La 2)



Pour une fois depuis une plombe, vous avez un coup d'avance sur vos adversaires, et c'est bien le moment d'en profiter. Après une brève téléportation vers une boulangerie vide, vous faites le plein d'énergie, de croissant, de pains aux chocolats et de toute autre met patissier très apétissant, et puis après tout, la ville ayant été évacué, personne vous fera chier pour ça, y'a pire...

Devant la petite église, vous attendez... 5 minutes, toujours rien. Comme si l'endroit était clos et désert. Approchant doucement, vous entrez dans le batiment, et toujours de manière très discrète et subtile, vous avancez doucement pour visiter chaque recoin de l'endroit, pour ensuite les détruire de manière indirecte grâce à votre fameux pouvoir : la foudre. :


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Suite à la victimisation du garde, à qui vous avez délibérément mis une balayette après ses informations utile, ce dernier a passé un coup de téléphone, que, malheureusement, vous ne pouvez point entendre, vu que la "super-ouie" vous a été enlevé au profit de la super foudre.

- BOSS ! J'ai croisé l'enculé à la cagoule !
- Il est mort.
- Je vous assure que non ! Ce mec est en vie plus que jamais, j'ai pas rêvé, il a même des pouvoirs, encore plus de pouvoirs qu'avant !
- Qu'as-tu fait ?
- La même chose que si j'avais vu votre fils ou son bras droit, je l'ai mené vers sa perte. Il s'est lui-même jeté dans la gueule du loup.
- Ce stratagème était fait pour Marco ou... Mon "fils"...
-...
- C'est tout de même étrange de revenir à la vie, j'avais bien cru tué ce gosse à problème définitivement, il me surprend. Bon, les choses avancent de mon coté, restez sur vos gardes, massacrez du noir ( l'Ordre Noir hein, no racism... )
- Compris chef. Nous continuons notre diversion pas de problème !


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Cherchant désespérement une trace de vos assaillants, vous tombez nez-à-nez sur un curé, resté pour protéger ce lieu saint malgré le climat de guerre environnant. Vous lui serrez la main pour son courage, en espérant avoir quelques bénédictions dans vos recherches et acquérir le salut final au moment de votre décès, ça peut toujours servir d'aller au paradis.

- Monsieur partez loin !
- Non ! Cette Eglise est ma maison !
- Ce sera bientot le lieu d'un carnage, je dis ça pour vous hein...
- Un p'tit mécréant ne peut rien comprendre à la religion ! (

Enervé par son attitude, vous téléportez l'homme au Cameroun, dans un petit village très desertique et aride. Le religieux n'en croit pas ses yeux : Votre téléportation la rendu bouche bée

- Mon Dieu qu'as-tu fait !
- Je vous permet d'exercé votre métier de paix et d'amour dans des endroits où les gens en ont vraiment besoin. L'Evangélisation a du bon. Bref adieu
- Attend ! Mais...

Après ce mini-ownage sur un curé, vous reprenez vos recherches dans l'Eglise, mais toujours rien. Arrivé à un petit autel, vous regardez près... De plus en plus près... Pour aperçevoir un petit objet, avec un compte à rebours... 3... Damnation ...2... C'etait un piège...1 On vous a dirigé droit vers une bombe

*BOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMMMMMMMMMMM*


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- Marco... J'ai bien cru que c'etait la fin pour toi.
- J'ai beaucoup de ressources frère Joe
- Tu es arrivé au bon moment, disons que j'étais assez en mauvaise posture pour le coup
- Quelque chose me dérange...
- Qu'est-ce donc ?
- C'est quoi la probabilité pour qu'un éclair se dirige en plein sur moi, tout à l'heure au stade. J'ai cru à la fin, et pourtant... L'enculé à la cagoule m'a sauvé.
- Pardon ?
- Vous m'avez bien entendu, ce gars... Est toujours en vie.
- Impossible, je lui ai pourtant injecté du poison, mon père l'a même fini sur place. J'ai beau détesté mon père, tuer, c'est l'une des seule choses qu'il arrive à bien faire, alors... Comment ?
- Aucune idée, mais vous deviez le savoir.
- Une erreur. C'etait une erreur de lui filé ces pouvoirs, dorénavant ça lui monte à la tête, dejà qu'il me semblait assez atteint psychologiquement sans être méchant...
- Regardez le bon coté des choses, cela nous a permis de venir à bout de chacun des lieutenants de l'Ordre Rouge, Dario est seul face à nous et se cache pitoyablement...
- Il guette nos faux pas, je connais mon père, il a l'habitude d'être très prudent.
- Oh oui mon fils... Tu me connais très bien.

Alors qu'Alexis et Marco faisaient le point dans une maison abandonné à cause des dêgats environnant, un homme, le boss de l'Ordre Rouge, s'approche d'eux, doucement, lentement, la clope au bec, de son regard ténébreux et froid, comme ravie de retrouver ses deux ennemis :

- Content de vous revoir. Mais sache que je n'ai aucune raison de fuir. Même en désavantage numérique, je suis supérieur à un malchanceux victime de tonnerre et à mon cher et tendre fils au poignet cassé...