Arcanes_secretes_d__une_vie_inconnue.
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
La cacahuète guerrière, partie II.
Publié le 19/08/13 à 01:16:26 par Pseudo supprimé
Arcane II
Partie II, ou la salle de torture, l'interrogatoire musclé et le moyen de s'en sortir.
LE LANCEUR DE COUTEAUX N'AVAIT PAS LOUPER SA CIBLE. UN CRI DE DOULEUR SE FIT ENTENDRE DANS TOUT LE BÂTIMENT.
Kiwi se reveillat dans une salle obscure. Elle regardat autour d'elle et parvint à apercevoir son frère, enchainé, comme elle. Ses autres coéquipiés n'étaient pas là. Soudain, l'unique porte de la salle s'ouvrit. Un concombre vêtu d'un grand manteau noir, accompagné d'un autre dont le visage était caché par une cagoule, entrat dans la pièce.
Celui vêtu d'un manteau prit la parole :
- Je m'appelle Hubert, et voici mon acolyte, Omega. Vous êtes ici pour être interrogés. Quand à vos coéquipiés, ils sont morts. Mais j'aimerais d'abord vous présenté Nico.
Une cacahuète s'avançat. Elle avait apperement rejoint le camp adverse.
- T'es une raclure ! Criat Churos, comme un hap.
_ Tais toi, jeune sacripant ! Bien, commençont l'interrogatoire...
Le plus petit concombre- celui qui portait une caguoule - s'avançat, s'approchat d'une commode posée dans un coin de la pièce et en sortit des couteaux, qu'il laissat tombés à ses pieds. Il en prit un, et le lançat juste à côté du visage de Churos. Il dit ensuite : C'est comme ça. Si vous répondez pas, je vous emputes, et je me louperais pas.
Hubert et Nico se mirent dans un coin de la pièce, et laissèrent faire leur collègue.
-Tout d'abord, j'aimerais savoir pourquoi vous nous avez attaqués, commençat Omega.
- C'est vous qui nous avez attaqués !
- Boom ! Un couteau frolat la jambe de Churos.
- C'est moi qui vous est répondu, pas lui ! criat Kiwi.
- Justement, quand vous ne me répondez pas, je lance un couteau non pas sur vous, mais sur votre coéquipier. Comme ça, sa vie est entre vos mains. Vous voulez bien vous sacrifier, mais jamais vous ne laisserez mourir votre camarade ! Comme ça, je suis sur d'avoir une réponde juste...
- De toute façon, on détient des informations, tu nous tueras jamais ! Répondit Kiwi.
- Et hop ! Un couteau pour ton frère !
- Mince... Bon, continue l'interrogatoire.
- Ne soit pas insolente, ou je le transperce. Mais tu as raison, continuons. J'aimerais savoir si vous avez des infos sur votre chef.
- Non...
- Si, on en as plein, je peut toutes vous les donnés. Coupat Churos.
- La ferme ! Ne dit rien !
- Quoi ? Tu veut crever ?
- Pourquoi pas, si ça te permet de vivre !
- Taisez vous ou je vous tranches ! Toi, donne les infos, ou ta soeur y passe !
- Et bien...
- Ne dit rien. Retorquat Kiwi.
- Il le faut.
- Je préfère crever. Un sacrifice, c'est une belle mort.
- Ta soeur est bête, Churos. Dans tout les cas on gagne, je vous interroges juste pour limiter les pertes alliés...
- Libère au moins mon frère. Tus moi si ça te chante, mais libère mon frère.
- Et bien... c'est pas de ta faute, mais j'ai envie de le tuer...
- J'ai dit, libère le !
- Un p'tit couteau !
- Ou pas...
- Ben si, j'ai envie de le tuer, alors je vais le faire, t'es owned sur ce coup là.
- Owned ? C'est du language concombre ?
- Laisse tomber, c'est pas le sujet. Il se baissat, prit un couteau, se relevat et le lançat vers Churos. Le lanceur de couteau n'avait pas loupé sa cible. Un cri de douleur se fit entendre dans tout le bâtiment.
Sur cette note, Churos mourut. Il laissat derrière lui un peuple condamné. Quel que soit leur choix, ce peuple est condamné. Une cacahuète normale ne peut pas sauvé son peuple. Mais une cacahuète dotée du courage de son peuple le peu.
Partie II, ou la salle de torture, l'interrogatoire musclé et le moyen de s'en sortir.
LE LANCEUR DE COUTEAUX N'AVAIT PAS LOUPER SA CIBLE. UN CRI DE DOULEUR SE FIT ENTENDRE DANS TOUT LE BÂTIMENT.
Kiwi se reveillat dans une salle obscure. Elle regardat autour d'elle et parvint à apercevoir son frère, enchainé, comme elle. Ses autres coéquipiés n'étaient pas là. Soudain, l'unique porte de la salle s'ouvrit. Un concombre vêtu d'un grand manteau noir, accompagné d'un autre dont le visage était caché par une cagoule, entrat dans la pièce.
Celui vêtu d'un manteau prit la parole :
- Je m'appelle Hubert, et voici mon acolyte, Omega. Vous êtes ici pour être interrogés. Quand à vos coéquipiés, ils sont morts. Mais j'aimerais d'abord vous présenté Nico.
Une cacahuète s'avançat. Elle avait apperement rejoint le camp adverse.
- T'es une raclure ! Criat Churos, comme un hap.
_ Tais toi, jeune sacripant ! Bien, commençont l'interrogatoire...
Le plus petit concombre- celui qui portait une caguoule - s'avançat, s'approchat d'une commode posée dans un coin de la pièce et en sortit des couteaux, qu'il laissat tombés à ses pieds. Il en prit un, et le lançat juste à côté du visage de Churos. Il dit ensuite : C'est comme ça. Si vous répondez pas, je vous emputes, et je me louperais pas.
Hubert et Nico se mirent dans un coin de la pièce, et laissèrent faire leur collègue.
-Tout d'abord, j'aimerais savoir pourquoi vous nous avez attaqués, commençat Omega.
- C'est vous qui nous avez attaqués !
- Boom ! Un couteau frolat la jambe de Churos.
- C'est moi qui vous est répondu, pas lui ! criat Kiwi.
- Justement, quand vous ne me répondez pas, je lance un couteau non pas sur vous, mais sur votre coéquipier. Comme ça, sa vie est entre vos mains. Vous voulez bien vous sacrifier, mais jamais vous ne laisserez mourir votre camarade ! Comme ça, je suis sur d'avoir une réponde juste...
- De toute façon, on détient des informations, tu nous tueras jamais ! Répondit Kiwi.
- Et hop ! Un couteau pour ton frère !
- Mince... Bon, continue l'interrogatoire.
- Ne soit pas insolente, ou je le transperce. Mais tu as raison, continuons. J'aimerais savoir si vous avez des infos sur votre chef.
- Non...
- Si, on en as plein, je peut toutes vous les donnés. Coupat Churos.
- La ferme ! Ne dit rien !
- Quoi ? Tu veut crever ?
- Pourquoi pas, si ça te permet de vivre !
- Taisez vous ou je vous tranches ! Toi, donne les infos, ou ta soeur y passe !
- Et bien...
- Ne dit rien. Retorquat Kiwi.
- Il le faut.
- Je préfère crever. Un sacrifice, c'est une belle mort.
- Ta soeur est bête, Churos. Dans tout les cas on gagne, je vous interroges juste pour limiter les pertes alliés...
- Libère au moins mon frère. Tus moi si ça te chante, mais libère mon frère.
- Et bien... c'est pas de ta faute, mais j'ai envie de le tuer...
- J'ai dit, libère le !
- Un p'tit couteau !
- Ou pas...
- Ben si, j'ai envie de le tuer, alors je vais le faire, t'es owned sur ce coup là.
- Owned ? C'est du language concombre ?
- Laisse tomber, c'est pas le sujet. Il se baissat, prit un couteau, se relevat et le lançat vers Churos. Le lanceur de couteau n'avait pas loupé sa cible. Un cri de douleur se fit entendre dans tout le bâtiment.
Sur cette note, Churos mourut. Il laissat derrière lui un peuple condamné. Quel que soit leur choix, ce peuple est condamné. Une cacahuète normale ne peut pas sauvé son peuple. Mais une cacahuète dotée du courage de son peuple le peu.
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