Gerard_veut_Z+V_!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 11
Publié le 19/08/13 à 01:12:15 par Pseudo supprimé
Gérard allait déposer son plateau sur le tapis roulant avant d'aller sautiller gaiement dans la cour quand Auguste lui lança : " Eh, moi et mes potes on a pas eu de sauce blanche à cause de toi, tu te prends pour qui dis donc ( "
Auguste est un élève dans la classe de Gérard, il essaie de passer pour un rebelle mais sa moyenne générale et sa passion secrète pour la musique classique le trahit.
Gérard aurait en temps normal réagi calmement, mais cette journée riche en mésaventures diverses l'avaient mis sur les nerfs et il éprouvait un besoin irrésistible de se défouler sur le jeune effronté. Et ceci augmenterait sa popularité, il joindrait donc l'utile à l'agréable
Gérard déclara : " Tu veux de la sauce blanche ? Tu vas en avoir ! " Et en un éclair, il courut vers les présentoirs à nourriture, se saisit d'un saladier de sauce blanche et le versa entièrement sur Auguste qui lâcha un cri semblable à un jeune poulain mentalement instable voyant une splendide jument. Le pauvre garçon était recouvert de la substance, et ses amis semblaient se demander si il fallait rire, aller chercher des serviettes ou lécher les vêtements d'Auguste.
Comme si il s'était agi d'un signal, Mohammed, qui avait vu la scène, cria : " Bataille de sauce blanche ! " et tout le monde dans la cantine s'emballa, allant chercher des saladiers, des bols, des assiettes et les balançant dans la figure des autres. Tout le monde fut recouvert de sauce, de viande épicée et d'eau en moins de cinq minutes et la bataille continuait de plus belle malgré les protestations de Jean-Ahmed le cuistot. Gérard tentait quand à lui d'arroser toutes les filles qu'il voyait, le petit pervers :
La guerre faisait rage avec une intensité remarquable : on aurait dit que la vie de chaque élève ne tenait qu'à un final et qu'il luttait, guidé par l'instinct animal de survie, pour arroser le plus les autres. Ces scènes épiques auraient éveillé la sensibilité de tout peintre, tout photographe, et fait la une frappante de tous les journaux du monde, ces conflits sans merci et voués à l'éternité... Autant dire que quand Gérard sortit, c'était un joyeux capharnaüm
En entrant de nouveau dans la cour, Gérard entendit plusieurs filles dirent : " Wouaw, Gégé, t'as trop de sw4gg " Réjoui en entendant ces paroles, l'intéressé partit en sautillant gaiement.
Ses ennuis n'étaient pas finis, mais il gagnait en popularité !
Mais soudain, il fut brutalement tiré en arrière et plaqué au mur.
Auguste est un élève dans la classe de Gérard, il essaie de passer pour un rebelle mais sa moyenne générale et sa passion secrète pour la musique classique le trahit.
Gérard aurait en temps normal réagi calmement, mais cette journée riche en mésaventures diverses l'avaient mis sur les nerfs et il éprouvait un besoin irrésistible de se défouler sur le jeune effronté. Et ceci augmenterait sa popularité, il joindrait donc l'utile à l'agréable
Gérard déclara : " Tu veux de la sauce blanche ? Tu vas en avoir ! " Et en un éclair, il courut vers les présentoirs à nourriture, se saisit d'un saladier de sauce blanche et le versa entièrement sur Auguste qui lâcha un cri semblable à un jeune poulain mentalement instable voyant une splendide jument. Le pauvre garçon était recouvert de la substance, et ses amis semblaient se demander si il fallait rire, aller chercher des serviettes ou lécher les vêtements d'Auguste.
Comme si il s'était agi d'un signal, Mohammed, qui avait vu la scène, cria : " Bataille de sauce blanche ! " et tout le monde dans la cantine s'emballa, allant chercher des saladiers, des bols, des assiettes et les balançant dans la figure des autres. Tout le monde fut recouvert de sauce, de viande épicée et d'eau en moins de cinq minutes et la bataille continuait de plus belle malgré les protestations de Jean-Ahmed le cuistot. Gérard tentait quand à lui d'arroser toutes les filles qu'il voyait, le petit pervers :
La guerre faisait rage avec une intensité remarquable : on aurait dit que la vie de chaque élève ne tenait qu'à un final et qu'il luttait, guidé par l'instinct animal de survie, pour arroser le plus les autres. Ces scènes épiques auraient éveillé la sensibilité de tout peintre, tout photographe, et fait la une frappante de tous les journaux du monde, ces conflits sans merci et voués à l'éternité... Autant dire que quand Gérard sortit, c'était un joyeux capharnaüm
En entrant de nouveau dans la cour, Gérard entendit plusieurs filles dirent : " Wouaw, Gégé, t'as trop de sw4gg " Réjoui en entendant ces paroles, l'intéressé partit en sautillant gaiement.
Ses ennuis n'étaient pas finis, mais il gagnait en popularité !
Mais soudain, il fut brutalement tiré en arrière et plaqué au mur.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire