Recueil d'apprentis
Par : BaliBalo , SuperTramp , MicroTab
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 30
Poème N°28 SuperTramp
Publié le 07/11/12 à 20:49:19 par SuperTramp
Lors d'un ultime sacrfice.
Notre dieu se mit a notre service.
Il créea un jour ou lune et soleil
Serai mêlés dans un paysage vermeil.
Dans cet axe Lunaire,
Je touchais alors l'air,
Qui aussi chaud qu'un torrent de lave,
Enlevais même les plus braves.
Mais je résistais,
En une cause perdu,
Je me montrais
Aussi ardu,
Qu'un astéroide en plein vitesse.
Je touchais alors la déesse.
Mes bras allèrent dans la direction de l'océan,
Où se perdirent tous ces gens.
Une immense vague se dressa devant moi,
C'est alors avec émoi,
Que je courrai la rencontrer.
Ne faire qu'un avec ciel et terre.
Sombrer dans ses plus beaux rêves.
Sentir l'écume de la mer.
Avec foi, sans trêve.
Dans un décor violacé
Par mon imagination,
Ce monde tout inventé
Fit de mes sensation,
Mêmes les plus malmenée,
Une réalité.
Je courrai toujours,
Le décord devint verdoyant,
Mes vêtement de velour,
Se décrochant en allant,
Jusqu'au but ultime.
De la cime des arbres,
A la plus petite bête,
De la plus vieile statue de marbre,
A plus jeune crête.
Toutes les couleurs se mêlèrent,
et en un instant, la vague m'emporta,
Je pouvait guère,
Rêver d'un plus beau fracas.
Entre mon esprit et ces vagues,
Qui a bras ouverts,
Avec la moindre de ses dagues,
Me transpercèrent.
Seul au monde,
Une seconde fois,
Je continuai ma ronde
Pour imaginer une nouvelle fois
La fin de mes rêves,
Pour qu'enfin je trouve la fêve,
Cette fin magique
A qui je pourrais repenser,
Dans les moments tragiques.
Les fantasmes d'un humain
Sont plus forts qu'une armée entière.
Comme l'armée ultime a la guerre,
Les désirs......sont entre vos mains
Notre dieu se mit a notre service.
Il créea un jour ou lune et soleil
Serai mêlés dans un paysage vermeil.
Dans cet axe Lunaire,
Je touchais alors l'air,
Qui aussi chaud qu'un torrent de lave,
Enlevais même les plus braves.
Mais je résistais,
En une cause perdu,
Je me montrais
Aussi ardu,
Qu'un astéroide en plein vitesse.
Je touchais alors la déesse.
Mes bras allèrent dans la direction de l'océan,
Où se perdirent tous ces gens.
Une immense vague se dressa devant moi,
C'est alors avec émoi,
Que je courrai la rencontrer.
Ne faire qu'un avec ciel et terre.
Sombrer dans ses plus beaux rêves.
Sentir l'écume de la mer.
Avec foi, sans trêve.
Dans un décor violacé
Par mon imagination,
Ce monde tout inventé
Fit de mes sensation,
Mêmes les plus malmenée,
Une réalité.
Je courrai toujours,
Le décord devint verdoyant,
Mes vêtement de velour,
Se décrochant en allant,
Jusqu'au but ultime.
De la cime des arbres,
A la plus petite bête,
De la plus vieile statue de marbre,
A plus jeune crête.
Toutes les couleurs se mêlèrent,
et en un instant, la vague m'emporta,
Je pouvait guère,
Rêver d'un plus beau fracas.
Entre mon esprit et ces vagues,
Qui a bras ouverts,
Avec la moindre de ses dagues,
Me transpercèrent.
Seul au monde,
Une seconde fois,
Je continuai ma ronde
Pour imaginer une nouvelle fois
La fin de mes rêves,
Pour qu'enfin je trouve la fêve,
Cette fin magique
A qui je pourrais repenser,
Dans les moments tragiques.
Les fantasmes d'un humain
Sont plus forts qu'une armée entière.
Comme l'armée ultime a la guerre,
Les désirs......sont entre vos mains
Vous devez être connecté pour poster un commentaire