<h1>Noelfic</h1>

Counter Strike:Source la ZombieMAP


Par : BurgerBandit

Genre : Action

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 5

Publié le 07/08/08 à 23:01:41 par BurgerBandit

Chapitre 5 : Deux Mondes.




On tenait bien le long de la route. Cette nouvelle équipe ne me déplaisait guère mais si Fraisobodor n’arrête pas de fixait à chaque seconde je sens que je vais devenir fou.
J’ai l’impression de ne pas être la bienvenue mais grâce à Kokiri je suis toujours parmi eux.
On marchait, on marchait et on s’ennuyait me surtout.

<< I guess there is no one to blame!! We're leaving ground!!!>> Chantait Kokiri.

-Raaah tu vas la fermer ta gueule? Dit Fraiso
-Non mais quoi sérieux je n’ai pas le droit de chanter ? On se fait chier à la longue.

-Non ta pas le droit parce que figure toi que tu me déconcentre parce que moi je suis très
Occupé au contraire à vérifier s’il y a des pièges, mines ou déplacement.
Et je ne vous conseil de faire de même parce que j’hésiterais jamais à laisser LastBeliever à marcher devant en tant que cobaye.

Là où on était il commençait à faire froid sans doute on s’approchait.
Quoi qu’il en soit on arrivait surement vers les montagnes enneigé.

-Hé regarder ! fit Kokiri
-Quoi ? Ta noter un déplacement ? Une mine ? Une station ? dit Fraiso
-Euh…hésita Kokiri. Non.
Mais regarde un peu plus en haut y à une tourelle à mitraille et une grosse longe vue on pourrait faire le point là-bas non ?

Fraisobodor avait l’air d’accord. Moi je contentais seulement de la fermer et de sourire valait mieux pas que je fasse mon malin.

-ATTEND ! Kokiri. Dit fraiso. Je ne suis pas con à ce point.
-De quoi tu parles ? répondit Kokiri.

-LastBeliever arrête de bouffer les mouche et va devant on te suit :-))
-Euh…d’accord. Répondis-je.

-C’est salaud ce que tu fais… dit kokiri

-Peut-être mais les situations pourries font place aux initiatives pourries. Vu qu’il est le plus susceptible de mourir en plus de nuire je t’avance déjà que tu devrais la fermer parce que je l’accepte par pur courtoisie jusque là. Ta compris ? Medoc.

-… Kokiri ne répondit plus.

-J’ai dis ta compris ?

-Ouais sa va… :hum:
-Voila ! Tu dois passer par ce petit tunnel rocheux. C’est un peu long mais c’est la seul voie qui nous fera monter si ta pas d’éclairage tiens ma lampe.


Je passais comme demander devant.
Empilant les pas après pas je m’engouffrais en avançant dans le noir envahissant scénariste de la mort embusquant.
Oui le même scénario chaque roche, ombre cachait une histoire. Et parmi cette histoire l’une d’elle cache peut-être ma mort.

Il faisait noir. L’ambiance sombre est à l’honneur surtout que je ne voyais pas la lumière au bout, sans doute fallait-il tourné à un moment en tout cas cette torche ne pouvait pas me le dire elle n’éclairait pas tout.
Je marchais sur les cailloux et sur les flaques, flaque d’eau ? Je ne le savais pas mieux valait ne rien savoir.
Kokiri lui cracha d’un coup vers ma direction je pense mais on va faire comme-ci c’était derrière.

Je piétinais aussi sur des choses assez bizarre ou pour le moins…insolite.
Pour exemple il m’arrive d’écraser une sorte de chose assez tendre ou musclé on va dire vu que sa à l’air vivant et d’entendre un très fin couinement. Dès fois des choses un peu plus durcis qui craque d’un ton.
Quoi qu’il en soit cette traversait vers l’inconnu m’effrayait. Mes "bienveillants" compagnons
eux avaient l’air de s’en foutre à un point, ils se contentaient d’avancé avec une sureté et une hauteur de soldat.
Je voyais mon devant jusqu'à ce que je remarque ce fameux tournant.
Puis d’un coup, il se fit sombre jusqu'à dire carrément noir. Que s’est-il passer avec les torches ?
Soudainement ! Je marchais d’un pas sur une chose assez…comment dire entre visqueuse et gluante. Si bien que quand je levais mon pied celui-ci n’allait pas plus loin et restait bloquer. :peur:

<<BOUH !!>>
Je sursautais et criais d’un ton pas très virile et quand au frissonnement de mes yeux… :peur:
Et la lampe de torche remit à fonctionner avec leurs bonnes doses de rigolades à mes bienveillants et moi leurs pauvre souris de laboratoire je ne riais guère.

-Alors ? On a fait un arrêt cardiaque ? dit Fraiso
-Ouais ouais très drôle… :hum:

-Ouais bon c’est bien drôle mais marche là les piles de la lampe vont pas tenir tout le trajet de la région on a besoin d’économie tu sais ?

-Non mais…là j’ai un truc qui me bloque j’ai besoin de lumière sur le pied.
-Un truc qui bloque ? Quoi par exemple ? dit Fraiso :peur:
-Euh…un peu… gluant et sa fais du bruit de mâchage visqueux quand je lève le pied.
-... t’es sur ? répondis Kokiri. On a besoin de voir ce qu’il y a ? Vous savez on pourrait tirer une balle. Avec un peu de chance si LastBeliever perd du sang fini le poison. Dit Kokiri


-Hein ??!!! fis-je
-Bon bon je blaguais… :hum: pied droite ou gauche dépeche j’ai baisser l’intensité de la lampe. Dit Kokiri
-Droite…attend t’es bien sur de vouloir voir ce qu’il y a ? disais-je

-Il a raison kokiri tu sais mieux vaux le pousser et voila sans doute un simple…Euh un simple truc tu sais ? disait Fraiso d’un ton très frissonnant.

Et il pointa la lumière vers mon pied… :peur:




La lumière éclaira la terre mais on ne voyait rien du tout.
Je levais mon pied pour distinguer une petite tache rose qui se dilatait jusqu'à mon talon.

<<Kokiri…>> Dit fraisobodor.
-euh…oui fraiso ? :peur: rétorqua t-il.

-La prochaine fois s’il te plait vois mieux où tu crache ton chewing-gum merci….
ALLEZ ON CONTINUE ! Pas de temps à perdre.

Notre chemin mis fin de bout en bout jusqu'à la lumière qui commençait devenir moins scintillante et libérer la vision à ce qu’on appelait une sorte de petit bunker enfin pas un bunker plutôt "un endroit pour tirer en étant protéger par long mur " .
Nos yeux s’était figé, c’était horrible j’avais presque envie de vomir…la première fois que je vois un mort.
Même deux… trois cadavres empilé sur eux.
L’un mordu à première vous les deux autres déchiqueter et même décapiter.
La mitrailleuse et la longue se faisant fantôme devant cette atrocité était posé sur ses jambes pliable juste au bout de "l’endroit pour tirer en étant protéger par long mur "

-Rester sur vos garde je ne sais pas qui leurs à fait ça. Kokiri c’est possible de nous dire depuis quand ils sont mort ? dit Fraiso.

-Euh…non pas vraiment mais vu l’état de leurs peau, et des blessures sa pourrait varier jusqu'à des semaines voire des mois.

En essayant de baisser les yeux pour ne plus supporter plus cette horreur je remarquais un petit boût de papier assez moche d’écriture et un peu sale sur la main du cadavre.
Sa me dégoutait mais il fallait que je le prenne essayant de pas trop toucher le corps.
Je me bassais et je prenais soigneusement les doigts du malheureux pour les séparer du papier.
Et dans l’autre main un stylo s’y trouvais, ceci était donc surement un message.

En me relevant je sentis une affreuse douleur venir me picoter de partout pour se concentré sur mon cœur puis ma gorge.
Je poussais un énorme cri qui affola mes compagnons avant que je m’éffondre de souffrance.

-KOKIRI ! Révise le ! dit Fraiso en me pointant son pistolet.
-Tout de suite essai de te calmer je suis sur qu’il va bien la plaie n’a pas pu s’infecter aussi vite.

Il ouvrit ma chemise pour constater avec moi une grande erreur dans ce qu’il a dit.
Une ligne à peu près pourpre et violet se dilatait de plus en plus de mon épaule à mon cœur.
Sa sentait mauvais et si elle atteignait et les poumons et la gorge je crois donc que sa monterais au cerveau directement et puis j’étais foutu c’était bien ça l’explication de Kokiri non ?

-Putain j’en étais sur, disait Fraiso. Je vais l’abattre sa lui évitera en plus de souffrir une fois encore.
-NOOON ! ATTEND ! Cria d’une hauteur de chef kokiri.
Je commence à en avoir marre de ta peur. J’ai dis qu’il va bien et sa veut dire qu’il n’y aura pas de 4ème cadavre ici, ni cadavre plus tard, ni mort non plus et JAMAIS ! TA COMPRIS ?!

-Comment oses-tu, répondit Fraiso.


Et nous Lisions le message :

"Par mon regard à travers ma cachette je perçais de la vue le moindre mouvement de la bête.
Si vous lisez continuez lire cette lettre alors voici pour vous un cadeau:
Je sens que le monstre ne va plus tarder à entrer ici et nous trouvera dans ce cas il n'y aura probablement pas de survivant.
On meurt de froid et de faim depuis trois jours et toujours aucun signe du groupe qui s’est séparer de nous pour chercher de l’aide.
C’est elle oui je suis sur que c’est elle qui les a manger.
Cette bête sauvage, carnivore et aussi cruel qu’un homme elle nous a tellement térroriser ces longs jours.
Elle meurt de faim elle aussi et elles nous guettent depuis ces trois jours et voila que celui-là est notre dernier.
J'ai caché un sac dans cette pièce vous y trouverez une conserve à moitié pleine ( que j’ai cacher pour moi seulement mais je ne la consommerai probablement plus), Cinq recharge pour un fusil de balle 7x62 OTAN, trois grenade et une boîte médicale de secours.
Faites en bonne usage "

"Le monstre n’est toujours pas apparu hier. Il arrivera surement aujourd’hui on l’entend crier de partout. Nous avons cru bon de l’appelé entre temps Wendigo qui lui-même est tout à l’honneur de sa légende. "

" Mon Dieu le Wendigo est là devant nous ils nous a repérer et balance des rocher de plus en plus gros.
Il finira par détruire le toi et là surement il sautera vers nous.
Si vous lisez ce message je vous souhaite bonne chance et ne passait surtout pas parrrr…"


Le malheureux n’a surement pas eu le temps de finir sa lettre.

-Sa alors un monstre trainerais de les parages ? dit Kokiri.
-Ouais et le fait que la date ne soit pas inscris sur le message ne nous aide pas trop. On aurait pu savoir si il est mort depuis. Dit Fraiso.

-Apperement il ne savait pas lui-même quel jour il était. Dis-je.

-Alors ? On fait quoi ? demanda Kokiri.
-Mais dite moi, vous me ferez remarquer que c’est bien bizarre que la longue vue et la mitrailleuse soient intactes. En plus que la longue vue pointe bien précisement à un endroit. Nous fit remarquais Fraiso.

-Oui mais lequel ? Demandais-je.



Bon bah…à toi l’honneur Last.
Je m’avançais vers la lunette et sans poser le moindre doigt pour éviter de bouger la trajectoire de la vision je voyais.

-Je vois…je vois…c’est un peu flou c’est possible d’enlever la bué ? Dis-je
-Ouais attend. Dit Kokiri

Il me fixa un instant d’un air qui basculait de normal à inquiétant.

-Last… Me disait-il.
-Quoi ?? Répondis-je
-Bah euh… Fraiso tu peux me passer ta glace.

-Ouais vas-y montre lui sa figure. Fit-il
-Qu’est-ce qu’elle ma tête ???

Puis je fis face au miroir. Ma tête était devenue quasi horrible. Des veines sortais un peu de nulle part pour s’arreter jusqu'à mes yeux heureusement que il y en avait que 4 ou 5.
J’avais des cernes bleus qui commençaient à apparaître.
L’infection faisait son effet.

-Et après quel symptôme ? demande Fraiso.
-Ben il crachera du sang et là je pense que… dit Kokiri
Enfin tu comprends Last. On doit se dépecher…

-Oui…je comprends. Dis-je.

-Au fait tiens un petit comprimer pour abaisser la douleur avec tu ne devrais pas la sentir comme avant.
Kokiri me tendit une petite boîte de laquelle je devais sortir un comprimé disait-il.
Je me servis.
-Non. Tiens prend la boîte j’en ai encore et puis elle te sera plus utile à toi.

-CHUT ! répondit très fort Fraisobodor.

Sans rien demander je me posais l’interrogation sur l’origine de ce « chut ! »
En tendant mon oreille fixe vers la seul ouverture de l’endroit où nous nous trouvons(c'est-à-dire le tunnel ) Je pouvais entendre des bruits persistants et régulier.
C’était…des bruits de pas. Quelqu’un s’approchait ? Qui donc ? Un Zombie ?

-Kokiri ! Cache-toi avec moi sur le rebord des murs. Dit Fraiso. Last toi tu fais le mort avec les cadavres et fais attention à pas vomir prépare toi quand même à pointer l’arme.

Tout le monde s’exécuta.
Les bruits quand à eux ne s’arrêtait pas et étaient toujours aussi régulier. Ce qui veut dire deux choses.
La personne est humaine, dans notre compte et insoucieuse de ce qui l’attend ici.
C’est un zombie, ou une entité ennemie qui n’a donc aucune peur de ce qu’elle peut trouver.
En fait je pense à deux choses qui ne me servent à rien vu qu’elles sont évidentes, le stress m’enveloppait.
Les bruits s’avançaient et devenait plus fort. Des bruits de bottes. Restait avoir de qui ?
Un zombie ou un humain ?
Soudains les bruits de pas s’arrêtaient et on entendit d’ici qu’un c’était un humain et visiblement il s’exclamait :

<< Putain ! Qui a craché un chewing-gum ici ? Merde! mes bottes toute cirés :-((. >>

Kokiri laissa pousser une petit rire moqueur très court.
-Pffff…le con :rire2:
-Ta gueule ! Rétorqua violement mais silencieusement Fraiso.
-On fait quoi ? C’est un humain. Demandais-je.
-On s’en fout on reste en garde. On ne sait pas qui c’est.

Les bruits reprenaient. Ma tension baisser un peu maintenant que je savais que c’était un humain mais je restais sur mes gardes.
Soudainement… je me pris d’envie d’arrêter de respirait…je ne comprenais pas.
C’est comme-si je m’obligeais à bloquer mes poumons qui eux me donnait l’impression de s’écraser.
J’avais le tournis qui commençait à faire son effet.
Mon Dieu je me sens pas bien…je respire plus…je dois faire signe à Kokiri de venir m’aider.
Non ! Réfléchi il faut encore rester silencieux il bougera pas et inutile d’augmenter la tension du groupe.
Efforce toi last bon sang reprend de l’air efforce toi !
Je n’y arrivais pas quelque soit la force que j’y mettais… merde…je…je perdais toute mes forces.
J’entendais les pas venir ici ça y est la personne qui venait était présente quand soudain mes deux comparses on hurlait :
<< HALTE QUI VA LA ! >>

Mais mes yeux se fermait…l’infection faisait son effet allais-je mourir ou devenir zombie ?
Toute ma force était perdu…je…je me mourrais.




Soudainement ma respiration reprenait à un rythme régulier par le nez.
Je sentais un petit picotement sur le cou puis je pris une bouffé d’oxygène très fortement.
Kokiri m’avait injecté une piqure.

-Tu reviens enfin à toi. Dit Kokiri.
-Wah ! Ouf….*je repris un peu ma respiration* qu’est-ce qui s’est passé ? Demandais-je

-C’est le petit comprimé que je t’avais donné pour adoucir la douleur. Apparemment tu as eu une réaction allergique dès que la douleur a commencé à se manifester.
L’injection ta ouvert les poumons et les artères carotides qui te serve à respirer, quoi qu’il en soit ne reprend plus de comprimé. Ta réaction allergique est tout de même bizarre.

-Pas grave je rappelle que nous avons un petit invité surprise avec nous. Rétorqua Fraiso.

En me retournant vers lui je constatais que l’inviter en question était déjà ligoter, bâillonner et désarmer.
Sans doute ne l’ont-ils pas encore interrogé.
Il faisait des sortes de sons avec sa bouche probablement voulait-il parler et dire quelquechose.

-Quoi ? ta un truc à rajouter l’intrus ? dit Fraiso.
-Bah enlève le petit torchon on va bien voir ce qu’il a dire. Rétorqua Kokiri.

Il dénoua le petit torchon qui l’empêchait de parler et il nous dit d’un ton sec :

-ALLEZ TOUS VOUS FAIRE ENCULER BANDE DE BATARDS ! :-((

Fraiso lui donna un coup de pied rapide sur la figure du personnage. Valait-il mieux qu’un coup de crosse.

-Ferme la l’intrus, alors déjà tu vas répondre à nos question sinon on te laisse congeler ici.
Déjà qu’est-ce que tu fout là.

-De un : je répond à ce que je veux quand je veux alors taggle :noel:
Et de deux…

Il fut interrompu par un second coup de pied dans la face.

-Pas de deux qui tiennent tu parle ou tu crève. Tu fout quoi ici et qui es tu ?

-Oooh putain ! le connard, il a ma cassez le nez… :-((

-REPOND SINON…
-Sinon quoi ? dit l’inconnu.

-Bah sinon on va t’arracher les deux bras au couteau c’est à toi de voir. Et après on te laisser même congeler ici.

-Ta qu’a essayer :(
-Très bien.

Fraiso sorti son fameux couteau sa poche mit sa main sur l’épaule de l’homme et allait s’exécutait.

-NON NON !! Attend ! je vais parler ! je vais parler.
-On est raisonnable à ce que je vois :sournois:

-Je..je m’apelle Alarion. Je suis arrivé ici en passant par le dit raccourcis ayant vu que le chemin normal était truffé de merde.

-Et comme par hazard t’es arrivé à ce point là ? demanda Fraiso
-Bah non…c’est juste que on a remarqué les traces de pas sur la neige.

-On ??? tu veux dire que t’es pas seul ?
-Euh ouais enfin…bon ok je suis venu avec mon pote qui m’accompagnait il s’apelle Bleeds.

- Pourquoi j’ai l’impression que tu ne nous raconte pas tout ? :(

-Pourtant j’ai tout dis. Il y a eu beaucoup plus de mort que prévue dans le chemin normal.
J’espérais avec Bleeds que ici il n’y ai pas autant de problème et en remarquant les trace sur la neige j’ai penser chercher de l’aide par ici. :(






-On a toujours ce petit trou dans laquelle on doit jeter un coup d’œil. Dit Fraiso.
-Ouais ouais j’y vais :) murmurais-je.
- Reprend-le après. Me fit Kokiri
-hein quoi ?
-Bah il a dit jeter un coup d’œil…
- :(
-Et moi j’ai répondu…reprend…. Laisse tomber :-(

Avec une excellente vue rallonger sur cette longue vue je perçais une fois de plus de mon œil le paysage si aveuglant et dur que sont les montagnes enneigés.

-Dite vous avez rien pas un truc à bouffer ? demanda Alarion.
-TA GUEULE! :-(( S’exclama Fraiso. ALORS LE LASCAR ! elle ramène où la vue ? :question:

- Je ne vois rien pour l’instant trop de neige.
Plaisait-il ou non je ne voyais absolument rien et ce n’était pas la bué que j’avais déjà essuyé.

-Amateur… :honte: Laisse moi te montrer comment on fait. Fit Fraiso.

Décidément lui il commençait à prendre ses airs de grandeurs et sa me plait pas :(
Sans doute était-ce tout ce qui se passait en ce moment la haine prend part de son esprit.
Il n’attend plus que l’occasion de m’achever je le sentais.

Néanmoins, en attendant que Fraiso perde son temps, je pu remarquer la griffure sur le mur geler il semblait bien que l’un des feu soldats ai écrit quelque chose avant sa mort.

-Hé ! Regarder ! Intervins-je
-Quoi ? demanda Kokiri.

-Il y a des écritures là ! Ils ont encore essayé de nous parler !
-Mais sa fait longtemps que je les ai vu. dit Alarion.

-Et pourquoi tu nous as rien dis ? Questionna Fraiso.
-Personne ne m’a rien demander :oui:
-Tu chercher vraiment ma crosse dans la gueule non ?
-Si tu le fais j’te jure que j’enfoncerais mon canon dans t…
*Fraiso frappa d’un coup sec et violent sur la figure de pauvre Alarion*
-Taggle :noel:
Alarion criait tellement de douleur, on aurait dit qu’il avait vu Maïté toute nue.

-C’est fini ce cirque ?!! Hurla Kokiri

-TOI AUSSI FERME LA ! cria Fraiso.
-C’est quoi ton putain de problème espèce de connard ? lança Kokiri
-Mon problème ? tu veux vraiment le savoir ?
MON PROBLEME C’EST CA OUVRE LES YEUX !
-De quoi tu parles abruti ??

On est en plein milieux de la neige, on voit rien, j’ai trois débiles qui me collent sur le dos dont un crétin qui n’arrange pas les choses en trouvant rien de mieux à faire que d’être le far d’eau, tu te rends compte qu’on traîne avec boulet et danger permanent qui va surement finir par se retourner vers nous vu notre état, pour pas arranger les choses on a une bête sauvage qui traine dans ces montagnes.
Et c’est sans compter qu’il y a un crétin qui attend dehors dans la neige sans se demander que fout sont putain de copain…

-Salut ! Salut ! Interrompu un simple inconnu :ouch2:

-PUTAIN !!! s’effraya Fraiso en tirant 2 balles de son pistolet qu’il dégaina en un clin d’œil.

Le sinistre inconnu hurla horriblement de douleur on aurait dit qu’il s’était fait enculer par tous les zombies du server.
-BLEEDS !!! cria Alarion.
Alors c’était lui le fameux Bleeds.










-MERDE ! FRAISO ! T’aurais pas pu faire attention ? Exclamais-je
-Attention à quoi ?! il est venu comme ça comment tu voulais que je le flaire ?

-Il a raison. rétorqua Kokiri. Les Accidents sa arrive ce n’est pas trop grave une petite erreur.

-UNE PETITE ERREUR ? On vient de TUER UN INNOCENT !
-C’est pas sur hein, n’oublions pas que c’est le copain du quidam qu’on a ligot…

Sans qu’on s’en rende compte Alarion fonça nettement en direction de Fraiso et lui enfourcha un coup de son casque sur le front de Fraiso.

Fraiso hurla atrocement de douleur on aurait dit qu’il avait fait une infusion avec un suppositoire consommé.

-Enfoiré !!!!! :-((
-Attendez ! l’autre il est toujours vivant. Dis-je

-Aïe ! ma jambe, ma jambe :snif2:
Kokiri alla l’éxaminer.

-C’est ça et moi j’peux aller me faire foutre. Intervins Fraiso.
-Bah tu l’as cherché. :) disait d’un sourire sadique Alarion.
Il ne s’arrêta pas là pour venger la brosse bosse qu’il a sur la face il enfila quelque coup de pied histoire d’écraser Fraiso tel un insecte qui roulait par terre
-Arrete !!! :snif2: supplia Fraiso.
-On fait moins le malin saligaud :-((

-Mon pieeed !!! :snif2:
-Attend je vais te soigner sa, passer moi un briquet je vais lui extraire les balles avant qu’elle ne s’enfonce plus.

-Tiens prend celui de Fraiso. Je le pris dans sa poche sans attendre sa permission il n’était pas en etat de toute évidence.

Kokiri brula et chauffa la lame de son couteau, technique infaillible pour nettoyer et désinfecter une lame.
-Tiens bon sa va faire mal… puis il enfonça le couteau.

Bleeds cria abominablement de douleur on aurait dit qu’il était enculer par toute l’équipe de football.










-Quel vilaine plaie. Affirma Kokiri.
Qui peut me passer le bandage de la trousse de secours ?

Bah moi comme d’habitude. Le noob de service, j’ai qu’à rester à sourire, obéir et faire le gentil con qui aide l’équipe.

Commentaires

Pseudo supprimé

01/11/09 à 12:59:02

sweeet =d

Pseudo supprimé

30/08/09 à 14:47:13

Je croit malheureusement qu'on aura jamais de suite de cette magnifique fic :( :-(

Pseudo supprimé

19/01/09 à 19:08:24

J'adore :hap:

La suite la suite !! :noel:

C'est super réaliste, j'ai vraiment l'impression d'y être, encore encore :P

Vous devez être connecté pour poster un commentaire