clash_prosaique
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
à gorge déployée.
Publié le 19/08/13 à 01:18:12 par Pseudo supprimé
Salutation à vous, la mascarade d'écrivains en mauvaise herbe qui règne sur ce site comme une charpente de pucerons nichés sur la feuille desséchée d'un arbre mort.
Permettez-moi de ne pas me présenter étant donné que certains d'entre vous me connaissent déjà quelque peu sous cet illustre pseudonyme, de vue, juste assez pour ne pas apprécier ma présence lorsqu'elle se fait ressentir ( Par les dieux que j'égale en esprit, il est avéré, et vous le verrez bien assez tôt, que je suis quelqu'un de tout sauf agréable !)
Or, pour ne rien vous cacher, voici déjà un petit moment que depuis la cachette sombre de mon intellect tortueux, j'espionne en secret les agissements qui se produisent en cette bibliothèque virtuelle qui renferme les pâles étrons littéraire sortant d'on ne sait quel triste modèle de votre existence et que vous reproduisez sans cesse sporadiquement dans le vain espoir d'obtenir un tantinet la reconnaissance de la part de quelque lecteur doté d'un aussi mauvais goût en terme de choix de récit que vous dans la conception de leur scénario. Lecteur somme toute rappelons-le, généralement épris de pitié pour votre travail d'écriture que je qualifierais plutôt de gribouillis syntaxique si ça ne tenait qu'à moi.
Mais passons cet aspect pathétique dont transpirent tous les pores de votre flasque peau de rat informatisé et que je ne tarderai par ailleurs aucunement d'évoquer à nouveau, car j'aurais pour l'heure à exposer mes savantes et scientifiques observations de votre petite communauté aussi fade et insipide que prétendument artiste, et ainsi par la présente méthode, j'ai finalement établi qu'il serait bon pour mon divertissement personnel de vous envoyer cette petite gerbe d'acide prosaïque, contre laquelle j'attends un adversaire, qui pour s'y opposer, s'avérerait un tantinet soit peu plus habile dans son style lyrique que vous dans les pitoyables tentatives de publications de vos torchons d'écriture que même les tenants de lieux d'aisance les plus insalubres n'accepteraient pas d'employer en guise de papier hygiénique, de peur de noircir la réputation desdits cimetières à déjections d'une tache indélébile, quand bien même serait mis à contribution le plus miraculeux et efficace des solvants. (Salissure dont nous pouvons d'ailleurs établir le parallèle avec ce que représente le site internet que voici sur la toile.)
Venez donc, vous qui trop souvent osez maltraiter cette bien chère langue française de vos turpitudes ineptes dans le contenu de vos (je cite) « fictions »,entre deux discussions de bistrot que vous tenez en guise de simulacre de relation sociale sur ce que vous appelez d'une familiarité hideuse, « le tchat ». Venez donc, je vous attends, vous qui écrivez avec ce petit air hautain sous le stylo, sans vous rendre compte de l'infecte tissus de fausses notes rhétoriques que vous vomissez sur la toile tel une épidémie de lettres infectées. Venez, vous, les poètes inspirés par les graffitis de vieilles maisons désaffectées, frottez-vous à ma plume, affrontez-moi dans ce duel d'idées moqueuses autrement que par le biais de l'injuste censure d'un administrateur outré et blessé dans son orgueil -orgueil soit dit en passant, j'en suis plus que convaincu, d'une grandeur inversement proportionnelle à celle des facultés narratives avec lesquelles le pauvre sot tente pitoyablement de se donner en exemple sur la première page blasphématrice de cette url maudite par la médiocrité éditoriale- ou alors restez à jamais condamné par le joug de ma satire acerbe qui s'inscrira à jamais sous l'affiche de votre admirable incompétence comme un non-dit que vous partagerez collectivement entre vous, adeptes manants de la littérature, et qui vous réduira dans une matière comparable à celle lorsque qu'on brûle un document si indésirable qu'il vaut mieux en préserver le monde qui l'entoure de sa laideur nocive au moyen de la purification par le feu.
Je dois l'avouer, le concéder ; j'aime la destruction, j'aime le mal, et sachez que le petit larbin d'ici-bas qui vient parfois montrer son vieux nez crochu en enlaidissant votre tableau déjà gris d'origine et qui répond sous le pseudonyme anglophone éponyme au lieu où normalement règne ma toute puissance prosaïque, n'est en comparaison à mon odieuse mais géniale personne, qu'un diablotin de piètre augure qui se donne des belles allures dont seuls les pauvres d'esprits tels que des membres de votre groupuscule de sous-ménestrels que vous êtes peuvent réussir à se souiller ne serait-ce que par l'évocation écrite de son appellation fallacieux avec laquelle le piètre intéressé en question a osé se baptiser lui-même, dans son risible amour propre qui pourrait plus s'apparenter à une vision biaisée de sa propre personne, biaisée en réalité par une nauséeuse estime de soi.
Quoi qu'il en soit, et quoi que vous pourrez rétorquer, je vous domine en tout point, vous ne saurez trouver imperfection en moi, ne décèlerez aucune faille dans ma puissance de persuasion. Cela dit, cependant, malgré tout, j'ose par avance dans un élan d'espoir propre à celui qui tente courageusement de repérer un fugace trait d'esprit dans les méandres de stupidités de son frère moins gâté par une nature au sens de l'humour relativement désopilante, saluer l'impétueux ou l'impétueuse qui aura l'audace de me répondre de cette même grâce qui m'est due pour vous écraser.
Passez la plus horrible nuit qui soit,
non cordialement mais certes avec un brin de superbe,
Hercule.
Permettez-moi de ne pas me présenter étant donné que certains d'entre vous me connaissent déjà quelque peu sous cet illustre pseudonyme, de vue, juste assez pour ne pas apprécier ma présence lorsqu'elle se fait ressentir ( Par les dieux que j'égale en esprit, il est avéré, et vous le verrez bien assez tôt, que je suis quelqu'un de tout sauf agréable !)
Or, pour ne rien vous cacher, voici déjà un petit moment que depuis la cachette sombre de mon intellect tortueux, j'espionne en secret les agissements qui se produisent en cette bibliothèque virtuelle qui renferme les pâles étrons littéraire sortant d'on ne sait quel triste modèle de votre existence et que vous reproduisez sans cesse sporadiquement dans le vain espoir d'obtenir un tantinet la reconnaissance de la part de quelque lecteur doté d'un aussi mauvais goût en terme de choix de récit que vous dans la conception de leur scénario. Lecteur somme toute rappelons-le, généralement épris de pitié pour votre travail d'écriture que je qualifierais plutôt de gribouillis syntaxique si ça ne tenait qu'à moi.
Mais passons cet aspect pathétique dont transpirent tous les pores de votre flasque peau de rat informatisé et que je ne tarderai par ailleurs aucunement d'évoquer à nouveau, car j'aurais pour l'heure à exposer mes savantes et scientifiques observations de votre petite communauté aussi fade et insipide que prétendument artiste, et ainsi par la présente méthode, j'ai finalement établi qu'il serait bon pour mon divertissement personnel de vous envoyer cette petite gerbe d'acide prosaïque, contre laquelle j'attends un adversaire, qui pour s'y opposer, s'avérerait un tantinet soit peu plus habile dans son style lyrique que vous dans les pitoyables tentatives de publications de vos torchons d'écriture que même les tenants de lieux d'aisance les plus insalubres n'accepteraient pas d'employer en guise de papier hygiénique, de peur de noircir la réputation desdits cimetières à déjections d'une tache indélébile, quand bien même serait mis à contribution le plus miraculeux et efficace des solvants. (Salissure dont nous pouvons d'ailleurs établir le parallèle avec ce que représente le site internet que voici sur la toile.)
Venez donc, vous qui trop souvent osez maltraiter cette bien chère langue française de vos turpitudes ineptes dans le contenu de vos (je cite) « fictions »,entre deux discussions de bistrot que vous tenez en guise de simulacre de relation sociale sur ce que vous appelez d'une familiarité hideuse, « le tchat ». Venez donc, je vous attends, vous qui écrivez avec ce petit air hautain sous le stylo, sans vous rendre compte de l'infecte tissus de fausses notes rhétoriques que vous vomissez sur la toile tel une épidémie de lettres infectées. Venez, vous, les poètes inspirés par les graffitis de vieilles maisons désaffectées, frottez-vous à ma plume, affrontez-moi dans ce duel d'idées moqueuses autrement que par le biais de l'injuste censure d'un administrateur outré et blessé dans son orgueil -orgueil soit dit en passant, j'en suis plus que convaincu, d'une grandeur inversement proportionnelle à celle des facultés narratives avec lesquelles le pauvre sot tente pitoyablement de se donner en exemple sur la première page blasphématrice de cette url maudite par la médiocrité éditoriale- ou alors restez à jamais condamné par le joug de ma satire acerbe qui s'inscrira à jamais sous l'affiche de votre admirable incompétence comme un non-dit que vous partagerez collectivement entre vous, adeptes manants de la littérature, et qui vous réduira dans une matière comparable à celle lorsque qu'on brûle un document si indésirable qu'il vaut mieux en préserver le monde qui l'entoure de sa laideur nocive au moyen de la purification par le feu.
Je dois l'avouer, le concéder ; j'aime la destruction, j'aime le mal, et sachez que le petit larbin d'ici-bas qui vient parfois montrer son vieux nez crochu en enlaidissant votre tableau déjà gris d'origine et qui répond sous le pseudonyme anglophone éponyme au lieu où normalement règne ma toute puissance prosaïque, n'est en comparaison à mon odieuse mais géniale personne, qu'un diablotin de piètre augure qui se donne des belles allures dont seuls les pauvres d'esprits tels que des membres de votre groupuscule de sous-ménestrels que vous êtes peuvent réussir à se souiller ne serait-ce que par l'évocation écrite de son appellation fallacieux avec laquelle le piètre intéressé en question a osé se baptiser lui-même, dans son risible amour propre qui pourrait plus s'apparenter à une vision biaisée de sa propre personne, biaisée en réalité par une nauséeuse estime de soi.
Quoi qu'il en soit, et quoi que vous pourrez rétorquer, je vous domine en tout point, vous ne saurez trouver imperfection en moi, ne décèlerez aucune faille dans ma puissance de persuasion. Cela dit, cependant, malgré tout, j'ose par avance dans un élan d'espoir propre à celui qui tente courageusement de repérer un fugace trait d'esprit dans les méandres de stupidités de son frère moins gâté par une nature au sens de l'humour relativement désopilante, saluer l'impétueux ou l'impétueuse qui aura l'audace de me répondre de cette même grâce qui m'est due pour vous écraser.
Passez la plus horrible nuit qui soit,
non cordialement mais certes avec un brin de superbe,
Hercule.
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