Un_destin_seme_d_embûches..._
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 19/08/13 à 01:14:59 par Pseudo supprimé
:mac: CHAPITRE 3 :mac:
Aujourd’hui, on est jeudi, déjà deux semaines de passées, et je finis à trois heures, c’est le jour que je préfère !
Certes, la matinée est bien chargée avec deux heures de SVT et deux heures de physique mais après, juste une petite heure de français et c’est fini !
A propos de français, on va avoir une exposé à faire, sur le livre qu’on étudiera au mois de décembre : Au Bonheur des Dames de Zola. Ca ne m’enchante pas mais tout le monde y passera alors, ça ne sert à rien de se lamenter et puis si le je le fais avec Julia, ça devrait être plutôt sympa.
Je décide de me mettre tout de suite au travail comme ça je pourrai aller à l’entraînement de ping l’esprit libre. Ca va, je n’ai pas trop de boulot, juste les inévitables deux ou trois exercices de math et un peu d’anglais et d’allemand.
Je suis content parce que pour l’instant j’assure bien et on peut dire que mon début d’année est très correct. C’est vrai qu’on n’a pas eu encore beaucoup de contrôles mais j’ai eu trois notes, 13, 14 et 17 !
‘Faut pas que je me plaigne ! Si ça pouvait durer …’
Il faut dire que l’année dernière, en fin d’année, j’ai complètement décroché au troisième trimestre à cause de tous mes problèmes et que j’ai failli ne pas passer …
…
Ca y est, j’ai fini. Il faudra que je relise mon anglais ce soir avant de me coucher mais le plus gros est fait !
Je me lève de mon bureau et je me change pour aller au ping.
…
Je viens de faire une super séance et mon entraîneur, Philippe, m’a félicité. Il m’a proposé de venir à une séance supplémentaire, le mardi soir avec les adultes du groupe régional et ça m’a fait super plaisir.
-« Tu sais Nils, avec un peu de volume en plus tu peux vite avancer parce que maintenant tu as le bagage technique alors ce qu’il te faut c’est du jeu, de la relance d’un niveau supérieur pour t‘obliger à une concentration plus constante et puis surtout que tu prennes de l’expérience face à des joueurs de bon niveau.
-« Ouai, c’est sûr … j’espère que mes parents voudront bien mais comme pour l’instant ça va bien à l’école …
-« Alors je compte sur toi et si ça se passe bien, c’est deux ou trois classements de plus à la fin de l’année ! »
Je souris de contentement à cette affirmation.
‘Deux ou trois classements de plus ! Ce serait génial, avec ça je pourrai sûrement jouer dans l’équipe 2 du club …’
Je le remercie pour tout ce qu’il vient de me dire et je vais au vestiaire me changer. Les autres gars de mon groupe sont déjà là et ils me demandent un peu envieux ce que m’a dit Philippe.
Tout en discutant, je les regarde discrètement ; il y en a un qui m’impressionne et j’ai toujours le regard attiré par lui et quand il se change, ça me fait tout drôle …
Il se ballade en boxer devant tout le monde, pas du tout gêné et certainement un peu fier de son physique si avantageux ! Je sais que je dois faire attention alors je regarde ailleurs mais irrésistiblement je lance de brefs coups d’oeils vers ses fesses, son dos musclé et aussi sur la bosse proéminente située entre ses jambes …
‘Arrête Nils ! Arrête !’
Je me détourne pour enlever mon short et me baisse pour récupérer mon tee-shirt qui est tombé et j’entrevois soudain fugitivement un bout de chair dans l’entrebâillement du caleçon de Samuel, mon équipier qui est assis sur le banc, les jambes grandes ouvertes.
‘C’est sa bitte !’
Je sens une excitation monter et le rouge gagner mes joues. Je me rhabille en toute hâte et prétexte du travail d’école pour pouvoir filer rapidement.
-« Salut les gars, à dimanche !
-« Ouai, salut Nils ! »
…
Eh oui, je suis homosexuel ! Enfin, je préfère dire gay !
Je le sais depuis deux ans de façon certaine et plus ou moins consciemment depuis que j’ai douze ans.
J’ai eu cette révélation terrible un jour où je jouais avec mes cousins et que je me suis mis à bander quand Eric, mon cousin de mon âge, s’est changé devant moi parce qu’on l’avait fait tomber tout habillé dans la piscine. Je me suis mis à bander quand il s’est mis nu devant moi et j’étais incapable de détacher mon regard de son corps, de ses fesses et surtout de son sexe ! Il venait juste de commencer sa puberté, comme moi à l’époque. Les quelques poils qui ornaient son pubis et formaient un écrin autour de sa verge au repos, le balancement de ses testicules dans leur sac étaient comme un spectacle magnifique dont mes yeux refusaient de se détacher et qui a brûlé mon esprit pendant de longues semaines.
Je suis sorti de la chambre et je me suis réfugié dans les toilettes, j’ai baissé mon short et mon slip et je me suis caressé maladroitement pris par cette excitation que je ne connaissais pas mais que je devinais à jamais irrépressible …
Bien sûr, depuis j’ai eu le temps de repenser à tout ça, d’analyser et petit à petit j’ai compris que je n’étais pas comme les autres garçons, que j’éprouvais quelque chose qui me mettait à part d’eux, quelque chose qui concernait les garçons et non pas les filles…
Oh, comme j’ai pu pleurer sur cette infortune, cette marque du destin et j’ai souffert de ne pas être normal comme je me le disais à l’époque !
Je n’ai rien dit à personne. A qui aurai-je pu en parler ?
Pas à mes parents ! Encore moins à ma sœur ou à mon frère qui était encore presque un bébé à l’époque alors il ne me restait que les copains mais à treize ou quatorze ans, ce n’est pas facile d’aborder un tel sujet avec un copain …
Alors, je n’ai rien dit, j’ai gardé ça pour moi avec le secret espoir que peut-être que ça changerait même si je sentais que ce désir était profondément inscrit en moi et que rien ni personne ne pouvait y faire quelque chose.
J’ai découvert la masturbation peu après mes quatorze ans et je me suis un peu enfermé dans ce plaisir solitaire qui satisfait à peu de prix mes désirs sexuels d’adolescent ; pendant deux ans, jusqu’à l’année dernière, ça m’a suffit ou en tous les cas je m’en contentais…
Après tout, c’est de mon âge et je sais que tous les garçons le font et moi, si je me branle en pensant à d’autres garçons, il n’y que moi que ça regarde !
Voilà les pensées qui m’accompagnent alors que je rentre chez moi et que je repense au spectacle que mes camarades viennent de m’offrir en toute innocence dans le vestiaire.
Je suis à la fois excité par la vue de ces corps à demi dénudés, de ces bosses si complaisamment offertes à mes yeux avides, mises en valeur plus que cachées par les boxers impudiques de mes copains … excité et sale ne même temps …
J’ai l’impression de profiter de leur innocence, de les tromper, de les trahir !
Je ne fais rien pour cela mais juste le fait de les regarder avec ces pensées, suffit à déclencher en moi de tels émois et je sais que ce n’est pas loyal …
‘Mais qu’est-ce que je peux y faire ! Je vais quand même pas arrêter de faire du sport !’
Non ! Je sais que puisque la nature m’a fait ainsi, je ne peux rien y faire alors puisqu’il faut que je m’accepte, je dois essayer de vivre comme je suis, y compris avec mes faiblesses …
Aujourd’hui, on est jeudi, déjà deux semaines de passées, et je finis à trois heures, c’est le jour que je préfère !
Certes, la matinée est bien chargée avec deux heures de SVT et deux heures de physique mais après, juste une petite heure de français et c’est fini !
A propos de français, on va avoir une exposé à faire, sur le livre qu’on étudiera au mois de décembre : Au Bonheur des Dames de Zola. Ca ne m’enchante pas mais tout le monde y passera alors, ça ne sert à rien de se lamenter et puis si le je le fais avec Julia, ça devrait être plutôt sympa.
Je décide de me mettre tout de suite au travail comme ça je pourrai aller à l’entraînement de ping l’esprit libre. Ca va, je n’ai pas trop de boulot, juste les inévitables deux ou trois exercices de math et un peu d’anglais et d’allemand.
Je suis content parce que pour l’instant j’assure bien et on peut dire que mon début d’année est très correct. C’est vrai qu’on n’a pas eu encore beaucoup de contrôles mais j’ai eu trois notes, 13, 14 et 17 !
‘Faut pas que je me plaigne ! Si ça pouvait durer …’
Il faut dire que l’année dernière, en fin d’année, j’ai complètement décroché au troisième trimestre à cause de tous mes problèmes et que j’ai failli ne pas passer …
…
Ca y est, j’ai fini. Il faudra que je relise mon anglais ce soir avant de me coucher mais le plus gros est fait !
Je me lève de mon bureau et je me change pour aller au ping.
…
Je viens de faire une super séance et mon entraîneur, Philippe, m’a félicité. Il m’a proposé de venir à une séance supplémentaire, le mardi soir avec les adultes du groupe régional et ça m’a fait super plaisir.
-« Tu sais Nils, avec un peu de volume en plus tu peux vite avancer parce que maintenant tu as le bagage technique alors ce qu’il te faut c’est du jeu, de la relance d’un niveau supérieur pour t‘obliger à une concentration plus constante et puis surtout que tu prennes de l’expérience face à des joueurs de bon niveau.
-« Ouai, c’est sûr … j’espère que mes parents voudront bien mais comme pour l’instant ça va bien à l’école …
-« Alors je compte sur toi et si ça se passe bien, c’est deux ou trois classements de plus à la fin de l’année ! »
Je souris de contentement à cette affirmation.
‘Deux ou trois classements de plus ! Ce serait génial, avec ça je pourrai sûrement jouer dans l’équipe 2 du club …’
Je le remercie pour tout ce qu’il vient de me dire et je vais au vestiaire me changer. Les autres gars de mon groupe sont déjà là et ils me demandent un peu envieux ce que m’a dit Philippe.
Tout en discutant, je les regarde discrètement ; il y en a un qui m’impressionne et j’ai toujours le regard attiré par lui et quand il se change, ça me fait tout drôle …
Il se ballade en boxer devant tout le monde, pas du tout gêné et certainement un peu fier de son physique si avantageux ! Je sais que je dois faire attention alors je regarde ailleurs mais irrésistiblement je lance de brefs coups d’oeils vers ses fesses, son dos musclé et aussi sur la bosse proéminente située entre ses jambes …
‘Arrête Nils ! Arrête !’
Je me détourne pour enlever mon short et me baisse pour récupérer mon tee-shirt qui est tombé et j’entrevois soudain fugitivement un bout de chair dans l’entrebâillement du caleçon de Samuel, mon équipier qui est assis sur le banc, les jambes grandes ouvertes.
‘C’est sa bitte !’
Je sens une excitation monter et le rouge gagner mes joues. Je me rhabille en toute hâte et prétexte du travail d’école pour pouvoir filer rapidement.
-« Salut les gars, à dimanche !
-« Ouai, salut Nils ! »
…
Eh oui, je suis homosexuel ! Enfin, je préfère dire gay !
Je le sais depuis deux ans de façon certaine et plus ou moins consciemment depuis que j’ai douze ans.
J’ai eu cette révélation terrible un jour où je jouais avec mes cousins et que je me suis mis à bander quand Eric, mon cousin de mon âge, s’est changé devant moi parce qu’on l’avait fait tomber tout habillé dans la piscine. Je me suis mis à bander quand il s’est mis nu devant moi et j’étais incapable de détacher mon regard de son corps, de ses fesses et surtout de son sexe ! Il venait juste de commencer sa puberté, comme moi à l’époque. Les quelques poils qui ornaient son pubis et formaient un écrin autour de sa verge au repos, le balancement de ses testicules dans leur sac étaient comme un spectacle magnifique dont mes yeux refusaient de se détacher et qui a brûlé mon esprit pendant de longues semaines.
Je suis sorti de la chambre et je me suis réfugié dans les toilettes, j’ai baissé mon short et mon slip et je me suis caressé maladroitement pris par cette excitation que je ne connaissais pas mais que je devinais à jamais irrépressible …
Bien sûr, depuis j’ai eu le temps de repenser à tout ça, d’analyser et petit à petit j’ai compris que je n’étais pas comme les autres garçons, que j’éprouvais quelque chose qui me mettait à part d’eux, quelque chose qui concernait les garçons et non pas les filles…
Oh, comme j’ai pu pleurer sur cette infortune, cette marque du destin et j’ai souffert de ne pas être normal comme je me le disais à l’époque !
Je n’ai rien dit à personne. A qui aurai-je pu en parler ?
Pas à mes parents ! Encore moins à ma sœur ou à mon frère qui était encore presque un bébé à l’époque alors il ne me restait que les copains mais à treize ou quatorze ans, ce n’est pas facile d’aborder un tel sujet avec un copain …
Alors, je n’ai rien dit, j’ai gardé ça pour moi avec le secret espoir que peut-être que ça changerait même si je sentais que ce désir était profondément inscrit en moi et que rien ni personne ne pouvait y faire quelque chose.
J’ai découvert la masturbation peu après mes quatorze ans et je me suis un peu enfermé dans ce plaisir solitaire qui satisfait à peu de prix mes désirs sexuels d’adolescent ; pendant deux ans, jusqu’à l’année dernière, ça m’a suffit ou en tous les cas je m’en contentais…
Après tout, c’est de mon âge et je sais que tous les garçons le font et moi, si je me branle en pensant à d’autres garçons, il n’y que moi que ça regarde !
Voilà les pensées qui m’accompagnent alors que je rentre chez moi et que je repense au spectacle que mes camarades viennent de m’offrir en toute innocence dans le vestiaire.
Je suis à la fois excité par la vue de ces corps à demi dénudés, de ces bosses si complaisamment offertes à mes yeux avides, mises en valeur plus que cachées par les boxers impudiques de mes copains … excité et sale ne même temps …
J’ai l’impression de profiter de leur innocence, de les tromper, de les trahir !
Je ne fais rien pour cela mais juste le fait de les regarder avec ces pensées, suffit à déclencher en moi de tels émois et je sais que ce n’est pas loyal …
‘Mais qu’est-ce que je peux y faire ! Je vais quand même pas arrêter de faire du sport !’
Non ! Je sais que puisque la nature m’a fait ainsi, je ne peux rien y faire alors puisqu’il faut que je m’accepte, je dois essayer de vivre comme je suis, y compris avec mes faiblesses …
Vous devez être connecté pour poster un commentaire