La fille de la nouvelle voisine
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : Terminée
Note :
Chapitre 118
Léa... Reveilles toi !
Publié le 04/09/13 à 13:51:45 par LePatriarche
Je pouvais voir son corps dans un piteux etat... J'avais l'impression que mon coeur allait se dechirer, je m'approchais d'elle, quitte à ramper sur ce sol poussiéreux... Pour la voir de plus près...
Moi : Elle... Me dis pas qu'elle...
Lucie :
J'arrivais vers elle comme un vers de terre, avant d'arriver au niveau de son visage, je rapprochais mon visage du sien, en esperant l'entendre respirer... Rien...
Moi : Léa ! Léa ! Steuplé Léa, dis quelque chose... Meurs pas...
Léa :... E...N...Z...O...
Je l'entendais, elle parlait ! Une joie intense monta en moi, avant que je ne redescende de mon petit nuage... Vivante... Mais dans cet état... Ca me faisait mal de la voir comme ça, je la rassurais comme je pouvais :
Moi : Allez Léa, t'inquiètes pas, je suis là, je vais t'aider hein...
J'essayais de forcer les liens qui m'attachaient de toute mes forces... Rien a faire... Trop solide, saletés de cordes.
Léa : Je peux... Encore respirer... Mais... J'ai mal partout... Pourquoi ? Pourquois nous ? *tousse tousse*
Moi : Je sais pas... Mais je vais le découvrir, et nous sortir de là.
Soudain, j'entendis une nouvelle fois des bruits, comme des cris étouffés... C'etait proche... Très proche... Dans cette salle, en me retournant, je vis Karine, ligotés, comme moi, baillonés, me demandant de lui retirer son baillon. Après avoir lutter 5 minutes avec mes deux mains ligotés pour le lui retirer, elle commence à parler, en sanglotant :
Karine : Tout ça... C'est de ma faute... Léa, désolée, je voulais pas, mon frère ! Pourquoi ?
Moi : Mais de quoi tu parles ? Je comprends rien là...
La porte s'ouvre, deux hommes rentrent. L'un d'eux est ligotés, et la lumière penetrant dans la salle m'eblouit les yeux. Bizarrement, je dois attendre que la porte se referme afin de les voir. L'homme ligoté est propulsé par l'autre homme, qui referme instantanément la porte, je n'ai pas pu le voir.
Au bout de quelques secondes, je peux enfin reconnaitre cette homme, ligoté... C'est Marc...
Karine : Grand frère... Pourquoi ? Pourquoi tout ça !!!
Marc : Désolé Karine, ça devait pas se passer comme ça petite soeur
Moi : Putain de merde Marc ! Tu fous quoi ici ?
Marc : Ah Enzo, alors comment ça va sale enculé ?
Marc, le grand frère de Karine ? Et ligoté avec nous ? Donc, on est bien 5 dans cette salle dorénavant, je ne vois plus de silhouettes ou autre... Lucie dans une cage... Léa à l'agonie... Karine en pleurs... Et Marc...
Je suis perdu...
Moi : Elle... Me dis pas qu'elle...
Lucie :
J'arrivais vers elle comme un vers de terre, avant d'arriver au niveau de son visage, je rapprochais mon visage du sien, en esperant l'entendre respirer... Rien...
Moi : Léa ! Léa ! Steuplé Léa, dis quelque chose... Meurs pas...
Léa :... E...N...Z...O...
Je l'entendais, elle parlait ! Une joie intense monta en moi, avant que je ne redescende de mon petit nuage... Vivante... Mais dans cet état... Ca me faisait mal de la voir comme ça, je la rassurais comme je pouvais :
Moi : Allez Léa, t'inquiètes pas, je suis là, je vais t'aider hein...
J'essayais de forcer les liens qui m'attachaient de toute mes forces... Rien a faire... Trop solide, saletés de cordes.
Léa : Je peux... Encore respirer... Mais... J'ai mal partout... Pourquoi ? Pourquois nous ? *tousse tousse*
Moi : Je sais pas... Mais je vais le découvrir, et nous sortir de là.
Soudain, j'entendis une nouvelle fois des bruits, comme des cris étouffés... C'etait proche... Très proche... Dans cette salle, en me retournant, je vis Karine, ligotés, comme moi, baillonés, me demandant de lui retirer son baillon. Après avoir lutter 5 minutes avec mes deux mains ligotés pour le lui retirer, elle commence à parler, en sanglotant :
Karine : Tout ça... C'est de ma faute... Léa, désolée, je voulais pas, mon frère ! Pourquoi ?
Moi : Mais de quoi tu parles ? Je comprends rien là...
La porte s'ouvre, deux hommes rentrent. L'un d'eux est ligotés, et la lumière penetrant dans la salle m'eblouit les yeux. Bizarrement, je dois attendre que la porte se referme afin de les voir. L'homme ligoté est propulsé par l'autre homme, qui referme instantanément la porte, je n'ai pas pu le voir.
Au bout de quelques secondes, je peux enfin reconnaitre cette homme, ligoté... C'est Marc...
Karine : Grand frère... Pourquoi ? Pourquoi tout ça !!!
Marc : Désolé Karine, ça devait pas se passer comme ça petite soeur
Moi : Putain de merde Marc ! Tu fous quoi ici ?
Marc : Ah Enzo, alors comment ça va sale enculé ?
Marc, le grand frère de Karine ? Et ligoté avec nous ? Donc, on est bien 5 dans cette salle dorénavant, je ne vois plus de silhouettes ou autre... Lucie dans une cage... Léa à l'agonie... Karine en pleurs... Et Marc...
Je suis perdu...
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