Moi,_ma_main,_et..._mes_boules.
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Désire
Publié le 19/08/13 à 01:11:11 par Pseudo supprimé
J'ai promis d'écrire cette histoire il y a deux jours, lors d'une soirée bien arrosée. Alors.. La voilà :
Voici un réel concentré d'horreur, de dégout à l'état pur. Âmes sensibles s'abstenir. Voilà l'histoire de... Mes boules.
Hier, j'étais là... Sur mon lit, à me caresser délicatement les boules un sourire d'extase au bord des lèvres. Comment en étais-je arrivé là ? Et bien, c'était simple, tout avait commencé quelques minutes plus tôt. Quelques minutes seulement, qui ont suffis à me recouvrir d'une douce sécrétion visqueuse.
Il était 22h à ce moment la, et je n'avais strictement plus rien à faire. J'étais assis devant l'écran du bureau de mon ordinateur. Et je le regardais d'un air absent. J'avais tout vu, envie de rien... Une triste monotonie s'était emparée de mon esprit.
Ainsi, lassé de la vie, je décidais d'aller me coucher. Il était encore tôt certes, mais qu'avais-je à perdre ? Me redressant douloureusement, je me trainais jusqu'à la salle de bain, évitant le fouillis qui encombrait ma chambre, et les quelques piles de vêtements qui se dressaient ça et là, surgissant telles de véritables montagnes au beau milieu de nul part.
Nonchalamment, j'ôtais ma chemise avant de me tourner devant le miroir. On crevait de chaud. 2trangement, ce fut juste à ce moment là qu'un faible courant d'air frais décida de traverser la pièce, filtrant d'une fenêtre à l'autre en soulevant mes cheveux mi-longs. J'humais cette air nouveau en soupirant de contentement. Si je vivais pour une chose c'était bien ces moments là.
Alors que j'en étais à ces pensées, mon regard se porta vers mon reflet. Il était quand même assez beau, et les quelques minutes de musculations journalières commençaient à porter leurs fruits. Souriant, je défaisais ma ceinture. Mon pantalon glissa lentement sur mes jambes, dévoilant un simple caleçon. C'est à ce moment la que tout commença. Oui, car à ce moment précis, le caleçon noir laissa s'échapper un bout de mon pénis tendu. Celui-ci s'ouvrait légèrement, la peau à peine décalotté, laissant tout juste apercevoir la minuscule fente qui siégeait en son centre.
On aurait dit un oeil qui me fixait, qui semblait me demander de le caresser, de le cajoler. Cette étrange idée s'emparait de moi. Et alors qu'il était la, plein d'envie, je décidais de répondre à ses désires.
Je le libérais de se caleçon qui le serrais de trop, l'empêchant presque de respirer. Je voyais bien qu'il étouffait, ses veines ressortaient sur les cotés. Et il était énorme surtout, affreusement énorme. Il fallait que je lui fasse plaisir pour qu'il redevienne normal pas vrai ?
J'étais donc là debout devant la glace, et il se dressait sous mes yeux, comme s'il voulait m'embrasser. Je lui souriait, avant d'aller m'allonger tranquillement sur mon lit. Et c'est à ce moment la que tout à basculé...
Voici un réel concentré d'horreur, de dégout à l'état pur. Âmes sensibles s'abstenir. Voilà l'histoire de... Mes boules.
Hier, j'étais là... Sur mon lit, à me caresser délicatement les boules un sourire d'extase au bord des lèvres. Comment en étais-je arrivé là ? Et bien, c'était simple, tout avait commencé quelques minutes plus tôt. Quelques minutes seulement, qui ont suffis à me recouvrir d'une douce sécrétion visqueuse.
Il était 22h à ce moment la, et je n'avais strictement plus rien à faire. J'étais assis devant l'écran du bureau de mon ordinateur. Et je le regardais d'un air absent. J'avais tout vu, envie de rien... Une triste monotonie s'était emparée de mon esprit.
Ainsi, lassé de la vie, je décidais d'aller me coucher. Il était encore tôt certes, mais qu'avais-je à perdre ? Me redressant douloureusement, je me trainais jusqu'à la salle de bain, évitant le fouillis qui encombrait ma chambre, et les quelques piles de vêtements qui se dressaient ça et là, surgissant telles de véritables montagnes au beau milieu de nul part.
Nonchalamment, j'ôtais ma chemise avant de me tourner devant le miroir. On crevait de chaud. 2trangement, ce fut juste à ce moment là qu'un faible courant d'air frais décida de traverser la pièce, filtrant d'une fenêtre à l'autre en soulevant mes cheveux mi-longs. J'humais cette air nouveau en soupirant de contentement. Si je vivais pour une chose c'était bien ces moments là.
Alors que j'en étais à ces pensées, mon regard se porta vers mon reflet. Il était quand même assez beau, et les quelques minutes de musculations journalières commençaient à porter leurs fruits. Souriant, je défaisais ma ceinture. Mon pantalon glissa lentement sur mes jambes, dévoilant un simple caleçon. C'est à ce moment la que tout commença. Oui, car à ce moment précis, le caleçon noir laissa s'échapper un bout de mon pénis tendu. Celui-ci s'ouvrait légèrement, la peau à peine décalotté, laissant tout juste apercevoir la minuscule fente qui siégeait en son centre.
On aurait dit un oeil qui me fixait, qui semblait me demander de le caresser, de le cajoler. Cette étrange idée s'emparait de moi. Et alors qu'il était la, plein d'envie, je décidais de répondre à ses désires.
Je le libérais de se caleçon qui le serrais de trop, l'empêchant presque de respirer. Je voyais bien qu'il étouffait, ses veines ressortaient sur les cotés. Et il était énorme surtout, affreusement énorme. Il fallait que je lui fasse plaisir pour qu'il redevienne normal pas vrai ?
J'étais donc là debout devant la glace, et il se dressait sous mes yeux, comme s'il voulait m'embrasser. Je lui souriait, avant d'aller m'allonger tranquillement sur mon lit. Et c'est à ce moment la que tout à basculé...
Vous devez être connecté pour poster un commentaire