Ici OnMyOnche qui vous parle, je tenais à parler de 2,3 petites choses avant que vous lisiez ce chapitre.

Tout d'abord, je tiens à remercier les quelques commentaires qui m'ont recommandé une sweet. Et suite à ça, je voulais simplement préciser que cette fic est principalement une fic de sayks. Il peut y avoir à certains moments, des descriptions sentimentales et tout ça, mais je voulais à la base écrire un truc uniquement basé sur le fantasme des relations entres adolescents. Donc mon scénario est complètement bidon et mal foutu, je le sais, et donc je vais essayer de faire des efforts pour rendre l'histoire plus réaliste.
A noté que je prends toutes sorte de critique ! Donc si quelques chose vous déplaît, faite le moi savoir, je pourrais ainsi peut-être m'améliorer par la suite.

De plus, maintenant que les cours ont repris je vais avoir beaucoup moins de temps pour écrire (Terminale oblige ), ne vous étonnez donc pas si les chapitres arrivent moins souvent. Même si je vais faire de mon mieux pour écrire un maximum sans bâcler biens sûr.
Et je tenais aussi à dire que je ne vais plus utiliser de smiley dans mes futures chapitre. En lisant d'autres fic, j'ai pu m'apercevoir que peu de personnes appréciaient leur présence. Donc je vais sûrement éditer mes chapitres précédents pour les enlever.

Voilà, sur ce je vous souhaite une bonne lecture. Enjoy !

Ps: Ce chapitre est un peu plus court que les autres, j'en suis navré, mais je suis énormément pris en ce moment.
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Après avoir repris mes esprits, je me redressai du lit, et m'assis à coté d'Amandine, qui était en train de remettre sa culotte. Elle me sourit

- Alors ? C'était bien ?
- C'était génial... Mais, tu as aimé toi aussi ? Enfin je veux dire, j'ai été à la hauteur au moins ?!

Elle rigola.

- Mais oui ! Rolalala, vous avez quoi vous les mecs à tout le temps stresser pour ça ! Tu sais, j'ai adoré, Mais dit moi … Tu l'avais déjà fait avant ?
- Non pourquoi ?...
- Non pour savoir, parce que tu avais l'air de savoir y faire.

Et elle continua de se rhabiller.
Moi j'étais heureux comme tout, je venais de faire l'amour avec une fille plutôt bien foutu, et en plus elle me dit que je m'étais pas trop mal débrouillé. Je sais pas pourquoi, mais je commençais à prendre confiance en moi, beaucoup plus qu'avant, je voulais me mettre en chasse de d'autres proies, je voulais montrer de quoi j'étais capable. Je serai le prédateur qui chassera ses proies pour les amener jusque dans mon lit. Pas besoin de Maxime comme coach, je me débrouillerai très bien sans lui !
Ou alors, je suis complètement en train de péter un câble dans ma tête. Il faut dire que j'étais pas mal chauffé par l'alcool et avec ce qui vient de se passer, mes pensées traversaient ma tête à mille à l'heure. Il fallait que je me calme, que je relativise. A présent, je sortais avec Amandine, j'avais une copine. Je ferai mieux de m'occuper d'elle pour en profiter un maximum.
Je ne peux pas dire que j'étais amoureux d'elle, car ce serait me mentir à moi-même, mais elle me plaisait. Et apparemment, je lui plaisais à elle aussi depuis quelques temps, donc on verra bien où cette relation nous emmènera.

Une fois revêtu de nos habits de soirée, on s'embrassa et on décida de sortir rejoindre les autres. Notre petite affaire nous avait peut-être prit une demie-heure, mais la soirée continuait et on retrouva la même ambiance que l'on avait quitté auparavant. En entrant dans le salon on vit Baptiste.

- Guillaume ! Je te cherche partout depuis tout à l'heure tu foutais quoi ?
- J'avais... Des choses à faire...

Il regarda Amandine comme si il venait de la remarquer et répondit.

- Toi, tu va avoir des trucs à me raconter ! Bon bref, avec Maxime et un mec qui s'appelle … heu … qui s'appelle … je sais plus comment mais il est cool, et donc avec lui et Maxime on va sortir un peu pour fumer, tu viens ?

Je regardai Amandine, puis elle me dit sur un ton compréhensif.

- Va y, ne t’inquiète pas, je vais aller voir des copines, on se retrouve après ?
- Ok, ça marche !

Alors on se sépara, et je suivis Baptiste. Il alla voir Maxime et l'autre mec, leur dit un truc dans l'oreille, et tout les quatre, on se dirigea vers la porte d'entré de la maison.
Une fois dehors, Maxime ferma la porte. Nous étions seul devant la maison. Puis Maxime prit la parole.

- Alors mec ? Tu va pas nous dire que si tu étais introuvable depuis 30 minutes c'est parce que tu faisait un scrabble.
- Ahhhhh, Si vous saviez ce que j'ai fais … C'était, magique.
- T'es plus puceau ?!
- Bha écoute... non.
- Yeah ! Ça c'est le Guillaume que j'aime ! Première soirée de cette année, et tu te dépucelle ce jour là ! Hahaha, espèce de beau gosse. C'est la fille avec tu dansais tout à l'heure ?
- Ouai, elle s'appelle Amandine.
- Il faudrait que je la vois, j'ai pas bien vu à quoi elle ressemblait dans le noir, mais elle avait l'air plutôt bien foutu mon salaud !
- C'est vrai qu'elle est plutôt pas mal … Mais sinon, Maxime, je n'ai pas eu besoin de ton aide au final.
- De quoi tu parles ?
- Mais si tu sais, dans le car, lundi, tu me disais que tu allais devenir mon coach pour gérer, et tout ça, et au final, je me suis bien débrouillé tout seul.

Il se mit à rire

- Ahhhhh Oui ! C'est vrai ! Il faut dire que vu l'état dans lequel j'étais tout à l'heure, je n'aurai pas été très utile...

Et on continua ainsi à parler de la soirée et à rigoler. Puis Maxime sortis un sachet d'herbe et se mit à rouler un pétard.

- Tu voudras fumer Guillaume ?
- Ouai, pourquoi pas, ça fait longtemps.

On s'installa alors tout les quatre sur un banc devant le maison et on fuma quelques joints. Au bout d'un peu plus d'une heure, on décida de rentrer à l'intérieur.
J'étais complètement détendu, ma respiration était lente et quand je marchais, j'avais l'impression de quitter le sol à chaque pas. Punaise, je sais pas si c'est parce que cela faisait longtemps que je n'avais pas fumé, mais son herbe me faisais pas mal d'effet.
On franchit le seuil de la porte et on retourna dans la salon. Une fois dedans, je me précipitai sur un canapé qui était libre. J'étais totalement largué, je percevais mal les sons autour de moi. Ma tête tournais, mais j'étais bien.
Puis Je vis Amandine s'approcher de moi.

- Guillaume ? Tu vas bien ? T'es tout pale …
- Oui oui, niquel, je me suis jamais sentis aussi bien. Viens …

Puis je tendis ma main pour la prendre sur mes genoux.

- Vous avez fumé quoi dehors ?
- Sûrement pas que des cigarettes ...

Elle avait l'air d'être un peu déçu de moi, mais elle fit abstraction de ce que je venais de dire. Elle voulait sûrement pas me faire la gueule.
Et on resta là, ensemble à s'embrasser et à se faire des câlins. Peu à peu, les gens partaient, ou monter à l'étage pour dormir. Il était tout de même cinq heure du matin, et la fête commençait petit à petit à perdre l'entrain qu'elle avait au début.
Puis, on prit une couverture qui traînait par là, on s'enveloppa ensemble dedans, sur le canapé, et on s'endormit blottit l'un contre.