“Retour à la vie normal”
24 avril 2014 – 19h00
Chris Miller
Retiré des Marines depuis 2001
Lieu inconnu

-Alors c’est comme ça que cela c’est passé ? Dit un homme cagoulé.
-Oui…mais pourquoi voulez vous savoir ça et qui êtes vous !!??
-Ça tu le sauras prochainement mais vous vous êtes engager dans les Marines en 1976, si oui à quel opérations étiez vous mêlé ?
-Je ne vous direz rien sale enfoiré !!!
-Miller tu l’auras voulu ! Montez le voltage à deux cents volts.
-Non !!!! Disais-je d’un air terrifié.

Il y à 2 semaines, ces salauds ont pris en otage toute ma famille et à tuer mon fils âgé de 13 ans d’une balle dans la tête. Ils ont violé ma femme et moi ils m’ont tabassé à mort, ils étaient été à neuf sur moi, je me souviens en avoir tué un à main nues et un autre ma frapper avec une batte de base-ball. Je m’étais réveillé dans un laboratoire un peu bizarre. Bizarre à cause du fusil Carcano qui était sur l’autre table d’opération, mais pourtant il y avait des chirurgiens qui étaient en train de me soigner. Puis je me suis endormi. Ensuite, je me suis retrouver dans une cabane et placé sur une chaise électrique, mais sans intention de me tuer mais plutôt de me torturer. J’avais et j’ai toujours une vision trouble mais je suis quasi sur de voir encore ce fusil Carcano posé sur la table juste à coté. On dirait que ce fusil m’appelait on aurait dit une sorte de message comme « Bute tout le monde Chris allez ! » Mais malgré mon envie de les butés un par un, je sentais mais dernières forces m'abandonnées et je me disais que ma vie et terminé. Mais quelque chose en moi me disait que la mort n’est pas tout de suite pour moi et une voix dans ma tête me disait de revenir et reprendre possession de mon corps, que du secours va arriver dans un futur proche, oui mais pour cette voix c’est quand le futur proche ? Une semaine ? Un mois ? 1 an ? Je n’en savais rien mais je me repris en main et quand je me réveillai, je senti la décharge électrique monté en moi. La voix de l’homme cagoulé me dit :

-Alors Miller, tu à failli abandonner ta femme ? Tu veux mourir pour y échapper ?
-Salopard ! Jamais je ne lâcherais prise !
-Des paroles, des paroles, mais à quoi bon ? Je répète ma question, étais tu mêlée aux opérations spéciales entre 1977 jusqu’à 1981 ?
-…Va te faire voir espèce de…

Sur le coup, le tortionnaire m’envoie une droite lourde dans ma tronche. Il savait tout de moi, mon nom, mon adresse, ma famille, et pire encore. Je n’allais pas cracher le morceau aussi facilement. Mais sur l’une de ces paroles, j’avais l’impression qu’il savait à quoi je pensais : mourir.
Pour un homme de 50-60 ans, la mort ne signifie rien ou alors c’est plutôt comme loin dans le genre de 85 ans. Alors que moi j’ai l’impression qu’elle arrive à cent à l’heure droit dans ma gueule. J’ai très peur, rester en vie et étaler mon existence au ravisseur ? Ou mourir en bon soldat sans l’espoir de voir une nouvelle fois ma femme ? Je crois…que je vais tenter de temporiser au mieux mais si je temporise trop peut-être qu’ils n’hésiteront pas.

-Miller, sais-tu que tu es un brave soldat ? Tu me connais pas tellement bien et tu ne ma vu qu’une fois mais si j’enlève cette cagoule tu me reconnaîtras et je n’aurais pas d’autre choix de te tuer sans attendre…Moi aussi j’ai des enfants, une femme et j’ai failli tout perdre en un clin d’œil. Donc s’il te plait, tu va me dire toutes les opérations militaires secrètes que tu à fait dans ta carrière et je t’épargne.
-D’accord, j’accepte le marché mais une fois découvert sous ton masque, je te tuerais !
-Avec quoi ? Tu me fais rire Miller mais bon…raconte ton histoire.
-D’accord…c'étais au Laos…1978…je bossais pour une unité du S.O.G. et je…

A SUIVRE…