Chapitre 3 : 1er contact


Les Allemands dans la Tour hurlèrent a la mort. Un cri rappelant

Gole : Da. Eux aussi avoirs Tapettes. Hurk

Lage : Coup de boule ?

Gole : Da.

Les Deux baissèrent la tète et percutèrent de plein fouet la base de la tour. Celle-ci chancela avant de tomber sur les deux gardes près de la porte.

Gole : Hurk. Barbeuc !

Le Lance-flamme S'alluma et brula les 3 Allemands de la tour. Le 6 ème (Qui était en train de réparer le Camion, je vous le rappelle) se retourna, prit son Kar-98 et pointa ce dernier vers Lage en train de sauter a pied joints sur un cadavre de Boche écrasé par la tour. Il allait appuyé sur la détente lorsqu'il constata que cette dernière manquait a l'appel. Il entendit ensuite le coup de feu. Jordan avait enlevé la détente de son arme pendant qu'il réparait et Alex finissait le travail en expédiant une balle en pleine poitrine faisant exploser les entrailles de ce dernier. Oui, la Guerre c'est pas Beau, on vous avait prévenu. De quoi vous vous plaignez...

Lage : Allez, on enfonce la Porte.

Jo : Attendez.

Gole : Ouais, attends. Dans Chez moi, toujours frapper avant d'entrer.

Le Géant tapota la porte du revers de la main.

??? ( Fort accent Allemand ) : C'est pour quoi ?

Gole (Voix de fillette ) : Les Saucisses pour le Barbecue.

??? : Enfin vous arrivez.

La porte métallique s'ouvrit dans un grand grincement. Quelle ne fut pas la surprise du Boche lorsqu'il vit Gole devant la porte, son Lance-flamme a la main.

Gole : Da. Vous manquez de Chaleur.

Le Géant alluma son Lance-flammes et laissa libre cours a son esprit d'artiste. Lage et Jo pénétrèrent juste après lui, faisant tout exploser. On entendit des Tirs, des Hurlements, Alex qui mâchait son Chewing-gum. Puis soudain plus rien. Une bonne vingtaine de Boches étaient tombés.

Jo : Ils veulent jouer a cache-cache ?

Lage : C'est moi le Loup !

Gole : Ca être Moi !

Lage : Alors on est tout les deux des Loups.

Jo : Et moi ?

Alex : Laisse-les S'amuser.

Pendant qu'Une partie de la mauvaise troupe s'amusait, Jordan piratait les Radios Allemandes...

??? : Nous avoirs été prit d'Assaut. La Batterie ne doit pas tomber entre mains des Américains. Demande bombardement !

??? : Ici Papa Schultz. Bombardements sur Zone M-32. Nous serons dans la zone dans 5 minutes.

Tapette se précipita alors dans le Complexe bravant les dangers extérieurs tel que l'air, le froid, les morceaux de bois et les moustiques. Il entra dans le complexe au moment ou Lage tombait sur l'officier de la radio.

Lage : Gagné !!!

Gole : Bravo. Da.

Jordan : Il a demandé un bombardement. Il faut déguerpir, sinon, on va mourir !!!!!!!!!!!!!!

Jo : Ta gueule ! Lage, achève-le

Lage : Ok.

Ce dernier rechargea son arme, un Bar en l'occurrence. Et pointa ce dernier vers l'Allemand. Les autres avaient quittés la pièce. On entendit des tirs durant une bonne vingtaine de secondes.

Lage : Euh, les gars ?

Alex : Quoi ?

Lage : J'ai plus de cartouches.....

Alex pénétra alors dans la pièce. Tout dans la salle des radios avait était détruit. Seul restait intact l'Allemand qui pleurait comme Jordan.

Lage : En plus il s'est fait dessus.

Alex : Bon laisse-le de toute façon ...

Gole : Peut manger ses Chaussures ? Moi avoir un creux.

Jo : Laisse tombé on dégage.

La troupe se mit alors à courir, le plus vite possible. Sauf Gole qui cherchait la cuisine pour trouver des rations. Lage quand a lui, ramassait ce qui lui plaisait, c'est a dire une MG-42.

Jordan attendait dans le Camion. Tous sautèrent a l'intérieur. Alex devant avec Tapette, les autres derrière. En effet, seul le Tireur d'Elite savait lire une carte. Mais la n'était pas la question. Tous avaient entendus le bruit des Avions.

Jo : Démarre Jordan !

Ce dernier tourna la clé et le camion s'alluma. Il vérifia si les rétroviseurs étaient bien positionnés et si les pneus étaient gonflés afin d'éviter toute sortie de route impromptue.

Jordan : C'est parti, Attachez vos ceintures.

Le Radio mit alors sa ceinture comme pour montrer l'exemple.

Alex : On peut pas mettre la ceinture, Gole a Faim.

Jordan : Alors c'est parti.

Il appuya sur l'accélérateur le plus fort possible. Il y'eut un grand bruit, il poussa un grand cri pour essayer d'éviter que l'impression de vitesse ne le gagne trop. Quant il réouvrit les yeux, Il s'aperçut qu'il n'avait toujours pas bougé.

Alex : Il faut peut-être que tu passes une vitesse....