Comment_je_suis_devenu,_ce_que_j_ai_toujours_deteste__
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
le déclenchement
Publié le 19/08/13 à 01:12:01 par Pseudo supprimé
Je m'appele, Cyryl Czeslawa, je suis né a Gdansk, en Poméranie, vous l'avez deviné, je suis polonais. J'ai servi dans le Grupa Reagowania Operacyjno Manewrowego, aussi appelé, GROM, qui signifie "foudre" en Polonais, ou j'étais sergent, j'ai servi sous les ordres du Colonel Polko, en Irak. J'étais spécialisé dans le corps a corps, avec un semi automatique, un pistolet mitrailleur, un couteau, ou avec mes poings, j'étais, l'expert de ma section. Un jour, un de mes supérieurs, m'a donné un ordre que je ne pouvais accepter, j'ai donc décidé, de me retirer de la vie militaire.
Ma femme m'avait plaqué car elle n'acceptais pas que je n'ai plus de boulot. Prenant, mon fils, Artur, avec elle.
Ce jour là, une simple matinée de décembre, il neigeait à Varsovie, je me promenais dans la rue. Une chose allait changer le cours de ma vie. Sans que je ne le sache.
j'ai entendu deux coups de feu, pensant a des pétards, je n'ai pas réagi. Mais en y repensant, c'etait un peu lourd comme détonation, pour un pétard
Un homme sortit d'une ruelle, en courant, une dizaine d'homme de la police a ses trousses. armés de Beryl ( fusil d'assaut polonais pour ceux qui ne savent pas ). Je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête ce jour la. Mais je me suis aussi mis a courir. Vers l'homme, il l'avait remarqué, je suivais ses cheveux longs se déplacer au rythme de sa course, quelques fois il se retournait, pour voir si je suivais toujours, la police courait derrière moi. Il entra dans une ruelle, je le suivis, il courait plus vite que moi, a la sortie de cette ruelle il continua de courir, et au moment ou il tourna la tête vers moi, une voiture de police freina juste devant lui, en pleine trajectoire de sa course. Evidemment, il ne la vit pas et entendit seulement, le crissement des pneus. Il se prit les jambes dans la voiture et passa sur le capot, puis tomba au sol je le suivais et sautait par dessus le capot également, puis le tourna sur le dos, et lui fis une clé de bras. Il fut arrêté, et l'officier de police me dis que c'etait un dangereux terroriste, et que je recevrais surement une lettre m'invitant a me rendre au Palais du Belvédère pour recevoir une médaille. J'étais content de moi, et les gens me regardaient dans la rue, quand je rentrais chez moi.
Ce que je ne savais pas, c'est que, jamais je ne recevrais de médaille. Ma vie, allait changer.
Ma femme m'avait plaqué car elle n'acceptais pas que je n'ai plus de boulot. Prenant, mon fils, Artur, avec elle.
Ce jour là, une simple matinée de décembre, il neigeait à Varsovie, je me promenais dans la rue. Une chose allait changer le cours de ma vie. Sans que je ne le sache.
j'ai entendu deux coups de feu, pensant a des pétards, je n'ai pas réagi. Mais en y repensant, c'etait un peu lourd comme détonation, pour un pétard
Un homme sortit d'une ruelle, en courant, une dizaine d'homme de la police a ses trousses. armés de Beryl ( fusil d'assaut polonais pour ceux qui ne savent pas ). Je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête ce jour la. Mais je me suis aussi mis a courir. Vers l'homme, il l'avait remarqué, je suivais ses cheveux longs se déplacer au rythme de sa course, quelques fois il se retournait, pour voir si je suivais toujours, la police courait derrière moi. Il entra dans une ruelle, je le suivis, il courait plus vite que moi, a la sortie de cette ruelle il continua de courir, et au moment ou il tourna la tête vers moi, une voiture de police freina juste devant lui, en pleine trajectoire de sa course. Evidemment, il ne la vit pas et entendit seulement, le crissement des pneus. Il se prit les jambes dans la voiture et passa sur le capot, puis tomba au sol je le suivais et sautait par dessus le capot également, puis le tourna sur le dos, et lui fis une clé de bras. Il fut arrêté, et l'officier de police me dis que c'etait un dangereux terroriste, et que je recevrais surement une lettre m'invitant a me rendre au Palais du Belvédère pour recevoir une médaille. J'étais content de moi, et les gens me regardaient dans la rue, quand je rentrais chez moi.
Ce que je ne savais pas, c'est que, jamais je ne recevrais de médaille. Ma vie, allait changer.
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