Nous étions beaux, tellement beaux!
Par : Tankyadesputes
Genre : Réaliste
Status : Terminée
Note :
Chapitre 40
Chapitre 37: Une étrange personne
Publié le 02/10/13 à 22:27:13 par Tankyadesputes
-Et donc, voila comment je suis tomber ici, après avoir seulement fait de la peinture...
-Hum, je vois...
Eh merde, elle a fini par me faire parler. Je saurais jamais ça, comment ils font les psys? J'ai du tout lui dire de comment je suis arrivé la, et elle m'a surement déja cerner. Parce qu'elle est bonne? D'accord mais quand même...
-Et tu m'as dit que tu adorais faire la fête et les filles?
-Ouais, en gros c'est ça, continuai-je, les trois éléments de la vie: fumer, boire comme un trou et baiser comme un malade. C'est ça la fête.
-Toi t'es franc, beaucoup de jeunes ne disent pas en général ça a un adulte, et encore moins "baiser comme un malade", surtout devant une femme.
-Ouais je sais, mais il faut pas se cacher, elles adorent ça aussi, autant que les mecs, seulement on est pas hypocrites...
-Et donc, commence-t-elle, tu m'as dit qu'un jour un garçon t'en voulait parce que tu avais couché avec sa petite copine?
-Ouais, répondis-je, c'était une vraie tête de gland ce mec. Et sa meuf était une chienne ouais, elle attendait juste que je la prenne.
A ce moment la, elle note quelque chose dans son cahier, je ne sais quoi, et me lance un regard assez combattif.
-Et si tu respectai les femmes un petit peu? Ce sont des être humains et pas des morceaux de viandes. Franchement n'as-tu pas honte?
-Du tout, répondis-je décontracté, je vous l'ai dit, elles aiment ça.
-C'est faux, elles s'y sentent juste obliger. Elles ont peur et honte a la fois. N'y as-tu jamais songé? Ne t'ai tu jamais dit que tu ne devais pas être complice? Tu sais, elles préfèreraient peut être un joli cadeau et un homme serviable qu'une petite brute...
-Non, Non, triple et quadruple non. Je ne pense pas comme vous.
-Tu n'es jamais tomber amoureux? Demande-t-elle.
J'éclate de rire a ce moment, avant de reprendre:
-Non, ou pas récemment du moins, je trouve ça inutile et pire, encombrant.
-Et bien tu devrais mon garçon, dit-elle sur un ton maintenant sévère, parce que les femmes sont jolies, douces et gentilles, elles méritent mieux.
-C'est faux, dis-je d'un air semblant sérieux. Elles sont folles, hystériques, fourbes, laches, manipulatrice et... Psychotiques.
Je me retiens de rire encore une fois, et elles me réponds en inspirant profondément:
-Tu es dans la mauvaise voie Gael. Je peux t'aider, tu peux devenir bien meilleur. Tu n'arriveras a rien comme ça. Je peux t'apprendre a devenir respectueux des filles...
-Le seul moyen de m'aider pour le moment, répondis-je sans la prendre au sérieux, ce serai de me trouver des plans culs. Bon aller je vous laisse, j'ai d'autres chattes a fouetter, et je dois vous avouer que c'est plus chiant de vous écouter que d'être en cours.
-Tu sauras que j'ai raison un jour, dit-elle toujours calme et sérieuse. Reviens demain Gael.
-Si vous le dites, et restez sexy!
Je referme la porte derrière moi et repars pour les cours. J'entendis vaguement l'infirmière marmonner quelque chose toute seule, mais je ne compris pas exactement ses paroles a cause du mur, chose qui m'aurait été primordiale.
-Celui la ne sera pas facile a avoir...
Pause de midi, avec Tarek, Weng, Martin et Dimi. Eux aussi trouve l'infirmière intrigante:
-Perso je la suis pas, leur dis-je. Elle m'a fait la morale comme quoi je devais respecter les meufs en évitant toute copulation, ou un truc du genre.
-Moi non plus, me répondit Tarek. On est jeunes ils faut s'amuser merde! Même si c'est vrai qu'on doit pas trop traiter les filles comme des objets...
-Elle a raison, annonce Dimi. Les filles sont trop souvent traitées comme de la merde. Et des abrutis comme je ne dirais pas de nom en profite.
-C'est toi qui dit de la merde, lançai-je a Dimi. Retourne lécher les pieds de ta bourgeoise et laisse vivre les vrais hommes!
-Moi je peux pas savoir, j'ai jamais eu vraiment de copine... Gémit Martin. Pourtant j'aimerais bien, elles disent toujours vouloir un garçon bien qui fait attention a elle, qui se fout pas d'elle etc... Je suis ce type de gars...
A la remarque de Martin, je pousse un soupir d'exaspération. Ce gros lard n'a encore rien compris a la vie et crois encore aux messages de détresse que disent les filles sur facebook...
-Je m'occuperais de toi plus tard, enchainai-je.
-Peut-être que cette infirmière a raison au fond, intervint Weng. Je ne porte peut être pas assez d'attention a Claire, et elle se sent peut être rabaissé a coté de moi...
-C'est sur tu lui porte pas beaucoup d'attention, lui répondis-je sarcastiquement.
-?
-Oh non rien.
La nouvelle infirmière et ses discours bizarres aux élèves de ce lycée est en ce moment dans toutes les conversations. Certains, dont moi, trouvent ça louche, d'autres pensent qu'elle a raison, d'autre pensent qu'elle veut juste nous aider. Qu'est ce qui se cache derrière ça?
Je le saurai surement bien assez tôt.
-Hum, je vois...
Eh merde, elle a fini par me faire parler. Je saurais jamais ça, comment ils font les psys? J'ai du tout lui dire de comment je suis arrivé la, et elle m'a surement déja cerner. Parce qu'elle est bonne? D'accord mais quand même...
-Et tu m'as dit que tu adorais faire la fête et les filles?
-Ouais, en gros c'est ça, continuai-je, les trois éléments de la vie: fumer, boire comme un trou et baiser comme un malade. C'est ça la fête.
-Toi t'es franc, beaucoup de jeunes ne disent pas en général ça a un adulte, et encore moins "baiser comme un malade", surtout devant une femme.
-Ouais je sais, mais il faut pas se cacher, elles adorent ça aussi, autant que les mecs, seulement on est pas hypocrites...
-Et donc, commence-t-elle, tu m'as dit qu'un jour un garçon t'en voulait parce que tu avais couché avec sa petite copine?
-Ouais, répondis-je, c'était une vraie tête de gland ce mec. Et sa meuf était une chienne ouais, elle attendait juste que je la prenne.
A ce moment la, elle note quelque chose dans son cahier, je ne sais quoi, et me lance un regard assez combattif.
-Et si tu respectai les femmes un petit peu? Ce sont des être humains et pas des morceaux de viandes. Franchement n'as-tu pas honte?
-Du tout, répondis-je décontracté, je vous l'ai dit, elles aiment ça.
-C'est faux, elles s'y sentent juste obliger. Elles ont peur et honte a la fois. N'y as-tu jamais songé? Ne t'ai tu jamais dit que tu ne devais pas être complice? Tu sais, elles préfèreraient peut être un joli cadeau et un homme serviable qu'une petite brute...
-Non, Non, triple et quadruple non. Je ne pense pas comme vous.
-Tu n'es jamais tomber amoureux? Demande-t-elle.
J'éclate de rire a ce moment, avant de reprendre:
-Non, ou pas récemment du moins, je trouve ça inutile et pire, encombrant.
-Et bien tu devrais mon garçon, dit-elle sur un ton maintenant sévère, parce que les femmes sont jolies, douces et gentilles, elles méritent mieux.
-C'est faux, dis-je d'un air semblant sérieux. Elles sont folles, hystériques, fourbes, laches, manipulatrice et... Psychotiques.
Je me retiens de rire encore une fois, et elles me réponds en inspirant profondément:
-Tu es dans la mauvaise voie Gael. Je peux t'aider, tu peux devenir bien meilleur. Tu n'arriveras a rien comme ça. Je peux t'apprendre a devenir respectueux des filles...
-Le seul moyen de m'aider pour le moment, répondis-je sans la prendre au sérieux, ce serai de me trouver des plans culs. Bon aller je vous laisse, j'ai d'autres chattes a fouetter, et je dois vous avouer que c'est plus chiant de vous écouter que d'être en cours.
-Tu sauras que j'ai raison un jour, dit-elle toujours calme et sérieuse. Reviens demain Gael.
-Si vous le dites, et restez sexy!
Je referme la porte derrière moi et repars pour les cours. J'entendis vaguement l'infirmière marmonner quelque chose toute seule, mais je ne compris pas exactement ses paroles a cause du mur, chose qui m'aurait été primordiale.
-Celui la ne sera pas facile a avoir...
Pause de midi, avec Tarek, Weng, Martin et Dimi. Eux aussi trouve l'infirmière intrigante:
-Perso je la suis pas, leur dis-je. Elle m'a fait la morale comme quoi je devais respecter les meufs en évitant toute copulation, ou un truc du genre.
-Moi non plus, me répondit Tarek. On est jeunes ils faut s'amuser merde! Même si c'est vrai qu'on doit pas trop traiter les filles comme des objets...
-Elle a raison, annonce Dimi. Les filles sont trop souvent traitées comme de la merde. Et des abrutis comme je ne dirais pas de nom en profite.
-C'est toi qui dit de la merde, lançai-je a Dimi. Retourne lécher les pieds de ta bourgeoise et laisse vivre les vrais hommes!
-Moi je peux pas savoir, j'ai jamais eu vraiment de copine... Gémit Martin. Pourtant j'aimerais bien, elles disent toujours vouloir un garçon bien qui fait attention a elle, qui se fout pas d'elle etc... Je suis ce type de gars...
A la remarque de Martin, je pousse un soupir d'exaspération. Ce gros lard n'a encore rien compris a la vie et crois encore aux messages de détresse que disent les filles sur facebook...
-Je m'occuperais de toi plus tard, enchainai-je.
-Peut-être que cette infirmière a raison au fond, intervint Weng. Je ne porte peut être pas assez d'attention a Claire, et elle se sent peut être rabaissé a coté de moi...
-C'est sur tu lui porte pas beaucoup d'attention, lui répondis-je sarcastiquement.
-?
-Oh non rien.
La nouvelle infirmière et ses discours bizarres aux élèves de ce lycée est en ce moment dans toutes les conversations. Certains, dont moi, trouvent ça louche, d'autres pensent qu'elle a raison, d'autre pensent qu'elle veut juste nous aider. Qu'est ce qui se cache derrière ça?
Je le saurai surement bien assez tôt.
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