Nous étions beaux, tellement beaux!
Par : Tankyadesputes
Genre : Réaliste
Status : Terminée
Note :
Chapitre 13
Chapitre 10: Des cailloux sur mon chemin
Publié le 03/09/13 à 21:42:20 par Tankyadesputes
Vendredi, 16h30. J'avais finis les cours et je devais attaquer la partie la plus important de la journée: Remettre a leur place une bande de trous de balles. Car en vrai je suis sur que c'est juste de grandes gueules. Il étaient installés dans une cage d'escalier qui donnait sur différents couloirs, ou de nombreux élèves et enseignants circulaient. Voici mon plan, avec les ingrédients: :
-Du fil de pêche
-Un billet de 20 €
-Un bol
-De l'eau de javel
-Un petit mélange de mousse au chocolat, de chatilly, de mousse a raser parsemés de miette de pain et de papier cul.
Le garçon le plus bas en serai la victime. C'était l'ex de Tina.
Je commence a placer discrètement le billet attaché a du fil de pêche et je me cache derrière une porte anti incendie. Je commence alors a l'agiter jusqu'a ce qu'il le remarque.
-Oh putain mon billet! S'écria-t-il avec une discrétion a toute épreuve (ironie ) J'ai failli le paumer.
Il se baissa pour le ramasser tandis que je tirais sur la ficelle. Il cru a un courant d'air, et descendit les marches presque en courant pour le récupérer alors que je tirai pour l'attirer dans mon piège. Ce crétin y croyait vraiment, et fonça tête baissée dans une flaque d'eau de javel minutieusement placé pour qu'il tombe a cet endroit. Il glissa en avant et tomba la tête la première sur... le bol de mixture que j'avais placé auparavant a l'endroit précis ou je voulais qu'il chute.
-Bbllarg! Bafouilla-t-il quand il releva la tête.
Les élèves, assez nombreux a ce moment la dans le couloir le dévisageaient et riaient a gorge déployé. Son visage et ses cheveux étaient barbouillées de cet étrange mélange, que j'avais cela dit, fait a l'arrache.
Un surveillant qui passait par la l'aida a se relever et a récupérer son billet. Seulement...
-Et tu m'explique ce que ça fait la?
-Quoi? c'est pas a moi monsieur?
J'avais en plus accroché discrètement a l'avance un pochon contenant une barette de shit. De ce que j'entendais, il se faisait engueuler, et emmener chez le proviseur.
Pas le temps d'admirer mon exploit, je dois rattraper les deux autres qui se sont enfuit une fois que le surveillant avait vu le pochon, pour ne pas être impliqué. Bon pote ouais.
Je les attendais dans les chiottes, ou ils s'étaient réfugié. Je les accueillis avec un sourire sournois. :
-Putain! le mec de mercredi! dit l'un des deux, le plus petit. C'est toi qu'a fait ça spèce de batard?! Enfoiré de ta race!
Il m'attrapa alors par le col de mon pull mais a quoi bon? C'est pas ça qui m'arrête.
Très réactif, je lui tape assez rapidement de ma pointe de pied dans les tibias 3 fois, puis dans le genou, avant de l'enchainer de 6 coups de poings dans l'estomac. Il était alors plié en deux, gémissant de douleur. Je l'achève alors d'un coup de tête dans le nez.
Il hurla de douleur, alors qu'il se tenait le nez, ou son sang coulait entre ses doigts. Je l'envoie ensuite balader d'un chassé dans le ventre, ou il se cogna contre une porte.
L'autre, était surpris, ce qui ne l'empêcha pas d'aider son pote, et il me décolla un crochet dans la joue gauche, avant d'enchainer un direct dans le front.
Ok le type sait pas vraiment ou frapper, ça fait mal mais osef, je suis sonné 5 secondes et je me remet.
Je riposta d'un crochet dans le menton quand il s'avançait vers moi pour continuer son travail. Ses dents claquèrent, ce qui le mit mal. Je tapait ensuite d'un uppercut dans le plexus, d'ou il me frappa dans la lèvre, puis dans l'oeil de deux coups de poings qui me firent plutot mal. Je repris mes esprits puis riposte d'un crochet dans la machoire, avant de lui envoyer un fouetté dans les cotes. Il se tordait lui aussi de douleur, mais quand je voulu en finir avec un dernier crochet du droit, il se baissa rapidement pour esquiver mon coup.
A ce moment, je fis un tour sur moi-même pour executer un revers pour que le talon de mon pied gauche se plaque en plein menton. Il respirait difficilement, sa bouche était en sang, et sa joue légèrement ouverte. Il gémissait a son tour et, se savant vaincu, il resta a terre.
-Boxe américaine mon pote, ou full contact, lui annonçais-je d'un air de victoire. 3 ans. La prochaine fois tu réfléchira a deux fois avant de t'attaquer a n'importe qui
-Enculé... Lacha-t-il. Si je te choppe...
-Il se passera quoi? Je te remettrai la même misère? Pourtant a deux c'est facile et regardez vous: Vous êtes minable. Et vous faites autant de bruit pour ça? Pitoyable.
-Putain...
-Ah au fait, tu dira a ton autre pote, si il n'est pas renvoyé, de prendre une rupture au sérieux. Il ne viendra pas voir Tina. Il ne l'appelera pas. Il ne lui parlera même pas.
Je m'approchai de lui pour lui attraper la tête:
-Fils de iench'...
Que je fit rebondir contre un lavabo.
-On est bien d'acord? le menaçait-je, mais d'un ton assez relaché.
-Pff..
-Bon, dis-je en remettant mon pull en place et en me recoiffant, ça s'est fait.
Je me regardai dans le miroir. Ma lèvre saignait légèrement, mais j'avais tout de même une marque de coupure au nez ainsi qu'un coquard.
-Dommage, je suis plus aussi beau qu'avant.
Ce que je savais pas, c'est que Tina avait tout vu et tout entendu de derrière la porte. Je fus surpris en la voyant:
-Waou... Dit-elle encore impressionné. Qu... T'es un monstre...
-Non, un gentlemen. Ces type ont mérité ce qui leur arrive. Ils ont l'air méchants comme ça, mais ils sont rien. Faut pas se fier aux apparence. Ils sont craints c'est sur, mais dans "ils sont craints" y'a craints comme dans "ça craint".
Elle m'enlaça alors autour du cou, et me chuchota:
-Merci. T'étais pas obligé et pourtant... Mais t'as pas peur des représailles?
-Osef, je recommencerai.
Je partis alors comme si rien ne s'était passé.
-Attends, me dit-elle avant que je parte. Si tu veux faire le gentlemen jusqu'au bout, tu m'inviterai surement a boire un verre.
-Mmm... Mademoiselle, commençai-je avec la voix, le sourire et le regard imité d'un homme galant. Voulez vous prendre un verre avec moi ce soir?
-Ouais, avec plaisir
-Super Alors a ce soir, on se capte après manger?
-Pas de problème.
Je quitte donc le lycée, en évitant les regards pour que personne ne remarque la baston, puis rentra chez moi.
-Putain c'est dans la poche! Me dis-je tout excité sur le trajet.
C'est clair, si je le fais pas je suis un vrai naze, même Fergus pourrai ouvertement se foutre de ma gueule
Et le soir venu...
-Du fil de pêche
-Un billet de 20 €
-Un bol
-De l'eau de javel
-Un petit mélange de mousse au chocolat, de chatilly, de mousse a raser parsemés de miette de pain et de papier cul.
Le garçon le plus bas en serai la victime. C'était l'ex de Tina.
Je commence a placer discrètement le billet attaché a du fil de pêche et je me cache derrière une porte anti incendie. Je commence alors a l'agiter jusqu'a ce qu'il le remarque.
-Oh putain mon billet! S'écria-t-il avec une discrétion a toute épreuve (ironie ) J'ai failli le paumer.
Il se baissa pour le ramasser tandis que je tirais sur la ficelle. Il cru a un courant d'air, et descendit les marches presque en courant pour le récupérer alors que je tirai pour l'attirer dans mon piège. Ce crétin y croyait vraiment, et fonça tête baissée dans une flaque d'eau de javel minutieusement placé pour qu'il tombe a cet endroit. Il glissa en avant et tomba la tête la première sur... le bol de mixture que j'avais placé auparavant a l'endroit précis ou je voulais qu'il chute.
-Bbllarg! Bafouilla-t-il quand il releva la tête.
Les élèves, assez nombreux a ce moment la dans le couloir le dévisageaient et riaient a gorge déployé. Son visage et ses cheveux étaient barbouillées de cet étrange mélange, que j'avais cela dit, fait a l'arrache.
Un surveillant qui passait par la l'aida a se relever et a récupérer son billet. Seulement...
-Et tu m'explique ce que ça fait la?
-Quoi? c'est pas a moi monsieur?
J'avais en plus accroché discrètement a l'avance un pochon contenant une barette de shit. De ce que j'entendais, il se faisait engueuler, et emmener chez le proviseur.
Pas le temps d'admirer mon exploit, je dois rattraper les deux autres qui se sont enfuit une fois que le surveillant avait vu le pochon, pour ne pas être impliqué. Bon pote ouais.
Je les attendais dans les chiottes, ou ils s'étaient réfugié. Je les accueillis avec un sourire sournois. :
-Putain! le mec de mercredi! dit l'un des deux, le plus petit. C'est toi qu'a fait ça spèce de batard?! Enfoiré de ta race!
Il m'attrapa alors par le col de mon pull mais a quoi bon? C'est pas ça qui m'arrête.
Très réactif, je lui tape assez rapidement de ma pointe de pied dans les tibias 3 fois, puis dans le genou, avant de l'enchainer de 6 coups de poings dans l'estomac. Il était alors plié en deux, gémissant de douleur. Je l'achève alors d'un coup de tête dans le nez.
Il hurla de douleur, alors qu'il se tenait le nez, ou son sang coulait entre ses doigts. Je l'envoie ensuite balader d'un chassé dans le ventre, ou il se cogna contre une porte.
L'autre, était surpris, ce qui ne l'empêcha pas d'aider son pote, et il me décolla un crochet dans la joue gauche, avant d'enchainer un direct dans le front.
Ok le type sait pas vraiment ou frapper, ça fait mal mais osef, je suis sonné 5 secondes et je me remet.
Je riposta d'un crochet dans le menton quand il s'avançait vers moi pour continuer son travail. Ses dents claquèrent, ce qui le mit mal. Je tapait ensuite d'un uppercut dans le plexus, d'ou il me frappa dans la lèvre, puis dans l'oeil de deux coups de poings qui me firent plutot mal. Je repris mes esprits puis riposte d'un crochet dans la machoire, avant de lui envoyer un fouetté dans les cotes. Il se tordait lui aussi de douleur, mais quand je voulu en finir avec un dernier crochet du droit, il se baissa rapidement pour esquiver mon coup.
A ce moment, je fis un tour sur moi-même pour executer un revers pour que le talon de mon pied gauche se plaque en plein menton. Il respirait difficilement, sa bouche était en sang, et sa joue légèrement ouverte. Il gémissait a son tour et, se savant vaincu, il resta a terre.
-Boxe américaine mon pote, ou full contact, lui annonçais-je d'un air de victoire. 3 ans. La prochaine fois tu réfléchira a deux fois avant de t'attaquer a n'importe qui
-Enculé... Lacha-t-il. Si je te choppe...
-Il se passera quoi? Je te remettrai la même misère? Pourtant a deux c'est facile et regardez vous: Vous êtes minable. Et vous faites autant de bruit pour ça? Pitoyable.
-Putain...
-Ah au fait, tu dira a ton autre pote, si il n'est pas renvoyé, de prendre une rupture au sérieux. Il ne viendra pas voir Tina. Il ne l'appelera pas. Il ne lui parlera même pas.
Je m'approchai de lui pour lui attraper la tête:
-Fils de iench'...
Que je fit rebondir contre un lavabo.
-On est bien d'acord? le menaçait-je, mais d'un ton assez relaché.
-Pff..
-Bon, dis-je en remettant mon pull en place et en me recoiffant, ça s'est fait.
Je me regardai dans le miroir. Ma lèvre saignait légèrement, mais j'avais tout de même une marque de coupure au nez ainsi qu'un coquard.
-Dommage, je suis plus aussi beau qu'avant.
Ce que je savais pas, c'est que Tina avait tout vu et tout entendu de derrière la porte. Je fus surpris en la voyant:
-Waou... Dit-elle encore impressionné. Qu... T'es un monstre...
-Non, un gentlemen. Ces type ont mérité ce qui leur arrive. Ils ont l'air méchants comme ça, mais ils sont rien. Faut pas se fier aux apparence. Ils sont craints c'est sur, mais dans "ils sont craints" y'a craints comme dans "ça craint".
Elle m'enlaça alors autour du cou, et me chuchota:
-Merci. T'étais pas obligé et pourtant... Mais t'as pas peur des représailles?
-Osef, je recommencerai.
Je partis alors comme si rien ne s'était passé.
-Attends, me dit-elle avant que je parte. Si tu veux faire le gentlemen jusqu'au bout, tu m'inviterai surement a boire un verre.
-Mmm... Mademoiselle, commençai-je avec la voix, le sourire et le regard imité d'un homme galant. Voulez vous prendre un verre avec moi ce soir?
-Ouais, avec plaisir
-Super Alors a ce soir, on se capte après manger?
-Pas de problème.
Je quitte donc le lycée, en évitant les regards pour que personne ne remarque la baston, puis rentra chez moi.
-Putain c'est dans la poche! Me dis-je tout excité sur le trajet.
C'est clair, si je le fais pas je suis un vrai naze, même Fergus pourrai ouvertement se foutre de ma gueule
Et le soir venu...
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