Le scandale des femmes qui aiment
Par : Profiteur
Genre : No-Fake , Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 21/11/13 à 14:19:10 par Profiteur
J’ai rencontré Marie lors d’une réjouissance à laquelle nous étions tous deux invités. On ne se connaissait pas, on ne s’était jamais rencontré et nous n’avions qu’un seul ami en commun. Tout laissait à penser que nous ne rencontrerions jamais. Pourtant, le destin vit pour nous un tout autre horizon.
Ce soir là, elle était vêtue de manière provocante. Jusqu’à aujourd’hui, il faut dire que je ne l’ai pratiquement jamais vu habillée comme tout le monde, il fallait toujours qu’elle trouve le moyen d’être différente dans le mauvais sens du terme. C’est-à-dire qu’elle cherchait toujours à plaire à quiconque elle faisait la rencontre.
Nous avons appris à nous connaître presque par hasard. Un de mes plus familiers compères était venu à moi et m’avait adressé quelques mots.
« Tu as vu comme elle est belle ?
- Qui ça ?
- Elle ! »
Et il me la désignait du doigt. C’est vrai qu’elle était belle. Je me souviens encore de sa tenue. C’était un body noir. A cette époque, j’avais tendance à dire que c’était une robe puisque je n’y connaissais rien aux garde-robes féminines. D’ailleurs je n’y connais toujours rien. Si vous êtes un homme, que ça ne vous dit rien non plus et que le mot « body » vous est inconnu comme il l’était à moi, je vous invite à faire une petite recherche pour vous faire à l’idée quel genre de femme elle était.
Mon compagnon m’accompagna jusqu’à elle et comme un pic pour me rendre inconfortable, il annonça :
« Je te présente Marie. Essaye de la regarder dans ses yeux, je te vois déjà tendre l’œil. »
Il avait raison, j’avais déjà les yeux rivés sur autre chose. A mon plus grand étonnement, ça ne la choqua pas. Pire encore, ça la faisait rire. Je me demandais quel espèce de femme elle était, j’essayais déjà de lire en elle et je pensais y parvenir. Ce devait être une femme à repasser quand son âme est froissée, l’espèce qui ne recule devant rien, qui aime provoquer d’un air cruel.
Pour avancer la première pièce du jeu auquel nous ne faisions que commencer, je la suppliais de se munir d’un vêtement en tricot ou n’importe quoi pouvant cacher ce qui était devant les yeux de tous les hommes qui ici ne parlait que de ça.
Encore une fois, à plus grand désarroi, elle sourit. Définitivement, ce devait être une femme bien débauchée. La considération que je lui portais n’en demeurait que plus inconcevable. Je ne savais pas trop si je devais admirer cette femme comme d’un Saint ou bien si je ne devais, au contraire, pas avoir du tout d’estime pour cette créature sortie de nul part.
Je n’eus pas de nouvelles d’elles durant trois jours durant lesquels ce fut comme si elle n’avait pas existé.
Ce soir là, elle était vêtue de manière provocante. Jusqu’à aujourd’hui, il faut dire que je ne l’ai pratiquement jamais vu habillée comme tout le monde, il fallait toujours qu’elle trouve le moyen d’être différente dans le mauvais sens du terme. C’est-à-dire qu’elle cherchait toujours à plaire à quiconque elle faisait la rencontre.
Nous avons appris à nous connaître presque par hasard. Un de mes plus familiers compères était venu à moi et m’avait adressé quelques mots.
« Tu as vu comme elle est belle ?
- Qui ça ?
- Elle ! »
Et il me la désignait du doigt. C’est vrai qu’elle était belle. Je me souviens encore de sa tenue. C’était un body noir. A cette époque, j’avais tendance à dire que c’était une robe puisque je n’y connaissais rien aux garde-robes féminines. D’ailleurs je n’y connais toujours rien. Si vous êtes un homme, que ça ne vous dit rien non plus et que le mot « body » vous est inconnu comme il l’était à moi, je vous invite à faire une petite recherche pour vous faire à l’idée quel genre de femme elle était.
Mon compagnon m’accompagna jusqu’à elle et comme un pic pour me rendre inconfortable, il annonça :
« Je te présente Marie. Essaye de la regarder dans ses yeux, je te vois déjà tendre l’œil. »
Il avait raison, j’avais déjà les yeux rivés sur autre chose. A mon plus grand étonnement, ça ne la choqua pas. Pire encore, ça la faisait rire. Je me demandais quel espèce de femme elle était, j’essayais déjà de lire en elle et je pensais y parvenir. Ce devait être une femme à repasser quand son âme est froissée, l’espèce qui ne recule devant rien, qui aime provoquer d’un air cruel.
Pour avancer la première pièce du jeu auquel nous ne faisions que commencer, je la suppliais de se munir d’un vêtement en tricot ou n’importe quoi pouvant cacher ce qui était devant les yeux de tous les hommes qui ici ne parlait que de ça.
Encore une fois, à plus grand désarroi, elle sourit. Définitivement, ce devait être une femme bien débauchée. La considération que je lui portais n’en demeurait que plus inconcevable. Je ne savais pas trop si je devais admirer cette femme comme d’un Saint ou bien si je ne devais, au contraire, pas avoir du tout d’estime pour cette créature sortie de nul part.
Je n’eus pas de nouvelles d’elles durant trois jours durant lesquels ce fut comme si elle n’avait pas existé.
22/12/13 à 22:00:34
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