Misère
Par : DAURS
Genre : Polar
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 17/10/13 à 22:52:46 par DAURS
Son téléphone sonna. Il se leva d’un bond, en sueur. Il avait fait un horrible cauchemar et surtout il avait un mal de tête épouvantable. La bière. Le téléphone continuait de sonner. Il le laissa, il savait qui téléphonait ce lundi matin, le même à chaque fois. Il savait ce qu’il lui dirait. Qui tuer. Didier voulait une vie normale et pourtant aujourd’hui, sans rien changer, il allait tuer.
Son téléphone sonna de nouveau, cette fois ci il décrocha. Une voix déformée lui répondit, il raccrocha quelques minutes après. Didier se dirigea vers son salon. Sa décoration était épurée, froide. Quelques coussins étaient là, sur le canapé. Il se dirigea vers un petit coussin noir qu’il décousu et en fouilla le contenu. Son arme était là, un luger, silencieux. Soigneusement entretenu. Didier préférait être méticuleux. Il le remplit de balles et le glissa dans le pantalon de son costard.
Sa voiture l’attendait sur le parking. Il activa le GPS, alluma la radio. Les informations, encore les informations, encore une chose que Didier ne pouvait plus supporter. Entendre les mauvaises nouvelles. Des mauvaises nouvelles il en faisait toute la journée. N°60 rue Jean Jaurès. Une nouvelle victime.
Il monta les marches du perron. Sonna. Attendit quelques instants que quelqu’un lui ouvre et vérifia que la jeune femme était bien celle qu’il cherchait avant de lui tirer une balle entre les deux yeux. Il ne voulait pas perdre de temps car midi approchait et il avait faim. Parfois Didier se trouvait sans cœur. Mais face à un bon gigot, la question ne se posait pas. Oui, un bon gigot avec des pommes de terre. C’est ce que la jeune femme faisait cuire : un reste de gigot qu’il s’empressa de manger. Alors qu’il s’apprêtait à sortir du pavillon, on sonna. Didier se figea net. Il ne s’attendait pas à ca. Avant qu’il n’ait pu voir qui attendait à la porte, les clefs tournaient dans la serrure. Soit il l’éliminait, soit il se cachait. Didier se faufila au dos de la porte et attendit que la personne entre. Dès qu’elle eut franchit la porte, il l’assomma.
Il enfila rapidement son blouson de cuir et quitta le quartier.
Son téléphone sonna de nouveau, cette fois ci il décrocha. Une voix déformée lui répondit, il raccrocha quelques minutes après. Didier se dirigea vers son salon. Sa décoration était épurée, froide. Quelques coussins étaient là, sur le canapé. Il se dirigea vers un petit coussin noir qu’il décousu et en fouilla le contenu. Son arme était là, un luger, silencieux. Soigneusement entretenu. Didier préférait être méticuleux. Il le remplit de balles et le glissa dans le pantalon de son costard.
Sa voiture l’attendait sur le parking. Il activa le GPS, alluma la radio. Les informations, encore les informations, encore une chose que Didier ne pouvait plus supporter. Entendre les mauvaises nouvelles. Des mauvaises nouvelles il en faisait toute la journée. N°60 rue Jean Jaurès. Une nouvelle victime.
Il monta les marches du perron. Sonna. Attendit quelques instants que quelqu’un lui ouvre et vérifia que la jeune femme était bien celle qu’il cherchait avant de lui tirer une balle entre les deux yeux. Il ne voulait pas perdre de temps car midi approchait et il avait faim. Parfois Didier se trouvait sans cœur. Mais face à un bon gigot, la question ne se posait pas. Oui, un bon gigot avec des pommes de terre. C’est ce que la jeune femme faisait cuire : un reste de gigot qu’il s’empressa de manger. Alors qu’il s’apprêtait à sortir du pavillon, on sonna. Didier se figea net. Il ne s’attendait pas à ca. Avant qu’il n’ait pu voir qui attendait à la porte, les clefs tournaient dans la serrure. Soit il l’éliminait, soit il se cachait. Didier se faufila au dos de la porte et attendit que la personne entre. Dès qu’elle eut franchit la porte, il l’assomma.
Il enfila rapidement son blouson de cuir et quitta le quartier.
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