Ma vie en internat de filles...
Par : K-Bell
Genre : Sayks , No-Fake
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 12
Publié le 13/05/13 à 12:56:28 par K-Bell
Cette longue période de baise animale/anale m’a rendu aux vacances de la toussaint, une période bien morne. En fait, mes parents se sont cassés aux Seychelles et ils ont décidé qu’il serait plus pratique que je reste dans l’internat pour prendre des cours. Oui, des cours pendant les vacances. Ils m’ont jeté comme un clébard trop encombrant.
Heureusement que les profs étaient cools et la plupart du temps c’était des activités qui étaient proposées. On était peu nombreux et il ne restait que des boudins ou des filles trop jeunes pour moi dans le tas. Non pas qu’elles ne m’attiraient pas, non. Mais je m’étais fixé une limite. Il ne faut pas taper dans la seconde. La seconde, c’est mauvais. La seconde, c’est souvent farouche et vierge, du coup c’est pas l’éclate. La seconde, ca a une mentalité de gamine qui rigole tout le temps. Oui la seconde peut rigoler quand on la percute. La seconde, ça peut avoir moins de 15 ans. En conclusion, la seconde, c’est la taule. Même si c’est elles qui réclament.
En conclusion je me faisais chier dans l’internat. Seules les feuilles mortes me tenaient compagnie pendant que je fumais ma clope dehors, et les deux sœurs blondes mes voisines étaient parties au Portugal pour se dorer le fion.
Il ne restait que moi et les profs ici. Et la doyenne. Ah la doyenne. Cette rousse magnifique continuait de me provoquer avec ses décolletés plongeants et ses tailleurs parfaitement ajustés. Sa fille vidangeait comme une reine et j’imaginais bien que le gène de suceuse devait trainer dans la famille. Je m’évadais en imaginant la mère enseigner la fellation à sa fille. Elles s’entrainaient sur le facteur ou le livreur black de chez amazon qui livrait son paquet spécial pour noel.
« Tu vois ma chérie, si tu ne lui malaxes pas les boules, lui il ne ressent pas que tu veux son sperme, tu comprends ? Regard ce que je fais à sa guirlande et ensuite ce sera ton tour. Le monsieur nous dira ses impressions.
Salopes »
J’ai dit bref ! Je m’égare…
A ce moment la je passais mes journées dans la salle de gym du gymnase d’à coté. Je faisais mes petites séries de pompes en soufflant comme un sagouin pour attirer l’attention sur mes efforts et mes bras gonflés. Je dis attirer l’attention parce que non, je n’étais pas le seul. A ma grande surprise, la salle de gym était bien fréquentée. Non seulement par une ou deux profs, mais aussi par toute l’équipe de gym de l’internat, Hélène en tête. Elles avaient toutes leur uniforme de compétition rouge et je pouvais admirer leurs flexions faites par leurs longues jambes.
Au début, elles étaient surprises de me voir la. Elles croyaient que c’était pour mater du coup elles me regardaient en fronçant les sourcils. Mais quand elles virent que je ne m’occupais pas d’elle et que j’enchainais les pompes torse nu, la situation s’inversa.
En effet, quand j’atteignis ma dixième pompe a la suite, j’étais sûr de faire impression. Je me relevai alors, les abdos et les triceps gonflés, pour me diriger vers le développé couché, et faire mes 12 séries de 3.
Le silence régnait, et je savais qu’elles m’observaient toutes ! Toutes ont été privées de sexe pendant 2 mois, toutes sont pétées aux hormones, et toutes savent que leur capitaine m’a aspiré le nœud comme une morte de soif il n’y a pas si longtemps. Les femmes ça parle, et je suis sur qu’elle avait du parler de son traumatisme. Cochonne.
Les cris de jouissance de Mylène pendant près d’un mois les ont aussi alertées j’en suis sûr, et toutes savent que je suis digne de ma réputation.
La plupart de l’équipe était en première et avait décidé de rester pour s’entrainer car un championnat ou je ne sais quoi en rapport avec leur « sport » allait bientôt se disputer. La professeure, Mademoiselle St clair, les entrainait. Elle participait elle aussi à ce tournoi, mais chez les professionnels.
Moi j’entamais mon développé couché, en faisant mes petites pauses habituelles de 15 minutes entre chaque série. J’en profitais pour observer mon monde.
La prof de chimie, chargée de TD avec ses grands yeux bleus courait sur un tapis de course juste devant moi. Sa peau blanche rougissait sous l’effort, et ses seins bien bombés se balançaient au rythme de l’effort. On sentait, dans sa tenue de sport, qu’elle avait bien plus de potentiel qu’en blouse blanche. D’un coup, j’étais fier quand je repensais au moment ou elle avait déposé un peu de ma semence sur sa délicate langue. Une partie de moi a pu toucher sa fine bouche. Et une partie vivace, qui gigotait.
Mon regard descendit pour s’arrêter sur son nombril dévoilé pour éviter d’avoir trop chaud. Un leggings noir complétait le reste et lui moulait parfaitement les fesses. Elle avait l’air de faire beaucoup d’effort, et de beaucoup se dépenser. Je me demandais bien pourquoi, car elle était déjà très sportive et mince. Parfaite.
Sans m’en rendre compte je l’avais regardé avec insistance, et nos regards se croisèrent. Elle me fit un petit signe de la main, auquel je répondis. Ensuite, la situation devint tendue.
Nous ne nous parlâmes pas du tout, et laissâmes place au langage du corps, plus direct. Nous nous jetâmes sans cesse des petits regards, dès que nous le pouvions. Jamais on ne se voyait dans les yeux, et chacun tentait de voir le corps de l’autre sous l’effort. L’excitation de savoir qu’elle était intéressée par ce que je faisais, me donnait plus de force, et je pu enchainer à la barre.
J’entrais dans un cercle vertueux, savoir qu’elle me regardait m’excitait et explosait mon taux d’hormone male, qui me donnaient un peu plus de force pour faire plus d’effort. Et plus je soulevais, plus elle me regardait.
Je la regardais aussi, peiner sous les kilomètres qu’elle endurait. Elle s’infligeait beaucoup de mal et était essoufflée.
« Elle ressemble donc à ça sous l’excitation, c’est tellement mignon… »
En effet, ça lui donnait plus de charme. D’autant qu’elle poussait des petits cris sur la fin de sa séance. Quand elle arrêta le tapis, elle alla me voir, en marchant lentement dans ma direction. Elle s’essuyait le visage avec une serviette pour se donner un air nonchalant. Nos deux corps en sueur se rapprochaient, et je ne savais plus ou foutre mon érection incontrôlable !! Je pris la serviette a coté de moi pour m’essuyer le visage et la reposer sur mes genoux…mission accomplie.
-Tu vas bien James ?
-Oui bien madame, et vous ? Vous avez fait une belle séance à ce que je vois !
-Oh…tu sais, quand les filles courent comme ça, c’est pour compenser un certain manque de…dépenses physiques.
Elle avait dit ça d’une certaine manière en insistant sur le mot manque. Je faisais les gros yeux, aillant peur de comprendre. Un silence gênant s’installa, je ne savais pas quoi répondre. Elle changea vite de sujet, gênée.
-Tu sais que j’ai parlé a Mademoiselle St clair, la prof de gym ? On est très copines toutes les deux.
-Ah oui ?
-Oui, on a parlé de toi évidemment. Je me sens un peu gênée de te dire ça mais puisque t’es majeur maintenant ça va faciliter les choses…
Je regardai derrière elle, et vit la prof de gym. Elle avait vraiment la même tronche qu’Emma Watson, plus je la regardais, plus c’était évident. J’avais envie de la pulvériser. Elle me jeta un coup d’œil, vit que je parlais avec son amie, et me fit un léger coucou avec un clin d’œil.
Elles avaient manifestement une idée derrière la tête.
Heureusement que les profs étaient cools et la plupart du temps c’était des activités qui étaient proposées. On était peu nombreux et il ne restait que des boudins ou des filles trop jeunes pour moi dans le tas. Non pas qu’elles ne m’attiraient pas, non. Mais je m’étais fixé une limite. Il ne faut pas taper dans la seconde. La seconde, c’est mauvais. La seconde, c’est souvent farouche et vierge, du coup c’est pas l’éclate. La seconde, ca a une mentalité de gamine qui rigole tout le temps. Oui la seconde peut rigoler quand on la percute. La seconde, ça peut avoir moins de 15 ans. En conclusion, la seconde, c’est la taule. Même si c’est elles qui réclament.
En conclusion je me faisais chier dans l’internat. Seules les feuilles mortes me tenaient compagnie pendant que je fumais ma clope dehors, et les deux sœurs blondes mes voisines étaient parties au Portugal pour se dorer le fion.
Il ne restait que moi et les profs ici. Et la doyenne. Ah la doyenne. Cette rousse magnifique continuait de me provoquer avec ses décolletés plongeants et ses tailleurs parfaitement ajustés. Sa fille vidangeait comme une reine et j’imaginais bien que le gène de suceuse devait trainer dans la famille. Je m’évadais en imaginant la mère enseigner la fellation à sa fille. Elles s’entrainaient sur le facteur ou le livreur black de chez amazon qui livrait son paquet spécial pour noel.
« Tu vois ma chérie, si tu ne lui malaxes pas les boules, lui il ne ressent pas que tu veux son sperme, tu comprends ? Regard ce que je fais à sa guirlande et ensuite ce sera ton tour. Le monsieur nous dira ses impressions.
Salopes »
J’ai dit bref ! Je m’égare…
A ce moment la je passais mes journées dans la salle de gym du gymnase d’à coté. Je faisais mes petites séries de pompes en soufflant comme un sagouin pour attirer l’attention sur mes efforts et mes bras gonflés. Je dis attirer l’attention parce que non, je n’étais pas le seul. A ma grande surprise, la salle de gym était bien fréquentée. Non seulement par une ou deux profs, mais aussi par toute l’équipe de gym de l’internat, Hélène en tête. Elles avaient toutes leur uniforme de compétition rouge et je pouvais admirer leurs flexions faites par leurs longues jambes.
Au début, elles étaient surprises de me voir la. Elles croyaient que c’était pour mater du coup elles me regardaient en fronçant les sourcils. Mais quand elles virent que je ne m’occupais pas d’elle et que j’enchainais les pompes torse nu, la situation s’inversa.
En effet, quand j’atteignis ma dixième pompe a la suite, j’étais sûr de faire impression. Je me relevai alors, les abdos et les triceps gonflés, pour me diriger vers le développé couché, et faire mes 12 séries de 3.
Le silence régnait, et je savais qu’elles m’observaient toutes ! Toutes ont été privées de sexe pendant 2 mois, toutes sont pétées aux hormones, et toutes savent que leur capitaine m’a aspiré le nœud comme une morte de soif il n’y a pas si longtemps. Les femmes ça parle, et je suis sur qu’elle avait du parler de son traumatisme. Cochonne.
Les cris de jouissance de Mylène pendant près d’un mois les ont aussi alertées j’en suis sûr, et toutes savent que je suis digne de ma réputation.
La plupart de l’équipe était en première et avait décidé de rester pour s’entrainer car un championnat ou je ne sais quoi en rapport avec leur « sport » allait bientôt se disputer. La professeure, Mademoiselle St clair, les entrainait. Elle participait elle aussi à ce tournoi, mais chez les professionnels.
Moi j’entamais mon développé couché, en faisant mes petites pauses habituelles de 15 minutes entre chaque série. J’en profitais pour observer mon monde.
La prof de chimie, chargée de TD avec ses grands yeux bleus courait sur un tapis de course juste devant moi. Sa peau blanche rougissait sous l’effort, et ses seins bien bombés se balançaient au rythme de l’effort. On sentait, dans sa tenue de sport, qu’elle avait bien plus de potentiel qu’en blouse blanche. D’un coup, j’étais fier quand je repensais au moment ou elle avait déposé un peu de ma semence sur sa délicate langue. Une partie de moi a pu toucher sa fine bouche. Et une partie vivace, qui gigotait.
Mon regard descendit pour s’arrêter sur son nombril dévoilé pour éviter d’avoir trop chaud. Un leggings noir complétait le reste et lui moulait parfaitement les fesses. Elle avait l’air de faire beaucoup d’effort, et de beaucoup se dépenser. Je me demandais bien pourquoi, car elle était déjà très sportive et mince. Parfaite.
Sans m’en rendre compte je l’avais regardé avec insistance, et nos regards se croisèrent. Elle me fit un petit signe de la main, auquel je répondis. Ensuite, la situation devint tendue.
Nous ne nous parlâmes pas du tout, et laissâmes place au langage du corps, plus direct. Nous nous jetâmes sans cesse des petits regards, dès que nous le pouvions. Jamais on ne se voyait dans les yeux, et chacun tentait de voir le corps de l’autre sous l’effort. L’excitation de savoir qu’elle était intéressée par ce que je faisais, me donnait plus de force, et je pu enchainer à la barre.
J’entrais dans un cercle vertueux, savoir qu’elle me regardait m’excitait et explosait mon taux d’hormone male, qui me donnaient un peu plus de force pour faire plus d’effort. Et plus je soulevais, plus elle me regardait.
Je la regardais aussi, peiner sous les kilomètres qu’elle endurait. Elle s’infligeait beaucoup de mal et était essoufflée.
« Elle ressemble donc à ça sous l’excitation, c’est tellement mignon… »
En effet, ça lui donnait plus de charme. D’autant qu’elle poussait des petits cris sur la fin de sa séance. Quand elle arrêta le tapis, elle alla me voir, en marchant lentement dans ma direction. Elle s’essuyait le visage avec une serviette pour se donner un air nonchalant. Nos deux corps en sueur se rapprochaient, et je ne savais plus ou foutre mon érection incontrôlable !! Je pris la serviette a coté de moi pour m’essuyer le visage et la reposer sur mes genoux…mission accomplie.
-Tu vas bien James ?
-Oui bien madame, et vous ? Vous avez fait une belle séance à ce que je vois !
-Oh…tu sais, quand les filles courent comme ça, c’est pour compenser un certain manque de…dépenses physiques.
Elle avait dit ça d’une certaine manière en insistant sur le mot manque. Je faisais les gros yeux, aillant peur de comprendre. Un silence gênant s’installa, je ne savais pas quoi répondre. Elle changea vite de sujet, gênée.
-Tu sais que j’ai parlé a Mademoiselle St clair, la prof de gym ? On est très copines toutes les deux.
-Ah oui ?
-Oui, on a parlé de toi évidemment. Je me sens un peu gênée de te dire ça mais puisque t’es majeur maintenant ça va faciliter les choses…
Je regardai derrière elle, et vit la prof de gym. Elle avait vraiment la même tronche qu’Emma Watson, plus je la regardais, plus c’était évident. J’avais envie de la pulvériser. Elle me jeta un coup d’œil, vit que je parlais avec son amie, et me fit un léger coucou avec un clin d’œil.
Elles avaient manifestement une idée derrière la tête.
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