Mes yeux commencèrent à s'ouvrir, Je reprenais conscience. Mes paupières se battirent puis mes yeux s'habituèrent peu à peu au soleil qui brillait au dans le ciel.
Il devait être aux alentours de treize heures. Après quelques minutes je me levais. Derrière moi il y avait un lac d'un gris très clair et devant une forêt luxuriante c'étendait à perte de vue.
En me levant, Je pris conscience que j'était comme plus légé, peut être n'était-ce q'une impression. Maintenant que j'etais pleinement réveillé, j'était inquiet.
Comment ai-je pu me retrouver du toit de ma maison à dans cette forêt ?

Je ne pouvais pas attendre qu'une réponse tombe du ciel, Je me mis alors à explorer cette forêt.
J'espérais en sortir pour trouver une ville ou rencontrer quelqu'un qui me dirait ou je suis.
Néo marcha alors à travers cette forêt, les pensées tordues de questions. Il essaya de ne pas penser au pire des situations quand soudain il trébucha sur un file attaché à deux troncs avec une clochette suspendue dessus.
Mais qui a pu mettre sa ici. Je pestai contre ce file quand j'entendis des pas.
Il n'y avait pourtant personne, Je regardai partout mais rien. Soit mon ouïe s'était affiné soit je devenai fou. Je dessidai de continuer à marcher mais j'entendis encore les bruits de pas cette fois plus distinctement. Par pur réflexe je me retournai et vis deux hommes d'apparences étranges. Ils avaient des oreilles pointues et des yeux jaunes.
Je n'eus pas le temps de dire un mot qu'un des deux me tira le col et me plaqua contre un arbre. Il avait une force surhumaine et commença à essayer de me voler mais bien sur Je n'avais rien sur moi.
Il dit quelque chose que je n'avais pas compris à son accolite, cette langue m'était inconnu, et sortit un poignard.
Mon cœur s'emballa, ce n'était pas possible je ne pouvais pas mourir ici, dans un endroit inconnu alors que j 'étais
si jeune.

Alors qu'il allait me poignarder, je me résolu à ne pas me laisser faire. L'adrénaline monta en moi, j'interceptai sa main dans son élan et je réussis à lui faire lâcher le poignard en lui broyant la main. Puis je lui mis un coup de poing en plein sur le nez. L'être qui tenait tantôt le poignard vola sur deux mètres. Mes yeux s'écarquillèrent, ceux de son compagnon aussi. Il fonça ensuite sur moi, en un seul mouvement d'une rapidité hors norme je réussi à ramasser le poignard et à lui enfoncer dans le cœur.

J'avais réussi à me débarrasser de ces deux êtres avec une force et une rapidité inexpliquées. J'étais dans un moment d'euphorie, même si une petite par de moi n'était pas fier d'avoir tué quelqu'un, je ressentai la joie d'être encore en vie et mes ennemies eux à terre.
Comme j'etais dans mes pensées, je n'entendis pas tous de suite le bruit des sabots de chevaux. Qui allais-je encore rencontré?