Voilà 5 minute qu'on roulais et on peut enfin apercevoir l'aéroport. Cet endroit me foutais la frousse , j'aime pas vraiment l'avion en fait ( Merci Destination Finale ). Bref nous arrivames à l'aéroport et nous attendions l'avion tranquillement, sauf moi bien entendu.
'' C'est bon ça va aller Seb". Me dit Julie en souriant
-"Je trouve ça plutôt flippant moi.". D'une voix tremblante
Elle me souria pour me rassurer peut être, ou tout simplement parce que jme chiais dessus comme une tarlouze, et qu'elle se foutais bien de ma gueule

L'avion arrivà finalement et le peu de monde présent embarqua avec nous , il y avait un couple de jeune mariés et un autre groupe de mec , une dizaine, qui étaient à moitié sec avant même d'embarquer.

Le voyage se passa finalement bien,tout le monde avait la tête dans le cul car ils s'étaient tous endormis sauf moi parce que je flippais trop.. j'étais enfin soulagé.
Mais voilà, une fois tous sortis Alex me fit remarquer quelque chose d'étrange
" Oh Seb, regarde tout les militaires, qu'est ce qui se passe la? " me dit-il d'une voix endormie.
Pas le temps de répondre, les militaires nous plaquerent à terreviolemment . L'enculer qui m'a plaqué m'a explosé une côte ( quand même pas , mais j'avais très mal )
Alex lui se débattait mais 2 autres militaires vinrent aidé le premier qui semblait avoir du mal à retenir la rage d'Alex.
"LACHEZ MOI BANDE DE CONNARDS" dit-il.
"Du calme du calme nous faisons ça pour votre bien jeune homme" répliqua le militaire
Une fois relevé les soldats nous demandèrent de les suivre
" Quelqu'un pourrait t'il m'expliquer ce qu'est ce merdier? " demanda mon pere
"Désolé monsieur mais ces information sont classées top secrètes.
-TOP SECRETE MON CUL OUAIS" retorqua mon
père visiblement ulcéré par la situation.
Sans réfléchir le militaire pris son arme arme et l'assomma avec sa crosse
" BATARD JVAI VOUS TUER ENFLURE" crias-je
Je reçu le même sort que mon père...

À mon réveil je vis Alex et Julie par terre ils dormaient, bordel l'enflure m'avait pas loupé mais je me demandais toujours ce qu'il voulaient . Je me levait et je realisai enfin ou nous étions
ON ETAIENT ENFERMÉS DANS UNE PUTIN DE CELLULE.

To be continued