<h1>Noelfic</h1>

Mon_RDV_avec_cette_fille_tourne_mal


Par : Pseudo supprimé

Genre : Inconnu

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 2

Le Cinéma

Publié le 19/08/13 à 01:14:22 par Pseudo supprimé

Mercredi, 14h. Lieu : Maison

La matinée s'est bien passée. Je n'ai pas arrêté de contempler Sophia, assise au deuxième rang. Je suis au dernier, et la plupart du temps je m'amuse à regarder l'homme à tout faire du lycée tondre la pelouse ou essayer de faire chier les élèves.
Mais là, il y avait cette après midi qui comptait plus que tout. Sophia et moi, au ciné, rien qu'à deux, dans le noir.
Mon sexe remue, je le remets vite en place en lui mettant quelques claques discrètes. Bizarrement ça m'excite encore plus.

Bref. Il est 14h, et j'ai RDV à 16h30 avec au Sophia au cinéma de la ville. Ce qui me laisse 2h30 pour me préparer.
Je décide de ne pas jouer à la console à cause de certaines expériences qui me rappellent de mauvais souvenirs, comme la fois où ma mère est partie au supermarché acheter des ingrédients, et qu'elle m'a demandé de surveiller les pâtes qui étaient en train de chauffer.
Je me rappelle avoir acquiescé sans vraiment avoir écouté ce qu'elle me disait, mais quand mes narines sentirent une odeur de brûlé, je compris mon erreur. J'arrivais à temps dans la cuisine pour voir le faitout prendre feu de je ne sais quelle manière pendant que l'eau qui avait débordé venait se répandre sur le sol et cramer le balatum.
Je réussis à maîtriser e début d'incendie en prenant le gilet de ma mère et en fouettant le faitout tel un sadomasochiste.

Je revois encore ma mère crier au moment où elle entre dans la cuisine, pendant que je repartais dans le salon continuer ma partie en lui rétorquant "C'est pas faute si t'achètes du mauvais matériel. Ton faitout made in China, ben t'as bien vu que c'était de la merde. Alors si tu veux aller te plaindre, c'est pas à moi qu'il faut le faire ! Si tu veux je te sors le numéro de l'ambassade française en Chine, mais pour l'instant j'ai la pomme d'Eden à récupérer moi ! Désolé de ne pas porter autant d'importance à un sachet de spaghettis que toi, mais même Ezio, qui est Italien, te répondrait que la pomme est plus importante !
Ignorante."

Pour éviter tout désagrément, j'évite donc la console, et je file me laver et m'habiller.
Une heure plus tard, sur mon 31 baba cool, je me pose devant l'ordi et je commence à mater des sites spécialisés dans le tantrisme et ce genre de conneries.
Ma soif de savoir assouvie, je pars au point de RDV, confiant et prêt à assouvir ses fantasmes.

16h15, je suis devant le ciné. J'observe les personnes présentes et cherche Sophia mais je ne la trouve pas.
Ayé, elle m'a posé un lapin cette pute. Ah non, elle est là.
Je la vois descendre d'une 206 bleue, mais je n'ai pas le temps de voir qui la conduit. Faudra que je pense à remater Columbo pour développer un oeil de lynx.
Sophia descend de la voiture, et mon coeur fait boum. (C'est nul je sais, mais c'est ce qui s'est passé)
Elle s'était changée elle aussi pour l'occaz, et exhibait fièrement son corps dans sa robe rouge à fleurs bleues et jaunes.
Mama ! Je m'imaginais déjà soulever sa robe pendant qu'elle commanderait les places...
Je n'avais pas eu le sexe aussi dur depuis l'époque où ma maîtresse de maternelle s'amusait à me titiller le prépuce...

Sophia arrive, je reste cool. "Pense Ali G" me répète-je.
On s'embrasse tendrement comme des porcs, et on file au guichet.
Devant nous il n'y a que quatre personnes, deux couples.
Je discute avec Sophia de tout et de rien, mais secrètement je cherche à savoir qui l'a conduite. J'adopte alors une attitude rusée que j'ai acquise à force de jouer à Splinter Cell, et je lui demande :
"Tu repars comment ce soir ? On passe te prendre comme à l'aller ?
- Oui, ma mère revient me chercher alors on ne pourra rester tard après le film, désolée..." me répondit-elle. Elle faisait une tête triste et gênée, ça la rendait encore plus désirable.
peut importe, j'avais obtenu la réponse à ma question, et ce, sans utiliser le couteau.

Le premier couple s'en va, content d'avoir acheté ses tickets. Encore un et c'est à nous.

"Alo, bous boulez boire quel film ?"

Ca, c'était le congolais qui s'occupait de la caisse. Son accent était merdique, mais c'était bien le seul qui travaillait vraiment.
Il paraîtrait qu'il n'a pas de papiers et que chaque dernier dimanche du mois, le big boss du ciné lui passe un film sur le Congo pour qu'il n'oublie pas ce qui l'attend s'il ne fait pas son travail comme il faut.
Mais ce ne sont que des rumeurs.

Le couple devant nous a du mal à choisir, sûrement parce que la fille est conne comme un manche à balai :

"Ben euh... Y a Tokyo Park là, avec les chinois, j'adore !! cria la fille. Mais euh, je sais pas trop kouaaa, c'est chaud de choisir, lololol !!"

On était tombés sur une kikoo jap et sur un kévin qui se prenait pour un wesh.


"Ben vas y wesh choisis, moi j'veux voir Expendables 2 ! Avec Stallone, ce bâtard il est trop fort wallah !" beugla le kéké en survet jaune poussin.

"Oh non, pas expindible là, le truc avec Rocky là ! dit-elle en postillonnant sur son mec et sur le congolais.
- Vas y ta gueule, tu casses les couilles tes chintoks, à chaque fois que tu manges des nems t'as la chiasse alors parle pas wesh ! Hey monsieur le caisser, 2 places pour Expendables 2 ! Avec Stallone ce bâtard !
- Non ! Je veux voir Tokyo Park ! cria la fille !
- Hey vas t'sais quoi, je vais pas passer par quatre routes, tu prends ton ticket pour tes chinois, et moi je vais voir Expendables 2 ! Avec Stallone ce bâtard ! Et on se rejoint à la fin du film okay ma biche ? dit-il, en essayant de faire un regard de crooneur à sa copine qui lui demanda :
- T'as un problème à l'oeil bébé ? T'as pris tes gouttes ?
- Hey vas y me fous pas la honte devant les gens wesh, atchoum wesh !"

Au bout d'un quart d'heure, le couple de guignols prit enfin sa décision : ils iraient voir Expendables 2. Avec Stallone ce... Pardon.

Ce fut notre tour, et le Congolais répéta sa demande fétiche :

"Alo, bous boulez boire quel film ?
-Expendables 2", répondit Sophia. Sa voix était si douce, et Sophia était si belle. Je crois que je suis amour... hey mais qu'est-ce qu'il fait ce bâtard de Congolais de merde ?!
L'enculé s'amuse à reluquer les nichons de Sophia.
Ni une ni deux, je la prends et la tourne vers moi, et balance un regard de tueur au guichetier qui me répond "Ca fewa 11,70." avec un grand sourire.
Pas le moment de s'énerver, je paie tel un gentleman du ghetto, et j'arrache les tickets des mains de ce Congolais.
Nous partons en direction de la salle 1, quand Sophia s'arrête et me lance "Hey ! Moi je veux des Pop Corn ! Tu viens ? Je t'invite !" avec un sourire de fou.

J'ai compris que cette fille n'était pas matérialiste, et ma paranoïa s'estompa pour s'effacer presque totalement.

Sophia acheta le plus gros pot de pop corn et deux Coca, et nous partîmes en direction de la salle 1.
Il y avait pas mal de monde quand nous pénétrâmes à l'intérieur, et on entendait au lieu le couple de jeunes kékés se disputer pour des Skittles.
Je demandais à Sophia où elle voulait qu'on s'assoit, et elle me répondit qu'elle hésitait entre les places du milieu et celles aux extrêmes car ces dernières permettent de lever les accoudoirs. Pour se faire des câlins. Entre autres...
Cette cochonne me plaisait et un sourire pervers s'afficha sur ma gueule de con.
Heureusement qu'il faisait presque noir.

Nous partons donc nous asseoir tout à gauche du ciné, et je manque de me casser la gueule plusieurs fois. Sophia est devant, elle ne voit rien, et j'étouffe le bruit de mes chancèlements comme je peux. Je suis toujours en position de mâle Alpha.

Nous finissons par arriver à destination des sièges. Dégueulasses, troués et collants, ces sièges sont là depuis la création du cinéma.
Ces fils de pute nous font payer presque 6e la place et ils sont pas foutus de nous offrir du meilleur matos ! Capitalisme de merde !
Je calme mon côté Mélenchon et m'assieds à côté de la belle Sophia qui prend des pop corns et les introduit délicatement dans sa bouche, hum, un par un, hum et...
"Pardon !"

Putain mais qu'est-ce qu'il veut ce trou du cul ?!
Y a de la place partout et faut que ce gus vienne s'asseoir près de nous. Mais je riposte habilement en lui disant que nous attendons des amis.
Il repart d'où il vient, dépité, tel un sans amis.
Je lance alors un "Rémy !" mais il ne se retourne pas.
Il n'est pas complétement perdu.

Sophia se met à l'aise et enlève ses talons et je sens ses petits petons caresser ma jambe. Je la regarde, elle me regarde en mordillant sa lèvre inférieure genre "J'ai très envie de te sucer la bite, est-ce réciproque ?"
Je réponds "Oui"
Elle me regarde, étonnée.

"Quoi oui ? me demande-t-elle
- Oui, tu es très belle"

Oooouhhh cette phrase de lover !
Elle est attendrie et m'embrasse goulument ! Ecouter Ne-Yo n'aura pas servi à rien finalement.
Mais le baiser est interrompu par le début du film.

Le film commence. A chier.
Sophia se marre, c'est le principal. Je passe mon bras derrière sa tête, elle se pose contre moi.
J'ai l'impression qu'on sort ensemble depuis des mois, c'est si... naturel.
J'ai une drôle d'impression, comme si ce qui arrivait me faisait peur.
Auras-je peur du bonheur ?
Impossible de réfléchir avec ces connards qui tirent dans tous les sens. Ce film c'est vraiment de la daube.
Et puis j'aperçois Chuck Norris à l'écran, et mon coeur s'emballe.
Ah ce bon vieux Chuck...
Et comme par hasard, c'est à ce moment précis du film, au seul moment qui valait le coup d'être regardé, que Sophia décida de m'embrasser.
Elle avançait ses lèvres vers moi, je pouvais encore fuir.
Qui choisir ? Chuck ? Ou Sophia ?
Chuck... Sophia... Mon coeur balance, l'échéance approche, le temps de réflexion arrive à son terme...
Désolé Ranger Walker, aujourd'hui, mon badge reste au vestiaire... (Mais j'ai gardé mon magnum dans mon slip)

J'embrasse Sophia, et, alors que Stallone défonce la gueule à des types avec une sulfateuse en criant "aAAARRRGHHH !!!", Sophia passe sa main sous mon T-Shirt et caresse mon corps chétif mais musclé.
Sauf que le cri de Stallone m'a fait pensé au moment où il crie "Adrienne !!" dans Rocky et je commence à sentir ma lèvre supérieure trembler... Si je ne fais rien, je vais éclater de rire.
Sophia descend sa main vers mon entre jambe.

"Ne rigole pas, me répète-je intérieurement, ne rigole pas"

Mais rien à faire, ma lèvre tremble de plus en plus et cette cochonne commence à me déboutonner !
Vite, il faut que je pense à un truc glauque, vraiment pas drôle !
Ma prof de math ! Trop habitué...
Un bébé congelé ! Oh non j'ai encore plus envie de rire, j'imagine le mec qui s'y attend pas et qui veut sortir des steaks du congélo...
Oh putain je vais lâcher... Moi en train de baiser ma mère !

...
...
...

Je sentis mon sexe rentrer à l'intérieur de moi, comme pour se cacher et ne plus jamais pointer le bout de son gland...

Problème, Sophia approche sa main de mon caleçon.
Vite, il faut que je pense à une meuf super bonne !
Clara Morgane ! trop habitué...
Eva Longoria ! Pas sur que ce soit elle sur la sextape...
Une threesome avec une asiatique qui lèche la chatte pleine de mon sperme d'une black !
Creampie, creampie, creampie !

....

Le psychologue n'a rien trouvé d'anormal suite au divorce de mes parents donc je vous prierai de garder vos remarques désobligeantes pour vous.
Je suis "un garçon normal, comme tous les autres garçons... même si cognitivement parlant, il se rapproche plus de la poule que d'Einstein, vous comprenez Madame ?"


Bref, j'ai réussi à relancer la machine. Mon sexe aussi dur que du granit, et quand je sens une main l'empoigner, je ne peux m'empêcher de penser que je vais la défourailler sur le sol du cinéma, entre les pop corns et les capotes usagés de mes confrères...

"Snake !
- Otacon ?
- What are you doing ?!"

C'est un peu ce que j'ai ressenti quand ma main se faufila à travers la culotte en dentelle de Sophia. C'était un espion. Sa mission : infiltrer la grotte, trouver le colis et repartir en inondant la caverne.
Les renseignements puisés sur un site un peu louche quelques heures me furent bien utiles. J'appris à localiser le point G et à l'exciter comme il le faut.
Mais bon ça c'était la théorie, il fallait que je la mette en pratique maintenant.
Ma main explorait le vagin humide de Sophia et les gémissements de bien-aimée me guidaient dans l'attitude à adopter.
Nous étions tellement chauds que nous avions fini par terre.
Sa robe soulevée et sa culotte enlevée, Sophia baissa mon pantalon et prit mon sexe en main pour l'introduire dans sa bouche.
Et là, que vous croyez ou non, ce fut la pipe la plus intense de ma vie !
Elle la joua façon Tila Tequila, en gobant mon sexe tout entier tel un flamby (j'eus d'ailleurs une pensée pour notre cher président, mais elle fut bien vite balayée par les coups de langue donnés par cette cochonne) et moi j'étais là, allongé par terre, les bras croisés derrière ma tête, peinard.
Quand je snetis que le volcan allait se mettre en éruption, je stoppai Sophia et lui dis de se retourner.
J'aime les minous. J'aime la bouffe raffinée.
Une chatte épilée toute lisse, c'est ce que j'appelle de la bouffe raffinée. Alors je me suis servi, comme si j'étais au Flunch.
J'ai gobé sa chatte tel un flamby, et, non sans une seconde pensée pour Monsieur Hollande, les deux lèvres dans la bouche, j'ai joué de l'harmonica. J'ai tenté de reproduire la Marseillaise pour exprimer mon patriotisme mais ce fut un échec.
Par contre, je savais que Sophia prenait plaisir : elle gémissait et mordait ma queue pour ne pas crier.
J'avais mal, mais bizarrement ça m'excitait aussi beaucoup. C'est comme ça que j'ai su que j'avais un penchant pour le masochisme amis ça c'est une autre histoire.
Noyé sous la cyprine odorante de Sophia, je sentais sa langue jouer avec mon gland. Je n'en avais plus pour longtemps, l'apothéose approchait.
Au moment où le liquide magique commença à remonter le long de ma queue, je sentis un doigt glisser et pénétrer dans le No Man's Land.

NdlR : Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu'est le No Man's Land, c'est cette aire, cet espace situé entre le scrotum et l'anus. Il n'y a rien, et c'est bien comme ça.

Je sentais le doigt s'approcher e plus en plus de mon trou de sortie quand le volcan entra en éruption...

Tel un immense dragon, ma bite cracha son feu et carbonisa le palais de Sophia. Je sentais sa bouche se remplir et déglutir le surplus de sperme qu'elle ne pouvait ingurgiter.
Mais au même moment, mon trou de sortie devint un trou d'entrée.
Un doigt fendit l'air pour s'insérer dans mon trou de balle et je hurlai de douleur, au moment le plus calme du film.
Coïncidence ? Je ne crois pas.
Tous les yeux se braquèrent sur deux obsédés affalés par terre, chacun en train de bouffer le sexe de l'autre.
Je dégageai Sophia d'un violent revers de bras, et me rhabillai rapidement en frottant mon anus encore choqué par ce viol si imprévisible.

Après avoir avalé toute ma progéniture qui finirait dans son intestin, Sophia me demanda, étonnée :

"Mais, qu'est-ce qu'il se passe ?
- Qu'est-ce qu'il se passe ? chuchotais-je énervé. Tu te fous de ma gueule ? T'as essayé, nan, t'as réussi ! Putain mais tu m'as mis un..."

Coup d'oeil furtif autour de moi pour voir si l'on nous regardait. Ils étaient tous revenus à fond dans le film, comme si de rien n'était.

"Tu m'as mis un doigt dans le cul ! Putain, mais t'es sérieuse là?!
- Ben je sais pas, je pensais que t'étais un mec ouvert.
- Ouais ben là tu l'as pris au sens propre. Putain tu m'as niqué le cul. Je me casse moi."

Et je descendis les marches du ciné pour me diriger vers la sortie.
Sophia gémissait "Attends ! Reste ! Je suis désolée ! Reviens..."

Je fis demi-tour, revins à ma place et me baissai.
Je pris le pot de pop corn et redescendis les marches.

Sophia ne bougea pas. Elle resta là, béate, me regardant m'éloigner.



Pendant que je marchais vers la sortie et que mon anus criait à l'aide, je me demandais si je devais me retourner et lui lancer un regard genre "Tu m'as profondément déçu."
Et c'est vrai qu'elle y était allée profondément cette connasse.
Je décidai de ne même pas la regarder, pour continuer sur l'effet du mec énervé.
J'ouvris la porte de secours, et sortis.
Quand je claquai la porte, je pus entendre une explosion qui se produisait dans le film.

Je souris bêtement en me disant que ma sortie était cool, surtout pour un mec qui venait de se prendre un doigt dans le cul.

Je marchai vers ma voiture avec la musique d'intro des Experts Miami dans la tête.
Une fois dans la voiture, je mis le contact, la radio, et alors que je sortais du parking, une chanson débuta.

"I can feel it coming in the air tonight, oh Lord..."

Oh putain non ! Pas ça !
J'éteignis la radio et fuis le parking en vitesse.
Le trajet qui me ramenait à la maison était calme. Trop calme.
Je procédai à une introspection suite aux évènements qui venaient de se dérouler.
Avais-je été trop cruel avec cette chienne de Sophia ? Méritait-elle que je la laisse en plan comme ça ?
Alors que les questions fusaient dans ma tête, le pot de pop corn dérobé à cette pouf de Sophia se renversa et je gueulai un "Putain de merde !!" en essayant de le récupérer.

Au moment où mes yeux se reconcentrèrent sur la route, un policier me fit signe de m'arrêter sur le côté...
Et merde.

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