Quoi de plus douloureux que d'attendre le retour d'une personne à qui l'on tient. Voilà dejà quelques heures que le commissaire Gontran s'en est allé, partant exploré la ville pour la sécurisé, démunir ces soldats de l'Apocalypse qui effectue de réel ravages dans la ville, tirant à tout bout de champ. Impossible pour Arnold de se concentrer, et Qualister, un ami de longue date de la famille, n'arrive même plus à faire rire le jeune gamin

- Alors ? D'habitude tu adore la blague du circuit que je fais avec mes mains
- Ouais mais j'ai pas trop la tête à ça... Répondit tristement la jeune victime. Depuis que je suis petit, y'a que mon père qui veille sur moi, et j'imagine dejà les pires scénarios
- Ton père est un battant, en plus d'être une personne prudente. Il y a beau avoir des monstres là-bàs dehors, il fera toujours la meilleure décision, c'est une personne très réfléchie, ne t'inquiète pas pour lui.
-...
- Quelque chose te tracasse... Allez dis moi tout !
- Non je fais juste un peu le point sur ma vie...

Et oui, car la réalité est dure et triste, Arnold n'a pas d'amis, à part deux lieutenants avec lesquels il joue à reproduire ces dessins animé préféré comme s'ils avaient 12 ans, pas de copine, car sa maladresse, couplé à ses nombreuses victimisations et sa timidité ne lui ont pas fait connaitre l'amour, enfin, à part Patricia, une blonde voluptueuse qui lui a accordé un dépucelage buccale mais qui l'avait filmé en se foutant de sa gueule lorsqu'il faisait une violente crise d'angoisse aigü

- Dès que tout ça sera fini, je me promet de changer. Fini de me lamenter, je deviendrai comme mon père, quelqu'un de fort, de réfléchi et de juste !!!
- J'aime t'entendre parler comme ça Arnold. Alors on joue à Call Of Duty ?
- Ce jeu m'emmerde un peu à force... Mais si toi t'insiste
- Ah ouais j'adore y jouer
- T'es vraiment un gamin en fait... Un jour tu m'expliquera pourquoi tes mains sont toujours moites ou pas ?
- Haha un mystère de la vie...


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PUTAIN ! Vous voilà sorti d'affaire au bout du compte, aucun décès à déplorer. L'Eglise est complètement parti en fumée, un vrai carnage, un feu intense et des fumées noirs se dégagent du lieu de l'explosion. Une toux forte, des vêtements cramées, Le visage presque cramée, les deux jambes paralysés et la main complètement déchiquetée, voici vos nombreuses séquelles...

La téléportation a évité une mort certaine, mais les dêgats sont là Pour le coup, la super résistance n'a réussi qu'à inhibé qu'une partie du choc, montrant bien que l'explosif etait destiné à tué de manière brutale et direct un surhomme

Heureusement pour vous que le pouvoir de régénération automatique fait effet, vous permettant de retrouver une forme du tonnerre en moins de deux

Tiré d'affaire, vous partez remplir votre mission : Retrouver cet immense fils de pute qui vous a mené droit vers une mort certaine :

*Téléportation*

Vous revoilà dans la fameuse place ayant fait l'objet de multiples tirs, tous les hommes avaient été neutralisés par vos soins. Accoudé à un muret, l'homme vient tout juste de raccrocher au téléphone, sa mine réjouit vous insupporte, et sans qu'il vous voit venir, vous l'attrapez par le col pour le foutre contre un mur, les pieds décollés du sol, l'homme est pris au dépourvue, toujours blessé à la hanche, ce fils de bâtard a interet à TOUT dévoiler :

Après avoir agité votre couteau dans son estomac, ce dernier sort tout ce qu'il sait : Le piège auquel vous vous êtes confrontés n'était qu'un leurre destiné à Marco ou à Alexis pour les éliminer, chaque membre de l'Ordre Rouge avait reçu ces instructions au cas où l'un d'eux se ferait choper par l'ennemi. Il a même l'honnêteté de vous révéler que ces deux là l'auraient emmené sur les lieux pour être sur de ces paroles, et votre impatience intrépide vous a fait passer pour un con irréfléchie.

- C'est bien d'être honnête. Mais c'est mieux de respecter les autres, surtout quand ils ont une épée comme la mienne.

Car oui, l'épée que vous avez dérobé chez André etait caché bien au chaud dans votre logis. Vous étiez parti la chercher lorsque vous cherchiez des indices sur la disparition de Morgane, au moins, cet arme sera très efficace pour tuer proprement et dignement...

- Non ! S'il vous plait ne me tuez pas, j'ai juste obéi aux ordres !
- Bah la prochaine fois va falloir m'obeir... Si tenté qu'il y ait une prochaine fois
- NAAA...

*CRUSHT* Bruit d'une tête qui s'envole vers d'autres cieux. Les plaisirs de la décapitation vous procure une joie et une confiance énorme, voir un si beau spectacle, une sorte d'éjaculation sanguine qui émane d'un corps tout juste dépourvue de vie, des litres et des litres de sang qui s'échappent de ce qui constituait le cou de la victime, partant en l'air, à gauche, à droite, éclaboussante les murs qui revêtent une teinte rougêatre mignonne comme tout.

- Une bonne chose de faite, maintenant je ne compterais que sur moi-même. Dites vous sournoisement en rangeant soigneusement votre épée dans votre fourreau.

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Au camp de base où sont évacués tous les habitants, une peur règne. Pourquoi évacuer ? Pourquoi des hommes s'entretuent t-ils ? Que va t-il advenir de leurs maisons ? Que se passe t-il ? Autant de questions sans réponses.

Bien évidemment, les gens sont cloitrès dans une sorte de gymnase comme dans les films pré-apocalyptique, serrés, coincés, de mauvaise humeur. Aucune entraide, contrairement à ce que l'on pourrait penser. Morgane, forcé par deux pompiers à rejoindre ce lieu sordide, est préoccupé par une jeune lycéenne qui pleure de tout son être. Impossible pour votre copine de rester à sa place ou de fermer les yeux, tout comme vous, elle fait parti des gens qui se doivent d'être acteur de leur vie plutôt que spectateur.

- Hey là, on va bientôt rentrer chez nous, ne t'inquiète pas.
- Non... Ce sera plus jamais comme avant
- Pourquoi ça ?
- Ma copine... Elle est morte pendant qu'on évacuait... J'ai vu un homme habillé en rouge... La descendre juste devant moi... J'étais impuissante... Sans me retourner, j'ai du courir pour fuir... Pour me faire gagner un peu de temps, elle a sacrifié sa vie pour moi...
- Elle devait vraiment tenir à toi, dis toi que sa mort n'a pas été vaine, et j'suis sur qu'elle serait triste de te voir pleurer, sourit plutôt, t'es mignonne comme fille
- Merci... C'est sympa.
- Moi c'est Morgane, et toi ?
- Patricia...

Une rencontre de choc !

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Un peu en galère dans votre coin, vous marchez toujours dans les rues, cette fois-ci avec MontGomery, qui vous rapporte les morts les plus atroces qu'il a vu dans sa vie

- Et là tu te rend compte ! Le gars a mangé les preuves ! Il s'est enfoncé le couteau du meurtre dans l'anus, on l'a retrouvé dans son rectume Le corps de la victime, il l'a fait rotir, l'a mangé, et ce psychopathe a bouffé ces propres excréments
- Oh putain de merde d'où tu sors toute ces conneries, tu me tue de rire

Soudain, une cinquantaine d'homme, tous habillés en noir, s'approche de vous. Selon un homme aux allures de porte parole et de chef de meute, une certaine prime a été posé sur votre tête, et le grand vainqueur se retrouvera avec une récompense pour le moins faramineuse, et votre corps sans vie leur permettrait de faire pas mal de benef'

- En vie... Ou mort. Si tu viens sans faire d'histoire, on ne te blessera pas.
- Pourquoi j'aurais peur de vous ? Mes super pouvoirs vous metteront à genoux en moins de deux.
- Tu vois, mes hommes sont assez sur-entrainés pour faire face à n'importe quel monstre avec des pouvoirs, car vois-tu, ce sont des prototype, des cobayes, sous mes ordres, ils feront tout ce que je leur demande. Chacun a le niveau mettre un difficulté un des généraux de l'Ordre Noir, et j'ai vraiment besoin de cet argent, alors viens avec nous...


1) Le suivre, après tout, ce bâtard vous ménera directement à son VRAI boss, alias Joe

2) Enflammer et foudroyer tous les environs pour prendre leur chef orgueilleux en 1 vs 1

3) Téléporter leur chef dans un coin tranquille et le tabasser jusqu'à ce qu'il vous file des informations précieuses :

4) C'est un piège, vous ne pouvez faire confiance qu'à vous même, TOUS les finir avec votre épée pour une effusion de sang dantesque