Clignancourt_:_Epopee_des_Faubourgs
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 19/08/13 à 01:14:19 par Pseudo supprimé
Livre 1, Chant 1.
L'obscurité règne dans les faubourgs brumeux !
Les gentilshommes s'endorment à petit feu !
Hormis quelques coquins, dans l'idéal
Qui marchandent leurs plantes médicinales !
Et dans ce silence sans extrémités
On discerne le vacarme d'un clavier !
Et le brutalisant, voici Xavier
Qui badine joyeusement sur JVC !
C'est pourtant la cinquième nuit d'affilée
Qu'il lui répugne de céder au sommeil
Pourtant il continue de subsister
Ce passe-temps lui convenant à merveille !
Cette vie ne lui est point terne, rassurez-vous
Notre compagnon Xavier se bidonne beaucoup
De prospecter sans lassitude les topics vides
Et d'y laisser comme civilité un odieux « Bide
».
Si par infortune il est la proie du tracas
Il peut à son gré prendre les traits d'une Demoiselle,
Enfantant un sujet : « Mes chers, je suis nouvelle
»
Qui provoquera un succès presque immédiat !
Hélas la plupart des internautes aguerris
Retorquent « Photographie sinon supercherie.
»
D'une pâleur abjecte, il évite le jour
Urine dans une bassine, ne se lave pas,
dédaigne les autres, crache sur l'amour,
Et se satisfait de vivre comme cela !
Il ne supporte qu'un seul style musical
Vomit sur les mélodies commerciales !
Abhorre ceux qui osent profiter de leur vie
Et laisse les clichés guider son esprit !
Tout à coup, le couloir s'innonde de lumière
Xavier protège ses rétines et vocifère :
« Par tous les dieux ! Ne dormez-vous point, ma mère ?
»
- « Calmez-vous, j'allais simplement aux sanitaires !
Et Que faîtes-vous hors de votre lit, mon enfant ? »
- « Parbleu, Mère ! J'exige m'occuper comme je l'entends ! »
- « Hé Palsambleu, j'exécre vous voir vous abrutir ! »
Puis elle fila, ne pouvant plus se retenir.
Xavier étouffa un juron et devint blême :
« Elle ne va pas me jeter dehors, quand même !
»
L'obscurité règne dans les faubourgs brumeux !
Les gentilshommes s'endorment à petit feu !
Hormis quelques coquins, dans l'idéal
Qui marchandent leurs plantes médicinales !
Et dans ce silence sans extrémités
On discerne le vacarme d'un clavier !
Et le brutalisant, voici Xavier
Qui badine joyeusement sur JVC !
C'est pourtant la cinquième nuit d'affilée
Qu'il lui répugne de céder au sommeil
Pourtant il continue de subsister
Ce passe-temps lui convenant à merveille !
Cette vie ne lui est point terne, rassurez-vous
Notre compagnon Xavier se bidonne beaucoup
De prospecter sans lassitude les topics vides
Et d'y laisser comme civilité un odieux « Bide

Si par infortune il est la proie du tracas
Il peut à son gré prendre les traits d'une Demoiselle,
Enfantant un sujet : « Mes chers, je suis nouvelle

Qui provoquera un succès presque immédiat !
Hélas la plupart des internautes aguerris
Retorquent « Photographie sinon supercherie.

D'une pâleur abjecte, il évite le jour
Urine dans une bassine, ne se lave pas,
dédaigne les autres, crache sur l'amour,
Et se satisfait de vivre comme cela !
Il ne supporte qu'un seul style musical
Vomit sur les mélodies commerciales !
Abhorre ceux qui osent profiter de leur vie
Et laisse les clichés guider son esprit !
Tout à coup, le couloir s'innonde de lumière
Xavier protège ses rétines et vocifère :
« Par tous les dieux ! Ne dormez-vous point, ma mère ?

- « Calmez-vous, j'allais simplement aux sanitaires !
Et Que faîtes-vous hors de votre lit, mon enfant ? »
- « Parbleu, Mère ! J'exige m'occuper comme je l'entends ! »
- « Hé Palsambleu, j'exécre vous voir vous abrutir ! »
Puis elle fila, ne pouvant plus se retenir.
Xavier étouffa un juron et devint blême :
« Elle ne va pas me jeter dehors, quand même !

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