OMG J'ai tué ma grand-mère !!!

Chapitre XVIII


19H, on nous appela pour le dîner. Et c'était pas le gros (logique ), mais une sorte de vieille moche, paye tes rides de bouledogue, salope (pour ceux qui poseraient la question, elle ne m'a rien fait, et je l'insulte gratuitement (bah oui, je vais pas la faire payer quand même ))

-A table.
-ONCHE ONCHE KOM T MOSH !
-Ferme la p'tit con, et passez à table
-M'okay, tu vas te calmer la vieille, on va venir la bouffer ta merde, viens Edouard
-D'accord
-...
C'est ça, et pas d'conneries.
-Taggle.
-.... (

C'est bien, soumise va Dans les couloirs, c'était la pagaye, le staff était en ébullition ; ils venaient de trouver le cadavre du gros, et celui de Teddy, c'était bien la merde

-Hey la vieille, il se passe quoi ? (fake spotted )
-Ca t'regarde ?
-On se calme mamy
-KOM TU VA TKALMER
-BON ECOUTEZ, C'EST PAS DES P'TIS MERDEUX DANS VOTRE GENRE QUI VONT M'EMMERDER (
-MAWASHI GEROOOOONCHE !!!

Edouard avait bondi comme un lion et avait foutu un coup de pied d'une puissance incroyable (pour son petit corps), en plein dans la mâchoire de la vieille !

-AAAAAAAAAAAAAH

D'un coup, Edouard avait baissé son froc, et commença à pratiquez un Z+F (Zizi + Front pour les grotteux ) dans les règles de l'art, sur la vieille ! Le digne élève de son maître

-P'tit con...
A l..*BAM*

Edouard avait chopé la tête de la vieille et lui avait littéralement explosé le crane contre les marches, il frappait, encore, encore & encore, ça n'allait pas sans me rappeler mon premier meurtre, (enfin le second... ) celui de ma grand-mère.
Il massacra la vieille avec la même barbarie que celle avec laquelle j'avais massacré la mère de ma chère génitrice

-On insulte PAS Dieu, prends CA, et CA, et CA, et C... (
-Stop, faut pas traîner, gogo à la cantine
-D'accord

Nous filâmes vers la cantine, nous précipitant en cuisine.

-Olalalah, c'était trop bieeeeeen
-Tu t'es bien amusé hein ?
-Oui, Dieu
-Bien

Nous prîmes (olalah, décidément le passé-simple.... ) notre repas, et partîmes nous asseoir à la table des 13-17
Nos amis du conseil n'étaient pas encore présents, un problème peut-être ?

-Alalalah, ces enfoirés du conseil l'ont vraiment dans l'cul
-Owiiii owiiiii
-Ah bah tiens, quand on parle des ploucs...

Les 5, enfin, les 4 ( ) membres restants du conseil vinrent s'asseoir à table...

-Yo les tarlouzes
-La ferme Allender
-Comment ? J'ai pas entendu ? Ta graisse t'empêche de t'exprimer clairement ?
-La feeeeerme (
-On se calme mon petit, si tu veux pas finir la tête dans ta branlette de morue (ah w'okay ), je te conseille de pas jouer au plus fin
-Ouais, joue pas au plus bête avec moi non plus, tu vas perdre !
-C'est ça Edouard, c'est ça
Oh, mais que vois je, il manque un autiste dans la bande, il est passé où me dis pas qu(tu l'as bouffé Sasawounet
-Non, je massacre pas mes amis, ou ma famille :
-... Répète ?
-Tu as très bien entendu je crois
-.... Ferme taggle, ou j'te l'éclate
-Oh, le petit pauvre est vexé ? C'est sûr que pour un fils de trainée de 16 ans, la maîtrise de sois même, ça doit pas être ça... :

Là, c'en était trop, je me levai d'un seul coup, le choppant à la gorge :

-Parle encore une seule fois de ma mère, et je te TUE tu m'entends, JE TE TUE !
-Quoi ? J'ai touché une corde sensible ? :) Le gosse qui a tué sa mère cherche à défendre son honneur, si c'est pas mi... :)

*BAM*

C'était plus que je ne pouvait en entendre, je venais de lui fracasser le crâne avec ma chaise, le faisant s'écrouler au sol, où je me mis à l'enchainer de toutes mes forces. Quand je disais que je ne me souvenais pas avoir massacré quelqu'un comme ma grand-mère, la façon dont je l'ai frappé était facile 10 fois moindre que la force avec laquelle je martelais laggle de cette sous merde, lui éclatant le crâne contre le sol en marbre, quand on me mit une lame sous la gorge, c'était Amassou.

-Lash le ou jte plan...

Il n'eut même pas le temps de terminer sa phrase qu'Edouard lui avait sauté à la gorge, le mordant. Amassou s'écroula au sol, Edouard était debout sur la table, sa pomme d'Adam entre ses molaires.

-ONNNCHEEEE OOOOONCHEEEE

Edouard était lancé dans sa folie meurtrière, il sauta à pied joint dans la tête d'un des 8 gardiens venu pour nous arrêter, crevant un oeil à un autre, arrachant un morceau d'épaule par ici, mordant un nez par là...
Pendant ce temps, je me battais avec deux gardiens, d'à peu près mon gabarit, en un peu plus large.
Un d'entre eux tenta de me taser, j'esquivai, lui foutant mon genou dans les burnes et lui fracassant le nez contre la table.
Alors que l'autre fondait sur moi, je lui envoyai un high kick dans la tempe droite, de toutes mes forces, le faisant tituber.
Pendant toutes ces années, j'avais au moins acquis une expérience des combats et une certaine souplesse dont je n'étais pas peu fier
Je montai sur les tables et commençai à courir, bondissant de tables en tables, Edouard en faisant de même et me rejoint sur la "table des mioches"
La table était entourée de partout par les gardiens, plus moyen de fuir.
J'essayais de m'enfuir par la gauche, mais je me pris un coup de matraque dans le genou gauche, je tombai par terre, mon fémur avait transpercé ma chair ; c'était ma première facture ouverte, et ça faisait pas du bien
Edouard n'eut pas autant de chance que moi, il se prit carrément un coup de matraque dans le nez, l'assommant sur le coup... On nous rouait de coups alors que nous étions au sol, mes combats m'avait endurci, notamment la branlée monumentale que je m'étais prise à Châtelet. Les coups des gardiens, c'était des caresses qu'on fait à un ponay à côté de ça
On nous traina, nous enfilâmes une camisoles de force à chacun, et un masque à la Hannibal Lecter pour Edouard, (ah ok ) puis ils nous jetèrent, chacun dans une cellule.

Encore une fois dans le noir. J'aimais toujours pas le noir. Mais j'allais devoir m'en accommoder, mon séjour dans cette cellule de 2m² ne faisait que commencer...