avis sur ma fic svp
Par : Hercule
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
wesh la Migros.
Publié le 27/04/14 à 12:32:50 par Hercule
salut, vous allez bien? J'ai écrit ya pas longtemps les peut-être 15 premières pages d'une fiction zombie. J'en avais déjà faite une auparavant que j'avais publié de manière inachevée sur le 15-18 mais je la trouvait vraiment pourrie finalement. Donc j'en ai refait une et je voulais avoir des avis si possible, ce serait cool. Je publierai pas tout, à part si on me demande, donc on verra.
Bonne lecture si ça peut vous intéresser.
____________
Ce matin comme tous les autres, je me réveille de bonne heure avant le reste de la Suisse pour aller remplir ma fonction au restaurant de la Migros de Pérolles. Je me lève à 5h 30, me douche en vitesse et avale vite fait un truc qui traîne le frigo. Quelques minutes plus tard, mon doigt pèse sur le bouton de l’ascenseur du personnel qui me mène aux cuisines du restaurant. Ça c’est l’avantage d’habiter à deux pas de son lieu de travail.
Une sorte de routine qui s’est installée depuis que je travaille ici. Depuis deux ans c’est comme ça, on s’y fait à la longue. On ne pense plus trop à rien, on remplit sa vie comme on peut. On fait un peu de sport, on joue sur l’ordinateur, et de temps en temps, on sort faire la fête avec ses amis.
Je suis seul à faire l’ouverture, pas besoin d’être une garnison entière pour dégeler les petits pains et les croissants, et pour préparer le buffet du petit déjeuné, lequel se résume à la mise en présentation des produits. Il suffit de s’organiser un minimum et le tout est opérationnel lorsque les premiers clients viennent aux alentours des huit heures cinq. Huit heure pétante pour les plus ponctuels.
Là j’ai fini mes petites affaires, je fais un petit tour pour vérifier que tout est en ordre en attendant les habitués qui ne tarderont pas. Un vieux monsieur que je connais très bien pour le voir chaque matin à la même heure, arrive comme à son habitude pas plus de 20 secondes après l’ouverture du centre commercial. À croire qu’il campe devant le magasin pour être sûr de ne pas manquer son petit déjeuné sous les néons secs de la Migros. J’imagine l’esprit formaté de ce genre de personnes matraqués à la sauce publicitaire: « Ne manquez surtout pas notre buffet de petits pains tout frais sorti du congélateur, à déguster sous les néons secs de notre restaurant Migros ». Mon regard tombe sur le slogan de la firme, collé en lettres orange sur l’étiquette du bircher bio qui repose dans la glacière : « M comme meilleur », c’est écrit. ça me laisse songeur. J’ai en tête un mot moins flatteur qui décrirait la qualité du produit plus fidèlement, mais ma conscience d’employé modèle m’empêche de le dire.
L’habitué passe à la caisse, je le salue. Il n’a pas l’air dans son assiette aujourd’hui, il titube un peu. Sa mine est grise, presque blafarde, et ses yeux sont injectés de sang. Ça lui fait un sacré contraste de couleur entre le rouge de son regard et le blanc de son visage , mais je garde mes constatations pour moi. Je tipe son produit à la caisse et je lui informe du prix (Je lui demande de payer en d’autres termes). Il ne me répond rien et reste planté devant la caisse, le regard dans le vague, fixant un point derrière moi qui laisserait supposer mon inexistence.
-Monsieur, je lui répète, ça vous fera quatre cinquante s’il vous plaît.
Le type ne me répond toujours rien. Je lui fais des signes de la main, je perds un peu patience à vrai dire. Il a peut-être oublié de mettre son cerveau sur « on » en sortant du lit celui-là, mais s’il s’imagine que ça lui évitera de devoir payer son bircher, il se met le doigt dans l’œil.
-Monsieur ! ça fait quatre cinquante, s’il vous plait !
Semblant de réaction, mouvement bref de rétine, il y a effectivement de la vie dans le bocal. Il me fixe avec un air bizarre, je me sens subitement mal à l’aise. Je lui répète le prix une dernière fois, plus doucement qu’avant car je crois avoir capté son attention. Il marmonne quelque chose d’inaudible et plonge sa main dans sa poche pour aller chercher son porte-monnaie.
Lorsqu’il me tend un billet pour payer son achat ma colonne se raidie, des frissons me parcourent le dos.
Sa main est complètement en sang, déchiquetée sévère au niveau du dos. On dirait une morsure de chien ou quelque chose du genre. Je me lève tout de suite et je m’enquis de dire :
-Monsieur, vous allez bien ? Vous êtes fou de laisser votre main dans cet état sans rien faire ! J’appelle immédiatement une ambulance, il ne faut surtout que vous restiez comme ça, vous aller perdre tout votre sang ! Assoyez-vous sur une chaise en attendant, rester debout ne va pas arranger les choses.
J’empoigne le combiné et compose nerveusement le numéro des urgences. Ça sonne. Entre temps type n’a toujours pas réagis, il reste planté à me regarder comme si j’allais lui délivrer les paraboles du Christ. Je lui parle à nouveau, j’argumente méthodiquement pendant que j’attends un retour au bout de la ligne. Enfin, une lueur intérieure semble frapper le monsieur. Il me regarde un moment puis se dirige vers un amas de chaises où il en choisit une et s’assied dessus en regardant le hachis Parmentier de sa main comme si c’était chose tout à fait commune dans l’existence. L’inquiétude monte, une infirmière me répond enfin, je ne lui laisse même pas le temps de me répondre, je lui explique la situation sans oublier de préciser que le type semble connecté à un autre univers alors que sa main pisse le sang.
Bonne lecture si ça peut vous intéresser.
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Ce matin comme tous les autres, je me réveille de bonne heure avant le reste de la Suisse pour aller remplir ma fonction au restaurant de la Migros de Pérolles. Je me lève à 5h 30, me douche en vitesse et avale vite fait un truc qui traîne le frigo. Quelques minutes plus tard, mon doigt pèse sur le bouton de l’ascenseur du personnel qui me mène aux cuisines du restaurant. Ça c’est l’avantage d’habiter à deux pas de son lieu de travail.
Une sorte de routine qui s’est installée depuis que je travaille ici. Depuis deux ans c’est comme ça, on s’y fait à la longue. On ne pense plus trop à rien, on remplit sa vie comme on peut. On fait un peu de sport, on joue sur l’ordinateur, et de temps en temps, on sort faire la fête avec ses amis.
Je suis seul à faire l’ouverture, pas besoin d’être une garnison entière pour dégeler les petits pains et les croissants, et pour préparer le buffet du petit déjeuné, lequel se résume à la mise en présentation des produits. Il suffit de s’organiser un minimum et le tout est opérationnel lorsque les premiers clients viennent aux alentours des huit heures cinq. Huit heure pétante pour les plus ponctuels.
Là j’ai fini mes petites affaires, je fais un petit tour pour vérifier que tout est en ordre en attendant les habitués qui ne tarderont pas. Un vieux monsieur que je connais très bien pour le voir chaque matin à la même heure, arrive comme à son habitude pas plus de 20 secondes après l’ouverture du centre commercial. À croire qu’il campe devant le magasin pour être sûr de ne pas manquer son petit déjeuné sous les néons secs de la Migros. J’imagine l’esprit formaté de ce genre de personnes matraqués à la sauce publicitaire: « Ne manquez surtout pas notre buffet de petits pains tout frais sorti du congélateur, à déguster sous les néons secs de notre restaurant Migros ». Mon regard tombe sur le slogan de la firme, collé en lettres orange sur l’étiquette du bircher bio qui repose dans la glacière : « M comme meilleur », c’est écrit. ça me laisse songeur. J’ai en tête un mot moins flatteur qui décrirait la qualité du produit plus fidèlement, mais ma conscience d’employé modèle m’empêche de le dire.
L’habitué passe à la caisse, je le salue. Il n’a pas l’air dans son assiette aujourd’hui, il titube un peu. Sa mine est grise, presque blafarde, et ses yeux sont injectés de sang. Ça lui fait un sacré contraste de couleur entre le rouge de son regard et le blanc de son visage , mais je garde mes constatations pour moi. Je tipe son produit à la caisse et je lui informe du prix (Je lui demande de payer en d’autres termes). Il ne me répond rien et reste planté devant la caisse, le regard dans le vague, fixant un point derrière moi qui laisserait supposer mon inexistence.
-Monsieur, je lui répète, ça vous fera quatre cinquante s’il vous plaît.
Le type ne me répond toujours rien. Je lui fais des signes de la main, je perds un peu patience à vrai dire. Il a peut-être oublié de mettre son cerveau sur « on » en sortant du lit celui-là, mais s’il s’imagine que ça lui évitera de devoir payer son bircher, il se met le doigt dans l’œil.
-Monsieur ! ça fait quatre cinquante, s’il vous plait !
Semblant de réaction, mouvement bref de rétine, il y a effectivement de la vie dans le bocal. Il me fixe avec un air bizarre, je me sens subitement mal à l’aise. Je lui répète le prix une dernière fois, plus doucement qu’avant car je crois avoir capté son attention. Il marmonne quelque chose d’inaudible et plonge sa main dans sa poche pour aller chercher son porte-monnaie.
Lorsqu’il me tend un billet pour payer son achat ma colonne se raidie, des frissons me parcourent le dos.
Sa main est complètement en sang, déchiquetée sévère au niveau du dos. On dirait une morsure de chien ou quelque chose du genre. Je me lève tout de suite et je m’enquis de dire :
-Monsieur, vous allez bien ? Vous êtes fou de laisser votre main dans cet état sans rien faire ! J’appelle immédiatement une ambulance, il ne faut surtout que vous restiez comme ça, vous aller perdre tout votre sang ! Assoyez-vous sur une chaise en attendant, rester debout ne va pas arranger les choses.
J’empoigne le combiné et compose nerveusement le numéro des urgences. Ça sonne. Entre temps type n’a toujours pas réagis, il reste planté à me regarder comme si j’allais lui délivrer les paraboles du Christ. Je lui parle à nouveau, j’argumente méthodiquement pendant que j’attends un retour au bout de la ligne. Enfin, une lueur intérieure semble frapper le monsieur. Il me regarde un moment puis se dirige vers un amas de chaises où il en choisit une et s’assied dessus en regardant le hachis Parmentier de sa main comme si c’était chose tout à fait commune dans l’existence. L’inquiétude monte, une infirmière me répond enfin, je ne lui laisse même pas le temps de me répondre, je lui explique la situation sans oublier de préciser que le type semble connecté à un autre univers alors que sa main pisse le sang.
30/04/14 à 03:13:01
C'est trop court pour se faire un avis, mais il sera de toute façon difficile de créer un scénario original parlant d'invasion zombie.
M'enfin ce que je peux en dire, c'est que si le début ne m'a pas semblé top (J'ai eu l'impression de lire une rédaction de collégien.), j'ai bien aimé le passage avec le zombie. A partir du moment où le client commence à s'en aller sans payer.
28/04/14 à 13:17:11
Quel pourri tu fais, Hipy ...
27/04/14 à 15:45:06
En fait j'ai pas lu.
27/04/14 à 15:44:56
Meilleure que celles de Noslam, moins bien que celles de Gregor.
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