Petite intro vite fait :
Mes parents depuis toujours ont us l’habitude de partir en voyage, pour pouvoir parcourir le monde entier. Mais bon, ça c’était bien avant, mais depuis qu’ils ont un gosse, moi, jeune fille de 17 ans, ils ne sortent jamais de la maison, ils y restent comme des vieillards.
Qu’est ce que je peux vous dire de plus sur moi. Je n’ai pas d’amis, mes journées sont horriblement chiantes et je suis insociable à cause de ma susceptibilité et ma timidité.

C’est enfin les vacances, après 10 mois de cours que ne me serviront à rien plus tard. Je me promener tranquillement dans la rue qui mène à la bibliothèque. J’aime cette endroit surtout le rayon manga, la ou j’aime passer mes journées, c’est bien ici. C’est calme et pratiquement personnes n’y est .

Je m’installe donc dans le fond avec une pile de manga << full metal alchimiste >> , << One piece >> , << fairy taill >>.
Après une vingtaine de livres lut, une dame s’approche de moi, elle me coupa dans une violente bagarre entre les mages de fairy taill. C’était la dame de l’accueil, elle me dit :
- Mademoiselle, veuillez m’excusez mais, je dois fermer ma bibliothèque.
- Déjà ?
- Il est 10h30 passé.
- Comment ?!


Je ne m’étais pas rendu conte de l’heure qui était passé, avec une vitesse inexplicable, je pense qu’il devait y avoir une faille spatiaux temporel qui a du causer cette accélération du temps. Je pris le temps de ranger mes livres à leur place. Avant de partir je remercier la dame de m’avoir prévenu de l’heure et je partie.

Je rentre à la maison par la même rue que je suis passée quelque heure avant. Il faisait nuit, je haï la nuit ! Enfin je suis plutôt du genre froussarde m’voyer ! Donc j’ai peur de la nuit, mais pour me rassurer je ne dis que la nuit c’est simplement pareil que le jour sauf que tout change de couleur.
Je m’arrêtais quelque instant et regardais autour de moi, pour essayer de contrôler ma peur. Le faible vent était assez pour me mettre les frissons dans le dos, il faisait bouger la moindre chose dans la ruelle, les ombres des arbres ce déformé pour laisser apparaitre de monstrueuse ombres, qui formaient des mains et des doigts crochu. Je commençais a paniquer, mon cœur bâter plus fort, je le senti battre dans ma poitrine, la peur m’envahissais, je me mis à trembler, je fermer les yeux en essayer de me calmer, que ce n’était que le vent qui soufflai doucement, mais des aboiements et des grognements, me firent recouvrir les yeux, de panique je me mis à courir pour rentrer plus vite chez moi.
Je suis enfin arrivée chez moi, je rentre sans attendre et fermée la porte à clef. Mes deux parents m’attendaient, ils étaient dans la salle à manger, ils me fixaient. L’expression de leurs visages ne me mirent pas vraiment à l’aise, ils étaient inquiets mais souriaient, étrange ! ça ressembler à une grande discussion familiale ça ! Ma mère me demanda donc de prendre place à la table en me tirant une chaise pour que je puisse m’assoir. Je me préparer à les écouter.
Mon père pris une grande respiratoire et commençais en premier :
- Voilà ta mère et moi, nous voulons te parler de quelque chose d’important.
- Oui ! Hum … Eh, bien, ton père va commencer. N’est-ce pas mon chéri ?
- Quoi ?! Comment ?! Et pourquoi ?! C’étais à toi de lui parler en premier, nous nous sommes mis d’accord il y a quelques heures de cela déjà.
- Oui, bien j’ai changé d’avis, c’est toi l’homme de la maison, c’est donc à toi de dire les décisions nouvelles

Comme toujours ils faut qu’ils se chamaillent. J’en ai marre qu’ils tournent autour du pot sans cesse. Je me lève doucement, pendant qu’ils discutaient fortement l’un contre l’autre. Puis d’un coup sec je tape mais deux pommes de mains fermement contre la table, qui résonna un bruit plus fort que les voix de mes parents. Un silence gagna la pièce, et je dis à mon tour :
- Bon, ça suffi oui ! Vous allez me dire ce qu’il y a de ci important, vous vous entendez, vous avez qu’elle âge pour voir disputer, vous n’avait aucun mérite ! Faites donc vos rôles de parent, affirmaient vous plus !


Je me rassie aussitôt mon monologue terminée, j’étais surprise par moi-même, et mes parents aussi, ils étaient stupéfait par mon acte soudain, ils avaient tout deux la bouche ouverte, je me retenais pour éviter d’en rire.
Mon père décide enfin de prendre la parole :
- Oui désolée Alice.
Oui mon prénom est Alice, pas la peine de dire que je n’ai pas préciser est-ce ci important, bon maintenant vous le savais :noel :
Ma mère : - Oui, moi aussi désolée ! Enfin bref, voilà, ton père et moi, ça fait déjà longtemps que nous attendions ce moment, mais nous n’avions pas su comment il fallait aborder ce sujet avec toi…
Moi : - Bon ! Ok ! Viens-en au but !
Mon père : - Très bien nous allons déménager.
Whoua ! DEMENAGER ! Non, impossible ! Mais parents ce sont enfin décidés à partir. Changer d’endroit ! HO OUI ! J’attendais ce moment avec impatience moi aussi. Je rendis donc une réponse à mes parents qui me regardés angoisser.
Moi : - D’accord.

Mes parents restaient perplexes, comme s’ils ne s’attendaient pas du tout à ce genre de réponse venant de ma part.

Mon père : Tu es d’accord à cette idée. Mais tu ne sera pas triste, tout va te manquer ici.

A part ma bibliothèque, je pense que rien ne me retenais ici, et surtout personne allé me manquer.
Moi :- Ne t’en fait pas pour ça papa ; je rencontrerais d’autre endroit merveilleux, je rencontrerais de nouvelles personnes.