OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 46
Les fugitifs
Publié le 19/08/13 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XLV)
-Super, on les a bien eu, t'es un champion Nikolaï !
-...Merci :)
Layla m'embrassa à nouveau sur la joue, roulant à toute vitesse sur la route.
Je ne comprenais même pas ce qui m'avait poussé à la suivre et à trahir mes camarades, peut-être simplement une envie, le besoin de changer d'air avec une personne qui m'appréciait, et que j'appréciais aussi...
Layla était la première personne pour laquelle je ressentais ça
Elle me souriait, cheveux au vents, j'étais fou d'elle
-Dis, on va où ?
-On va vers le sud mon chou, direction España !
-C'est comment l'Espagne ?
-Tu vas voir, c'est fabuleux, tu vas adorer
-J'espère... :)
-Puis de toutes façons, tu seras avec moi, donc ya pas de raisons que ça te déplaise hein...
-Oui...
Nous nous regardions, dans le blanc des yeux, je caressais sa joue. Elle attrapa ma main et l'embrassa. Elle arrêta la voiture approcha son visage du mien et déposa un baiser sur mes lèvres, baiser que je lui rendis, passant mes mains dans son dos, geste qu'elle imita. Nous nous embrassâmes sans nous arrêter pendant 10 minutes, quand elle relâcha son étreinte, disant que la route était encore longue, et qu'il valait mieux ne pas trainer. Nous continuâmes donc à rouler, toute la journée, jusqu'à la nuit tombée empruntant les autoroutes, jusqu'à arriver à.. Dunkerque ?
-Mais chérie, je croyais que Dunkerque était dans le nord de la France.
-Bah oui un peu
-On devait pas aller dans le sud ?
-Sisi, j'ai juste une petite histoire à régler ici, et on partira dès demain soir :)
-D'accord... :)
-Pourquoi tu rigoles, idiot ?
-... Pour rien... :)
Layla, roula jusqu'à une entreprise désaffectée, et gara la voiture à l'intérieur, près du port. Je me penchai, pour l'embrasser, elle en fit autant, nous nous embrassions, quand je posai mes mains sur ses seins, redescendant jusqu'à ses hanches, commença à lui baisser son pantalon, quand elle hurla et me gifla violemment.
-Mais, qu'est ce qui t'arrive, t'es devenu fou ?
-..Je... désolé...
-J'en peux plus là, c'est trop...
Elle sorti le fusil à pompe et me braqua avec.
-...Ch.. Chérie, calme
-NE M'APPELLE PAS COMME CA ! (.
-Mais, je t'aime !
Je n'suis pas ta chérie, j'en ai rien à foutre de toi, tu comprends pas que je jouais le jeu depuis le début, j'm'en fous de toi, regarde toi, t'es un grand tas de graisse hideux et dégueulasse, comment t'as pu croire une seule seconde que moi je pourrais être amoureuse d'un type dans ton genre ? Une merde sans couille qui abandonne ses amis à la première occasion pour tomber das les bras d'une inconnue qu'il connait depuis 10 minutes à peine, j'ai jamais vu ça...
Moi je t'ai jamais aimé, je ne t'aime pas, et je ne t'aimerai jamais, t'as rien à attendre de moi car de toutes façons, tu n'auras jamais rien, jamais. Si je suis venue ici, c'était juste que j'avais des trucs à y faire, je comptais me débarrasser de toi à la frontière en te livrant aux flics, mais j'en ai tellement marre que j'te laisse filer, t'en as d'la chance, ton aptitude à être lourd et casse-couille au possible te sauvent la mise, c'est cool hein ? Mais bon, te fais pas d'idée, les flics te rattraperont et bientôt et t'enverront sans doute rejoindre tes p'tits camarades en prison.
Maintenant descend, j'en ai marre de toi, j'en peux plus de trainer un boulet pareil, tu piges ?! (
-Layla...
-Descends :)
Je descendis donc de la voiture, la regardant s'en aller au loin, disparaître en une trainée de désillusions. J'avais le coeur brisé, détruit, en miettes, en morceaux, réduits à néant, broyé, explosé, éclaté, éparpillé, tous les adjectifs possibles et imaginables. Je constatais à quel point je regrettais mon enfance, à la maison, en sécurité. Même si j'étais tout seul, c'était déjà mieux que là ; j'étais abandonné, dans la rue, en pleine nuit, sans un sou, sans rien. Je trainais sur le quai du port, pensant sérieusement à me jeter à la mer, après tout, c'était peut-être la meilleure solution, vu mon cas...
La Manche s'étendait à perte de vue, calme, agitée de légères vagues. Des dizaines de bateaux était amarrés au quai, des caisses de sel étaient entassées, en attente de chargement, sur un navire qui partait pour l'Angleterre.
Après tout qu'est ce que je risquais ?
C'est pas comme si des gens allaient s'inquiéter pour moi.
Sans hésiter, je m'approchai des caisses, en ouvrai une, et me glissai dedans en la refermant, disparaissant sous une montagne de sel.
Je fus réveillé au petit matin quand la caisse dans laquelle je me trouvais fut cadenassée et transportée sur le bateau. J'attendais à l'intérieur depuis des heures déjà, le bateau partait dans 20 minutes à ce que j'avais entendu, c'était ma chance :)
J'attendais depuis 10 minutes, quand j'entendis du bruit dans la cale (près de moi donc) des bruit de pas, de l'agitation. Je tentai de soulever le couvercle pour voir ce qu'il se passait, impossible ; la caisse avait été cadenassée 10 minutes auparavant.
Les bruits de pas et les voix se rapprochèrent, je sentais qu'il y avait du monde, et que quelqu'un était entrain d'ouvrir ma caisse, c'était trop tard, le couvercle venait de se soulever.
-Alors comme ça, on veut voler la coc du patron ? :
-On a reçu un coup d'fil anonyme hier d'une personne qui disait avoir vu un type dans ton genre plutôt suspect trainer autour des caisses sur le quai
-Suis nous gros sac, tu vas voir comment on punit les gars dans ton genre.
...
La salope, elle m'avait balancé quand même...
Pas de policier, juste des types louches, assez jeunes. Ils me sortirent du bateau, me menottèrent, me bâillonnèrent, m'amenèrent jusqu'à une voiture, me mirent un sac sur la tête, et commencèrent à rouler. Ma destination ? La mort...
Chapitre XLV)
-Super, on les a bien eu, t'es un champion Nikolaï !
-...Merci :)
Layla m'embrassa à nouveau sur la joue, roulant à toute vitesse sur la route.
Je ne comprenais même pas ce qui m'avait poussé à la suivre et à trahir mes camarades, peut-être simplement une envie, le besoin de changer d'air avec une personne qui m'appréciait, et que j'appréciais aussi...
Layla était la première personne pour laquelle je ressentais ça
Elle me souriait, cheveux au vents, j'étais fou d'elle
-Dis, on va où ?
-On va vers le sud mon chou, direction España !
-C'est comment l'Espagne ?
-Tu vas voir, c'est fabuleux, tu vas adorer
-J'espère... :)
-Puis de toutes façons, tu seras avec moi, donc ya pas de raisons que ça te déplaise hein...
-Oui...
Nous nous regardions, dans le blanc des yeux, je caressais sa joue. Elle attrapa ma main et l'embrassa. Elle arrêta la voiture approcha son visage du mien et déposa un baiser sur mes lèvres, baiser que je lui rendis, passant mes mains dans son dos, geste qu'elle imita. Nous nous embrassâmes sans nous arrêter pendant 10 minutes, quand elle relâcha son étreinte, disant que la route était encore longue, et qu'il valait mieux ne pas trainer. Nous continuâmes donc à rouler, toute la journée, jusqu'à la nuit tombée empruntant les autoroutes, jusqu'à arriver à.. Dunkerque ?
-Mais chérie, je croyais que Dunkerque était dans le nord de la France.
-Bah oui un peu
-On devait pas aller dans le sud ?
-Sisi, j'ai juste une petite histoire à régler ici, et on partira dès demain soir :)
-D'accord... :)
-Pourquoi tu rigoles, idiot ?
-... Pour rien... :)
Layla, roula jusqu'à une entreprise désaffectée, et gara la voiture à l'intérieur, près du port. Je me penchai, pour l'embrasser, elle en fit autant, nous nous embrassions, quand je posai mes mains sur ses seins, redescendant jusqu'à ses hanches, commença à lui baisser son pantalon, quand elle hurla et me gifla violemment.
-Mais, qu'est ce qui t'arrive, t'es devenu fou ?
-..Je... désolé...
-J'en peux plus là, c'est trop...
Elle sorti le fusil à pompe et me braqua avec.
-...Ch.. Chérie, calme
-NE M'APPELLE PAS COMME CA ! (.
-Mais, je t'aime !
Je n'suis pas ta chérie, j'en ai rien à foutre de toi, tu comprends pas que je jouais le jeu depuis le début, j'm'en fous de toi, regarde toi, t'es un grand tas de graisse hideux et dégueulasse, comment t'as pu croire une seule seconde que moi je pourrais être amoureuse d'un type dans ton genre ? Une merde sans couille qui abandonne ses amis à la première occasion pour tomber das les bras d'une inconnue qu'il connait depuis 10 minutes à peine, j'ai jamais vu ça...
Moi je t'ai jamais aimé, je ne t'aime pas, et je ne t'aimerai jamais, t'as rien à attendre de moi car de toutes façons, tu n'auras jamais rien, jamais. Si je suis venue ici, c'était juste que j'avais des trucs à y faire, je comptais me débarrasser de toi à la frontière en te livrant aux flics, mais j'en ai tellement marre que j'te laisse filer, t'en as d'la chance, ton aptitude à être lourd et casse-couille au possible te sauvent la mise, c'est cool hein ? Mais bon, te fais pas d'idée, les flics te rattraperont et bientôt et t'enverront sans doute rejoindre tes p'tits camarades en prison.
Maintenant descend, j'en ai marre de toi, j'en peux plus de trainer un boulet pareil, tu piges ?! (
-Layla...
-Descends :)
Je descendis donc de la voiture, la regardant s'en aller au loin, disparaître en une trainée de désillusions. J'avais le coeur brisé, détruit, en miettes, en morceaux, réduits à néant, broyé, explosé, éclaté, éparpillé, tous les adjectifs possibles et imaginables. Je constatais à quel point je regrettais mon enfance, à la maison, en sécurité. Même si j'étais tout seul, c'était déjà mieux que là ; j'étais abandonné, dans la rue, en pleine nuit, sans un sou, sans rien. Je trainais sur le quai du port, pensant sérieusement à me jeter à la mer, après tout, c'était peut-être la meilleure solution, vu mon cas...
La Manche s'étendait à perte de vue, calme, agitée de légères vagues. Des dizaines de bateaux était amarrés au quai, des caisses de sel étaient entassées, en attente de chargement, sur un navire qui partait pour l'Angleterre.
Après tout qu'est ce que je risquais ?
C'est pas comme si des gens allaient s'inquiéter pour moi.
Sans hésiter, je m'approchai des caisses, en ouvrai une, et me glissai dedans en la refermant, disparaissant sous une montagne de sel.
Je fus réveillé au petit matin quand la caisse dans laquelle je me trouvais fut cadenassée et transportée sur le bateau. J'attendais à l'intérieur depuis des heures déjà, le bateau partait dans 20 minutes à ce que j'avais entendu, c'était ma chance :)
J'attendais depuis 10 minutes, quand j'entendis du bruit dans la cale (près de moi donc) des bruit de pas, de l'agitation. Je tentai de soulever le couvercle pour voir ce qu'il se passait, impossible ; la caisse avait été cadenassée 10 minutes auparavant.
Les bruits de pas et les voix se rapprochèrent, je sentais qu'il y avait du monde, et que quelqu'un était entrain d'ouvrir ma caisse, c'était trop tard, le couvercle venait de se soulever.
-Alors comme ça, on veut voler la coc du patron ? :
-On a reçu un coup d'fil anonyme hier d'une personne qui disait avoir vu un type dans ton genre plutôt suspect trainer autour des caisses sur le quai
-Suis nous gros sac, tu vas voir comment on punit les gars dans ton genre.
...
La salope, elle m'avait balancé quand même...
Pas de policier, juste des types louches, assez jeunes. Ils me sortirent du bateau, me menottèrent, me bâillonnèrent, m'amenèrent jusqu'à une voiture, me mirent un sac sur la tête, et commencèrent à rouler. Ma destination ? La mort...
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