La Créature
Par : DurinFun
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 13/05/14 à 17:21:08 par DurinFun
Je suis de retour chez moi après une nuit de travail. Je suis employé dans le domaine médical et j'ai été de garde durant toute la nuit à l'hôpital.
Je suis heureux de rentrer, car je suis surtout épuisé, lessivé après cette nuit qui me paraissait sans fin.
C'est donc avec joie que j'ouvre la portière et que je sors de ma voiture.
C'est une Passat grise, le dernier modèle, que ma femme m'a offerte pour mon quarantième anniversaire.
Je souris à l'idée de la retrouver, en ce moment elle doit être dans la cuisine en train de préparer le repas de midi.
Je marche et je grimace, mes jambes sont endolories par cette nuit sans sommeil et les quarantes-cinq minutes de trajet.
Il y a une légère brise aujourd'hui, c'est agréable. Le soleil est à son zenith et il fait bon dehors.
Je m'approche des escaliers et je sens les effluves de la nourritures qui chatouillent mon nez. Ce midi, c'est poulet.
J'ai un odorat très développé, et on m'a déjà proposé plusieurs postes en France dans une grande parfumerie. j'ai refusé, malgré le salaire alléchant :
Ma femme ne démenagerais pour rien au monde, et je l'aime. Si elle souhaite rester je reste.
Je pose ma main sur la poignée de la porte, l'enfonce et entre.
On ne mange pas que du poulet. On mange des Patatoes avec. Je me réjouis déjà !
Je me précipite vers ma femme, Alyson, que je salue avec un baiser.
"Alors cette soirée, me demande-t-elle, pas trop difficile? Tu as faim?
-Pas trop mal, Jerry à encore réussi à mettre la machine de café en panne hier après-midi, et ça à été dur sans caféine cette nuit. Et je meurt de faim !
Je souris, et ma femme me rend le sourire
que je lui adresse. Jerry c'est un de mes collègues de travail, c'est un vieil ami, que je connais depuis la faculté de médecine.
-tu peut t'asseoir c'est prêt dans deux minutes, me dit-elle."
je tire une chaise et m'asseois à table regardant par la fenêtre. De gros nuage gris sont apparus, il va sans doute pleuvoir cet après-midi. Moi qui avait prévu de jardiner,
je crois que ça sera pour un autre jour ...
Alyson s'approche avec deux assiettes vertes, j'en prend une et elle s'assied en face de moi
A peine Alyson enfourne la première bouchée de ce repas, je pousse un hurlement, Alyson se retourne pour regarder par la fenêtre, la direction dans laquelle je regarde. A travers la fenêtre, il y a mon visage, mon corps.
Alyson le voit aussi et se met à crier.
je me précipite dans le couloir, ouvre un placard, et en tire une carabine que j'utilise habituellement pour chasser.
"Reste ici Alyson !"
Je sors avec précaution, je me fait discret et fait doucement le tour de la maison. J'arrive devant la fenêtre où j'ai vu mon visage. Personne. Rien.
Je regarde Alyson, et elle hausse les épaules. Elle a peur, je le vois dans son visage, et elle a bien raison, car derrière lui se trouve mon double.
Le visage qu'on a vu à travers la fenêtre se trouve derrière ma femme. Il me nargue avec un sourire, sors un couteau d'une de ses poches.
Je hurle à ma femme, je tape contre la vitre. Elle se retourne et pousse un cri terrifiant.
La créature qui à pris mon visage se jete sur elle, je n'ai pas le temps d'en voir plus.
je me précipite à l'intérieur de ma maison, je ne peut pas entrer. La porte est verouillée.
Je panique. Ma femme va se faire tuer si je ne fait rien.
Que-ce que je peut faire? Oh mon dieu, pourquoi!
je ne réfléchi plus, je suis mon instinct. Je tente de défoncer la porte. En vain.
j'entends ma femme crier, et le rire diabolique de la créature.
Mon sang se glace. Des sueurs froides coulent le long de mon corps.
Je fait le tour de la maison, en courant, cherchant une entrée.
Et là...
Une fenêtre ouverte.
J'essaye de m'accrocher au mur, tente de grimper. je n'y arrive pas. Il faut que je le fasse !
je réessaye à nouveau : je prend de l'élan et j'obtiens un appui. Je m'accroche et je rentre dans la maison.
Ma femme ne cri plus, je ne la voit pas.
La maison est plus silencieuse que jamais. Aurais-je rêvé?
je ne pense pas avoir rêvé, c'est pourquoi je me précipite dans la cuisine et je ne vois plus personne.
C'est alors que je me retourne, je vois ma femme.
Je me précipite vers elle, je pleure de joie !
Quel bohneur qu'elle soit en vie, je suis proche d'elle à présent
Mais je m'arrête dans mon élan.
Son corps est couché derrière elle.
C'est la créature qui se tient devant moi. Elle a pris le visage, elle a pris le corps de ma femme.
Je m'effondre à terre, je sais que la fin est venue. Je vais mourir. Mes forces me quittent, et un cri inhumain est lancé par la créature. Le cri est à côté de moi désormais.
J'ai un mal de tête horrible, je suis comme paralysé. Et une odeur nauséabonde se dégage de la créature.
Je lève mon regard, et la créature se jète sur moi, et m'arrache mon bras. Un vide se fait sentir à travers mon corps. Surtout à l'endroit où se trouve... trouvait mon bras. Je veut crier, mais je n'y arrive pas !
Je n'émet qu'un faible son.
Et ensuite le vide. Je suis mort. La créature à désormais mon visage et mon corps, et s'enfuit en direction du bois derrière la maison.
Je suis heureux de rentrer, car je suis surtout épuisé, lessivé après cette nuit qui me paraissait sans fin.
C'est donc avec joie que j'ouvre la portière et que je sors de ma voiture.
C'est une Passat grise, le dernier modèle, que ma femme m'a offerte pour mon quarantième anniversaire.
Je souris à l'idée de la retrouver, en ce moment elle doit être dans la cuisine en train de préparer le repas de midi.
Je marche et je grimace, mes jambes sont endolories par cette nuit sans sommeil et les quarantes-cinq minutes de trajet.
Il y a une légère brise aujourd'hui, c'est agréable. Le soleil est à son zenith et il fait bon dehors.
Je m'approche des escaliers et je sens les effluves de la nourritures qui chatouillent mon nez. Ce midi, c'est poulet.
J'ai un odorat très développé, et on m'a déjà proposé plusieurs postes en France dans une grande parfumerie. j'ai refusé, malgré le salaire alléchant :
Ma femme ne démenagerais pour rien au monde, et je l'aime. Si elle souhaite rester je reste.
Je pose ma main sur la poignée de la porte, l'enfonce et entre.
On ne mange pas que du poulet. On mange des Patatoes avec. Je me réjouis déjà !
Je me précipite vers ma femme, Alyson, que je salue avec un baiser.
"Alors cette soirée, me demande-t-elle, pas trop difficile? Tu as faim?
-Pas trop mal, Jerry à encore réussi à mettre la machine de café en panne hier après-midi, et ça à été dur sans caféine cette nuit. Et je meurt de faim !
Je souris, et ma femme me rend le sourire
que je lui adresse. Jerry c'est un de mes collègues de travail, c'est un vieil ami, que je connais depuis la faculté de médecine.
-tu peut t'asseoir c'est prêt dans deux minutes, me dit-elle."
je tire une chaise et m'asseois à table regardant par la fenêtre. De gros nuage gris sont apparus, il va sans doute pleuvoir cet après-midi. Moi qui avait prévu de jardiner,
je crois que ça sera pour un autre jour ...
Alyson s'approche avec deux assiettes vertes, j'en prend une et elle s'assied en face de moi
A peine Alyson enfourne la première bouchée de ce repas, je pousse un hurlement, Alyson se retourne pour regarder par la fenêtre, la direction dans laquelle je regarde. A travers la fenêtre, il y a mon visage, mon corps.
Alyson le voit aussi et se met à crier.
je me précipite dans le couloir, ouvre un placard, et en tire une carabine que j'utilise habituellement pour chasser.
"Reste ici Alyson !"
Je sors avec précaution, je me fait discret et fait doucement le tour de la maison. J'arrive devant la fenêtre où j'ai vu mon visage. Personne. Rien.
Je regarde Alyson, et elle hausse les épaules. Elle a peur, je le vois dans son visage, et elle a bien raison, car derrière lui se trouve mon double.
Le visage qu'on a vu à travers la fenêtre se trouve derrière ma femme. Il me nargue avec un sourire, sors un couteau d'une de ses poches.
Je hurle à ma femme, je tape contre la vitre. Elle se retourne et pousse un cri terrifiant.
La créature qui à pris mon visage se jete sur elle, je n'ai pas le temps d'en voir plus.
je me précipite à l'intérieur de ma maison, je ne peut pas entrer. La porte est verouillée.
Je panique. Ma femme va se faire tuer si je ne fait rien.
Que-ce que je peut faire? Oh mon dieu, pourquoi!
je ne réfléchi plus, je suis mon instinct. Je tente de défoncer la porte. En vain.
j'entends ma femme crier, et le rire diabolique de la créature.
Mon sang se glace. Des sueurs froides coulent le long de mon corps.
Je fait le tour de la maison, en courant, cherchant une entrée.
Et là...
Une fenêtre ouverte.
J'essaye de m'accrocher au mur, tente de grimper. je n'y arrive pas. Il faut que je le fasse !
je réessaye à nouveau : je prend de l'élan et j'obtiens un appui. Je m'accroche et je rentre dans la maison.
Ma femme ne cri plus, je ne la voit pas.
La maison est plus silencieuse que jamais. Aurais-je rêvé?
je ne pense pas avoir rêvé, c'est pourquoi je me précipite dans la cuisine et je ne vois plus personne.
C'est alors que je me retourne, je vois ma femme.
Je me précipite vers elle, je pleure de joie !
Quel bohneur qu'elle soit en vie, je suis proche d'elle à présent
Mais je m'arrête dans mon élan.
Son corps est couché derrière elle.
C'est la créature qui se tient devant moi. Elle a pris le visage, elle a pris le corps de ma femme.
Je m'effondre à terre, je sais que la fin est venue. Je vais mourir. Mes forces me quittent, et un cri inhumain est lancé par la créature. Le cri est à côté de moi désormais.
J'ai un mal de tête horrible, je suis comme paralysé. Et une odeur nauséabonde se dégage de la créature.
Je lève mon regard, et la créature se jète sur moi, et m'arrache mon bras. Un vide se fait sentir à travers mon corps. Surtout à l'endroit où se trouve... trouvait mon bras. Je veut crier, mais je n'y arrive pas !
Je n'émet qu'un faible son.
Et ensuite le vide. Je suis mort. La créature à désormais mon visage et mon corps, et s'enfuit en direction du bois derrière la maison.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire