Recueil d'apprentis
Par : BaliBalo , SuperTramp , MicroTab
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 39
Poème N°37 SuperTramp
Publié le 13/02/13 à 18:37:01 par SuperTramp
Le ciel alors s'ébranla,
Du milieu de la terre se souleva,
Une magnifique et éternelle tour,
Qui irait jusqu'au cieux toujours.
De mon coeur elle s'éleva,
le tour de mon corps, elle fit,
Tous mes rêves elles combla,
Et de ses pulpeuses lèvre elle sourit.
Qu'un seul effet sur moi ceci eut,
Je pense que vous vous en doutez bien,
Dans un bouleversement je fut,
A coté du futur, ceci n'était ien.
Tournoyant autour de moi,
Dans des couleurs claires,bleues et grises,
Son âme tournait autour du beffroi
Qui me servait de tête, et à qui la brise
Du vent avait glacé le sang.
Et puis cela ne s'arretait guère
Cela tournoyait encore et toujours,
Puis vînt des couleurs de guerre,
Des couleurs chaudes, qui voltigeaient en vautour.
Tout cela remplissait mon esprit si vide,
Et glaçais mon désert aride de coeur.
Cela n'avait plus de sens, du rouge,
Non du violet, maintenant tout bouge.
Les pulsations de mon coeur rythment cette orchestre,
Dont elle est la brillante meneuse.
Et de toute manière la perception du temps terrestre,
N'affectait même plus mon amoureuse.
Ses yeux se remplissaient également
Alors je fermait les miens,
Et arrêtait une bonne fois pour toute le temps,
Car l'amour enfin j'avais peint.
Du milieu de la terre se souleva,
Une magnifique et éternelle tour,
Qui irait jusqu'au cieux toujours.
De mon coeur elle s'éleva,
le tour de mon corps, elle fit,
Tous mes rêves elles combla,
Et de ses pulpeuses lèvre elle sourit.
Qu'un seul effet sur moi ceci eut,
Je pense que vous vous en doutez bien,
Dans un bouleversement je fut,
A coté du futur, ceci n'était ien.
Tournoyant autour de moi,
Dans des couleurs claires,bleues et grises,
Son âme tournait autour du beffroi
Qui me servait de tête, et à qui la brise
Du vent avait glacé le sang.
Et puis cela ne s'arretait guère
Cela tournoyait encore et toujours,
Puis vînt des couleurs de guerre,
Des couleurs chaudes, qui voltigeaient en vautour.
Tout cela remplissait mon esprit si vide,
Et glaçais mon désert aride de coeur.
Cela n'avait plus de sens, du rouge,
Non du violet, maintenant tout bouge.
Les pulsations de mon coeur rythment cette orchestre,
Dont elle est la brillante meneuse.
Et de toute manière la perception du temps terrestre,
N'affectait même plus mon amoureuse.
Ses yeux se remplissaient également
Alors je fermait les miens,
Et arrêtait une bonne fois pour toute le temps,
Car l'amour enfin j'avais peint.
19/02/13 à 20:07:12
C'est aussi une petite putain ouverte au premier venu !
18/02/13 à 21:12:01
Charmant. :')
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