Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 4
Publié le 04/09/13 à 16:25:53 par Camion2LaGalayr
Le lendemain matin j'ai été réveillé par Maxime. En me réveillant je me suis rendu compte que j'étais sur une plage. Le soleil me brûlait les yeux, je me suis soudain rappelé les événements d'hier: l'avion, les perturbations, la panique, le crash, la mort et notre sortie de l'appareil. Je regardais autour de moi: Alice et Marie dormaient encore, il y avait aussi nos amis d'hier qui étaient réveillé un peu plus loin sur la droite. En me tournant vers l'appareil j'ai constaté que j'avais tort de croire à son explosion mais bon, il vaut mieux prévenir que guérir comme on dit. Sur la plage, il y avait beaucoup plus de monde qu'hier: ce n'était plus les quelques ombres que nous avions remarqués hier mais bien une cinquantaine de personnes. Nous étions à peu près deux-cent dans l'avion. Il y avait plusieurs feux sur la plage, les gens commençaient à s'installer.
Maxime mit sa main sur mon épaule et me dit "On fait quoi pour notre matos ?". Notre matos, je l'avais complètement oublié ! Maxime et moi avons rassemblé tout notre équipement et nous sommes partis discrètement vers la forêt. Nous nous sommes un peu enfoncés à travers les arbres tropicaux et les buissons et nous avons choisis un endroit assez distinctif pour enterrer notre précieux équipement. C'était au pied d'un grand arbre qui ressortait pas mal par rapport aux autres arbres de la forêt, nous avons creusés à son pied et avons enterré tout le matériel médical et les trois quart de nos provisions.
Après cette besogne, nous sommes retournés sur la plage: Marie était réveillée mais la petite Alice dormait toujours. Nous l'avons salué et nous lui avons demandé comment elle se sentait. Malgré le choc d'hier soir elle a dit qu'elle se sentait plutôt bien.
"Il y a beaucoup de monde sur la plage ce matin, dit Marie.
_Ouais, c'est surement ce qui reste des passagers de l'avion, lui répondis-je.
_Après le choc, ça ne m'étonne pas que l'on soit si peu, ajouta Maxime.
_Oui, l'intérieur de l'avion doit être un vrai cimetière mais j'aimerais y retourner pour prendre encore plus de d'objets dis-je en regardant l'avion.
_Je suis d'accord avec toi mais comment on y rentre maintenant ? demanda Maxime.
_Avec un peu de chance on trouvera une brèche.
_Au fait où sont vos sacs ? On s'est fait voler ?! s'affola Marie.
_On les a cachés dans la forêt pour pas se les faire voler, lui souffla Maxime.
_Ok.
_Donc maintenant Maxime et moi allons tenter de pénétrer dans l'avion, toi occupe toi de la petite s'il te plaît.
_D'accord, bonne chance.
_A tout à l'heure.
_Ouais, on reviens dans pas longtemps."
Une fois devant l'appareil Maxime et moi n'avons pas eu trop de mal à trouver une entrer dans l'avion. La porte d'embarquement était à hauteur d'homme et Maxime, qui est un gars bien costaud, l'a défoncé à coups de pied. Une fois à l'intérieur nous nous sommes dirigés vers la cabine de pilotage: le pilote et le co-pilote sont morts. Dans cette pièce nous avons trouvés une lampe torche et des piles puis nous nous sommes dirigés plus profondément dans l'avion. Dans la pièce voisine nous avons trouvés une hache de secours qui ma foi nous sera bien utile ainsi qu'un extincteur. Encore plus loin dans l'avion nous avons trouvés la porte qui va dans la soute où il y avait tout les bagages: il y avait rien de vraiment utile mais nous avons comme même pris quelques vêtements de rechange. Une fois remontés, nous avons entendus des voix: "Hé ho ! Il y a quelqu'un ?!" puis nous avons vu un homme d'une vingtaine d'année débouler devant nous.
"Yo les jeunes, c'est vous qui avez ouvert la porte, c'est du bon boulot !
_Euh merci, dis-je un peu méfiant
_Dîtes, vous pouvez me donner la hache, elle me sera plus utile qu'à vous.
_Non, c'est nous qui l'avons trouvée, on la garde, dit Maxime d'un ton ferme et autoritaire.
_Allez faîtes pas les gamins, vous savez même pas l'utilisée et en plus vous êtes de ados.
_Approche et je vais vérifié si je sais m'en servir sur toi, menaça Maxime en se mettant en posture de combat.
_Ok ok on se calme, je vous laisses.
_Maintenant c'est le premier arrivé, premier servis, l'informais-je.
_Bon d'accord mais tranquille, déconnez pas avec ça."
Je me dirigeais vers la pièce suivante alors que Maxime couvrait mon revers, c'était la section 1ere classe de l'avion: un carnage, Maxime et moi avons tout dégueulé par terre. Au final nous avions rien trouvés de vraiment intéressent dans les autres pièces de l'avion, juste quelques babioles et matériaux comme du tissu et du papier. Une fois descendus nous sommes retournés auprès des filles, Alice était réveillée et aidait Marie à alimenter le feu. Maxime et moi leur avons montré nos trésors: la hache de secours, l'extincteur, la lampe torche et les piles, les papiers, de bons sacs à dos et des vêtements de rechange.
Sur la plage, un groupe de personne assez important s'est formé. En regardant plus attentivement il semblait que ce soit un petit groupe de personne qui dirigeait le plus grand nombre, un vraie oligarchie. Le groupe d'une trentaine de personne commençait à s'organiser et même à essayer de regrouper les personnes éparpillés sur la plage. Maxime et moi les regardions avec appréhension, ils viendrons sûrement nous demander de les rejoindre et en même temps de partager nos ressources avec eux avec pour seul argument leur autorité d'adulte mais à ce moment là Marie commença à dire "Et si nous les rejoignons ?" Directement Maxime et moi lui avions répondus par une réponse négative et lui avions expliqués la situation: nous aurions plus intérêt à rester indépendants d'eux.
Le soleil était à sont zénith, pour nous s'était l'heure de manger. Au repas, c'était tout ce qui périssable: du pain et de la viande. Le pain était un peu rassis mais personne ne s'est plaint, même la petite Alice à tout manger sans rechigner. C'est à ce moment là que le grand groupe a décidé de nous envoyer leur "émissaire".
Un homme assez enveloppé s'est dirigé vers nous. Nous savions tous pour quelle raison il était venu. Après nous avoir salué avec l'orgueil qu'un adulte a envers un enfant il nous a demandés de rejoindre le groupe d'où il venait avec la certitude que nous accepterions. Il a été surpris quand Maxime lui a demandé des arguments pour rejoindre son groupe, quels avantages ont en tirerait. L'homme bafouilla des arguments foireux. Moi ayant pitié de lui, je lui ai demandé d'aller chercher une personne capable de nous expliquer la situation et de nous persuader de les rejoindre.
Dix minutes plus tard, c'est un homme de grande stature qui est venu à nous, il avait un air sérieux et mais sympathisant. Il nous a salué et à commencer a essayer de nous persuader mais nous avions à chaque fois des contre arguments enfin jusqu'à sa dernière proposition.
"Et la petite fille ? Saurez vous vous en occuper ? demanda t-il.
J'ai regardé la petite Alice un petit moment qui nous observait avec de grands yeux ronds.
_C'est vrai que nous ne savons pas nous occuper d'une enfant, dis-je.
_En effet, nous ne pourrons sans doute pas nous en occuper correctement et subvenir à tout ses besoins, déclara Maxime.
_Mais si notre situation est meilleure que celle des autres, elle serait mieux avec nous non ? commença à protester Marie.
_C'est pas une question de nourriture ou d'équipement et toi non plus tu ne saurais pas t'en occuper, lui dis-je.
_Donc si vous n'y voyez pas d'inconvénients, nous allons prendre la petite fille avec nous, dit l'homme.
_Oui nous sommes d'accord, dit Maxime.
_Je vous laisse le temps de réfléchir, de toute façon vous pouvez nous rejoindre n'importe quand."
A ce moment là Alice commença à m'attraper le T-shirt et elle me demanda ce qu'elle avait fait de mal. Je lui dit qu'elle serait plus heureuse avec les adultes mais elle me dit qu'elle voulait rester avec nous. Je lui promis que nous irions la voir de temps en temps et à ce moment là l'homme la pris par la main et l'emmena avec elle, nous nous la regardions s'éloigner.
Pendant l'après midi, Maxime et moi sommes partis dans la forêt pour chercher de la nourriture et de l'eau pour faire des réserve même si c'était plus pour éviter Marie qui nous faisait la gueule.
La forêt était dense avec des lianes et des buissons partout par terre, on ne voyaient pas le sol. Nous étions sur nos gardes, nous ne connaissions pas la région et il pouvait y avoir des animaux sauvage dangereux, Maxime avait la hache dans ses mains et moi j'avait un gros morceau de bois bien solide pour pouvoir nous défendre. Nous marchions en ligne droite pour ne pas nous perdre mais par présence d'esprit je faisais un petit schéma de notre itinéraire.
Après deux-trois heures de marche nous sommes tombés sur une grotte naturelle que nous avons décider d'explorer. Éclairés par le feu du briquet en possession de Maxime, nous nous enfoncions de plus en plus dans la grotte et nous y découvrîmes trois squelettes humains !
Malgré le dégoût nous sommes allés examiner ce qui leurs avait vraisemblablement servis de camps. Nous y avons trouvé des armes: deux arc et des flèches, des couteaux et une épée. Dans cette grottes nous avons également vus des vestiges d'un feu de camps et d'une carcasse d'animal. En examinant plus les corps Maxime interpella mon attention sur un détail: les os étaient endommagés, non, complètement fracassés ! L'un avait la cage thoracique enfoncée, l'un le bras gauche arraché, ect...
Après cette découverte, nous sommes sortis de la grotte comme un peu sonné, ces hommes ont été tués. Malgré ça nous avons continué notre périple mais pas très longtemps car très vite nous nous sommes retrouvés devant quelque chose d’effrayant !
Maxime mit sa main sur mon épaule et me dit "On fait quoi pour notre matos ?". Notre matos, je l'avais complètement oublié ! Maxime et moi avons rassemblé tout notre équipement et nous sommes partis discrètement vers la forêt. Nous nous sommes un peu enfoncés à travers les arbres tropicaux et les buissons et nous avons choisis un endroit assez distinctif pour enterrer notre précieux équipement. C'était au pied d'un grand arbre qui ressortait pas mal par rapport aux autres arbres de la forêt, nous avons creusés à son pied et avons enterré tout le matériel médical et les trois quart de nos provisions.
Après cette besogne, nous sommes retournés sur la plage: Marie était réveillée mais la petite Alice dormait toujours. Nous l'avons salué et nous lui avons demandé comment elle se sentait. Malgré le choc d'hier soir elle a dit qu'elle se sentait plutôt bien.
"Il y a beaucoup de monde sur la plage ce matin, dit Marie.
_Ouais, c'est surement ce qui reste des passagers de l'avion, lui répondis-je.
_Après le choc, ça ne m'étonne pas que l'on soit si peu, ajouta Maxime.
_Oui, l'intérieur de l'avion doit être un vrai cimetière mais j'aimerais y retourner pour prendre encore plus de d'objets dis-je en regardant l'avion.
_Je suis d'accord avec toi mais comment on y rentre maintenant ? demanda Maxime.
_Avec un peu de chance on trouvera une brèche.
_Au fait où sont vos sacs ? On s'est fait voler ?! s'affola Marie.
_On les a cachés dans la forêt pour pas se les faire voler, lui souffla Maxime.
_Ok.
_Donc maintenant Maxime et moi allons tenter de pénétrer dans l'avion, toi occupe toi de la petite s'il te plaît.
_D'accord, bonne chance.
_A tout à l'heure.
_Ouais, on reviens dans pas longtemps."
Une fois devant l'appareil Maxime et moi n'avons pas eu trop de mal à trouver une entrer dans l'avion. La porte d'embarquement était à hauteur d'homme et Maxime, qui est un gars bien costaud, l'a défoncé à coups de pied. Une fois à l'intérieur nous nous sommes dirigés vers la cabine de pilotage: le pilote et le co-pilote sont morts. Dans cette pièce nous avons trouvés une lampe torche et des piles puis nous nous sommes dirigés plus profondément dans l'avion. Dans la pièce voisine nous avons trouvés une hache de secours qui ma foi nous sera bien utile ainsi qu'un extincteur. Encore plus loin dans l'avion nous avons trouvés la porte qui va dans la soute où il y avait tout les bagages: il y avait rien de vraiment utile mais nous avons comme même pris quelques vêtements de rechange. Une fois remontés, nous avons entendus des voix: "Hé ho ! Il y a quelqu'un ?!" puis nous avons vu un homme d'une vingtaine d'année débouler devant nous.
"Yo les jeunes, c'est vous qui avez ouvert la porte, c'est du bon boulot !
_Euh merci, dis-je un peu méfiant
_Dîtes, vous pouvez me donner la hache, elle me sera plus utile qu'à vous.
_Non, c'est nous qui l'avons trouvée, on la garde, dit Maxime d'un ton ferme et autoritaire.
_Allez faîtes pas les gamins, vous savez même pas l'utilisée et en plus vous êtes de ados.
_Approche et je vais vérifié si je sais m'en servir sur toi, menaça Maxime en se mettant en posture de combat.
_Ok ok on se calme, je vous laisses.
_Maintenant c'est le premier arrivé, premier servis, l'informais-je.
_Bon d'accord mais tranquille, déconnez pas avec ça."
Je me dirigeais vers la pièce suivante alors que Maxime couvrait mon revers, c'était la section 1ere classe de l'avion: un carnage, Maxime et moi avons tout dégueulé par terre. Au final nous avions rien trouvés de vraiment intéressent dans les autres pièces de l'avion, juste quelques babioles et matériaux comme du tissu et du papier. Une fois descendus nous sommes retournés auprès des filles, Alice était réveillée et aidait Marie à alimenter le feu. Maxime et moi leur avons montré nos trésors: la hache de secours, l'extincteur, la lampe torche et les piles, les papiers, de bons sacs à dos et des vêtements de rechange.
Sur la plage, un groupe de personne assez important s'est formé. En regardant plus attentivement il semblait que ce soit un petit groupe de personne qui dirigeait le plus grand nombre, un vraie oligarchie. Le groupe d'une trentaine de personne commençait à s'organiser et même à essayer de regrouper les personnes éparpillés sur la plage. Maxime et moi les regardions avec appréhension, ils viendrons sûrement nous demander de les rejoindre et en même temps de partager nos ressources avec eux avec pour seul argument leur autorité d'adulte mais à ce moment là Marie commença à dire "Et si nous les rejoignons ?" Directement Maxime et moi lui avions répondus par une réponse négative et lui avions expliqués la situation: nous aurions plus intérêt à rester indépendants d'eux.
Le soleil était à sont zénith, pour nous s'était l'heure de manger. Au repas, c'était tout ce qui périssable: du pain et de la viande. Le pain était un peu rassis mais personne ne s'est plaint, même la petite Alice à tout manger sans rechigner. C'est à ce moment là que le grand groupe a décidé de nous envoyer leur "émissaire".
Un homme assez enveloppé s'est dirigé vers nous. Nous savions tous pour quelle raison il était venu. Après nous avoir salué avec l'orgueil qu'un adulte a envers un enfant il nous a demandés de rejoindre le groupe d'où il venait avec la certitude que nous accepterions. Il a été surpris quand Maxime lui a demandé des arguments pour rejoindre son groupe, quels avantages ont en tirerait. L'homme bafouilla des arguments foireux. Moi ayant pitié de lui, je lui ai demandé d'aller chercher une personne capable de nous expliquer la situation et de nous persuader de les rejoindre.
Dix minutes plus tard, c'est un homme de grande stature qui est venu à nous, il avait un air sérieux et mais sympathisant. Il nous a salué et à commencer a essayer de nous persuader mais nous avions à chaque fois des contre arguments enfin jusqu'à sa dernière proposition.
"Et la petite fille ? Saurez vous vous en occuper ? demanda t-il.
J'ai regardé la petite Alice un petit moment qui nous observait avec de grands yeux ronds.
_C'est vrai que nous ne savons pas nous occuper d'une enfant, dis-je.
_En effet, nous ne pourrons sans doute pas nous en occuper correctement et subvenir à tout ses besoins, déclara Maxime.
_Mais si notre situation est meilleure que celle des autres, elle serait mieux avec nous non ? commença à protester Marie.
_C'est pas une question de nourriture ou d'équipement et toi non plus tu ne saurais pas t'en occuper, lui dis-je.
_Donc si vous n'y voyez pas d'inconvénients, nous allons prendre la petite fille avec nous, dit l'homme.
_Oui nous sommes d'accord, dit Maxime.
_Je vous laisse le temps de réfléchir, de toute façon vous pouvez nous rejoindre n'importe quand."
A ce moment là Alice commença à m'attraper le T-shirt et elle me demanda ce qu'elle avait fait de mal. Je lui dit qu'elle serait plus heureuse avec les adultes mais elle me dit qu'elle voulait rester avec nous. Je lui promis que nous irions la voir de temps en temps et à ce moment là l'homme la pris par la main et l'emmena avec elle, nous nous la regardions s'éloigner.
Pendant l'après midi, Maxime et moi sommes partis dans la forêt pour chercher de la nourriture et de l'eau pour faire des réserve même si c'était plus pour éviter Marie qui nous faisait la gueule.
La forêt était dense avec des lianes et des buissons partout par terre, on ne voyaient pas le sol. Nous étions sur nos gardes, nous ne connaissions pas la région et il pouvait y avoir des animaux sauvage dangereux, Maxime avait la hache dans ses mains et moi j'avait un gros morceau de bois bien solide pour pouvoir nous défendre. Nous marchions en ligne droite pour ne pas nous perdre mais par présence d'esprit je faisais un petit schéma de notre itinéraire.
Après deux-trois heures de marche nous sommes tombés sur une grotte naturelle que nous avons décider d'explorer. Éclairés par le feu du briquet en possession de Maxime, nous nous enfoncions de plus en plus dans la grotte et nous y découvrîmes trois squelettes humains !
Malgré le dégoût nous sommes allés examiner ce qui leurs avait vraisemblablement servis de camps. Nous y avons trouvé des armes: deux arc et des flèches, des couteaux et une épée. Dans cette grottes nous avons également vus des vestiges d'un feu de camps et d'une carcasse d'animal. En examinant plus les corps Maxime interpella mon attention sur un détail: les os étaient endommagés, non, complètement fracassés ! L'un avait la cage thoracique enfoncée, l'un le bras gauche arraché, ect...
Après cette découverte, nous sommes sortis de la grotte comme un peu sonné, ces hommes ont été tués. Malgré ça nous avons continué notre périple mais pas très longtemps car très vite nous nous sommes retrouvés devant quelque chose d’effrayant !
Vous devez être connecté pour poster un commentaire