La 1)



- C'est rare des hommes qui s'assument complètement de nos jours, lui dites vous ouvertement la main sur le coeur avec une grande émotion de voir un véritable héros.
- Sympa gamin, j'ai près de 95 balais et je pète toujours le feu !
- Bien dit Montgomery.
- La France a beaucoup changé entre temps, c'est cruel.
- Mais vous étiez vu comment à l'époque ?
- Peu avant la guerre, un dilemme s'imposait à moi, du fait de mes origines française par ma mère et allemande par mon père, chacune des armées me faisait les yeux doux, j'approchais tout juste la vingtaine.
- Comment vous avez fait alors ?
- Disons que le destin m'a forcé la main. Ma mère s'est faite agressé sexuellement de manière très virulente par un soldat français, simplement parce qu'elle était soupçonné de collaboration, du fait de son mari allemand. A ce moment là, j'ai arrêté de croire en la France. Se battre pour un pays capable de violer ces propres compatriotes, c'est un principe impensable à mes yeux ! Les allemands ont peut-être eu une forte politique expantionniste et virulente à l'égard des étrangers, mais ce peuple savait se serrer les couilles lors des moments dures, et pour cela, ils etaient respectables ! J'ai consacré toute mes forces à écraser les oppositions, mais ces fils de communistes vêtue de rouge ont gaché la fête. La France a ouvert la bouche durant tout le début de la guerre, soumis à notre puissance, en train de boire notre urine à la demande, et à cause des ruskov, la donne a changé, et ce pays a retourné sa veste pour jouer aux résistants ! Du coup, lorsque l'état de l'armée allemande ne cessait de se dégrader, que mein führer baissait petit à petit les bras, j'ai fait volte face à mon tour, en maudissant cette nation dénué de toute dignité ! Et maintenant, où en sont les choses ? L'équipe de France de football possède plus d'étrangers que de vrais français, c'est regrettable bordel de pute !!
- Trop génial C'etait quoi vos stratégies de guerre ?
- Très simple : J'envoyais une petite troupe de soldat allemand habillés en civil avec des perruques brunes, pour qu'ils se fondent dans la masse américaine et française. A partir de là, mes hommes détruisaient les forces ennemies de l'intérieur. Durant plusieurs années, j'ai contribué à affaiblir leur puissance, mais ces fils de chiens occidentaux n'ont cessé de se perfectionné et d'accroitre leur sournoiseries, d'où la bombe atomique sur Nagasaki et Hiroshima, même les nazis n'auraient pas osés.

Un constat simpe s'effectue : Vous psssédez une force surhumaine digne d'un Ken le Survivant, et le général dispose de plusieurs stratégies aussi fourbes qu'interessantes pour votre futur de tueur. L'association se fait donc naturellement, vous laissez l'homme vaquer de nouveau à ces occupations, et étrangement, il parait avoir 60 ans, c'est bizarre mais vous passez outre.

Vous voilà avec un allié précieux, un ancien nazi qui a cumulé les trahisons et les filsdeputerie pour atteindre le sommet, et s'est finalement résigné à cet objectif en retournant sa veste comme le dernier des lâches, ces méthodes vous donne bien des idées.

Ainsi, vous rentrez chez vous pour manger rapidement et dormir, car demain s'annonce difficile.

...

Le lendemain, les cours sont une nouvelle fois annulés, la matinée étant dédié à la mémoire de monsieur Kronenbourg, mort au combat face à l'enculé à la cagoule. Chaque professeur énonça un bref discours rempli d'émotions et de larmes, sous les acclamations des étudiants très touchés par cet événement. Ces enculés d'hypocrites s'en branlent réellement, leur jubilation est principalement due à l'annulation des cours, c'est abominable.

Ainsi, l'après midi est libre pour vous. Il faut marquer le coup comme on dit et réaliser une petite prouesse :


1) Suivre Patricia jusqu'à un coin paumé, lui faire un numéro de séducteur et voir si elle vous aime

2) Suivre Patricia jusqu'à chez elle, casser son PC + son portable et chier sur le lit de ses parents.

3) Demander à Arnold de vous raconter toute ces anecdotes de victime sinon vous le pendez par le slip. Même s'il le fait, le pendre par le slip quand même

4) Discuter un peu avec Anthony, le blagueur fou naturiste, et lui organiser une rencontre avec l'enculé à la cagoule, puis en profiter pour le tuer.

5) Se rendre naturellement au commissariat et tout balancer sur l'Ordre Rouge, groupe de Giovanni, pour bien le faire chier

6) Emmener au restaurant mademoiselle Stacy, professeur d'anglais affecté par la disparition de monsieur Kronenbourg.