Je restais près d'elle toute la journée,dans ses bras,sans savoir réellement où je devais me tenir par rapport à tout ça, avant qu'elle rentre chez elle, en fin de journée.

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Lendemin matin, agiain

On était alors Lundi, c'était le début d'une nouvelle semaine. Après des cours toujours plus ennuyeux, et des contacts difficiles suite à ma prise de conscience, ma journée s'annoncait comme définitivement moisie. En sortant du lycée, je vis le mec que j'avaisdéfoncé la veille, accompagné par 3 de ses potes, en train de m'attendre, apparemment, accomapgné par Mélanie, à côté de lui, qui me criait de rentrer chez moi une fois qu'elle m'eut vu. Ces abrutis voulaient sans doute me dégommer, devant le lycée, devant Mélanie... je ne comptais pas me défiler.