Note de la fic : Non notée

Maxarus_se_met_a_la_Bd_!!!_


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : Olol c tro bien


Publié le 19/08/2013 à 01:10:32 par Pseudo supprimé

Fake :( !


Je vais plutôt vous parlez de quelque chose de plus intéressant qu'un vulgaire bout de papier ou sont divisés plusieurs cases avec ou sans couleurs et à intrret comique :( !


Je vais donc vous faire un petit résumé sur l'auteur Russe Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski ...

Fiodor est un écrivain russe né à Moscou le 30 octobre du calendrier julien/11 novembre 1821 et mort à Saint-Pétersbourg le 28 janvier du calendrier julien/9 février 1881. Il est généralement considéré comme l'un des plus grands romanciers russes, et a influencé de nombreux écrivains et philosophes.

Après une enfance difficile, il fréquente une école d'officiers et se lie avec les mouvements progressistes russes. Arrêté pour cette raison en 1849, il est déporté dans un bagne de Sibérie pendant quatre ans. Redevenu sous-lieutenant, il démissionne de l'armée en 1860 et s'engage vraiment dans l'écriture. Épileptique, joueur couvert de dettes et d'un caractère sombre, Dostoïevski mène d'abord une vie d'errance en Europe avant d'être reconnu à son retour en Russie en 1871 après la publication de Crime et Châtiment (1866) et de L'Idiot (1868) qui ouvrent la période de la maturité où l'auteur écrit ses œuvres les plus abouties : L'Éternel Mari (1870), Les Démons (1871) et Les Frères Karamazov (1880).

Ses romans sont parfois qualifiés de « métaphysiques » tant la question angoissée du libre arbitre et de l'existence de Dieu est au cœur de la réflexion de Dostoïevski tout comme la figure du Christ. Cependant ses œuvres ne sont pas des « romans à thèse », mais des romans où s'opposent de façon dialectique des points de vue différents avec des personnages qui se construisent eux-mêmes, au travers de leurs actes et de leurs interactions sociales.

Selon les sources historiques, les Dostoïevski avaient des origines dans la Szlachta (noblesse) polonaise[1]. Le père de Fedor, Mikhaïl Andréiévitch Dostoïevski, médecin militaire à l'hôpital des pauvres de Moscou, possède deux villages, acquis en 1831 : Darovoié et Tchermachnia. En 1839, il est assassiné par des serfs de Darovoié, après qu'il les eut maltraités. Sa mère, Maria Fedorovna Netchaiev, était décédée de la tuberculose deux ans plus tôt, en 1837 .

Après en avoir réussi l'examen d'entrée, Dostoïevski entre à l'École supérieure des Ingénieurs militaires de Saint-Pétersbourg en 1838. Il effectue sa scolarité dans l'indigence, n'ayant parfois pas de quoi se nourrir, car son père refuse de lui envoyer suffisamment d'argent. C'est un élève taciturne, au regard mystérieusement mélancolique, qui ne s'intègre pas bien à l'école. Il méprise le matérialisme et le carriérisme de ses camarades. En 1842, il est nommé sous-lieutenant et entre en tant que dessinateur à la direction du Génie.

En 1844, il demande sa retraite pour pouvoir se consacrer à son premier roman, Les Pauvres Gens. Publié en 1846, celui-ci connaît un succès certain et vaut à son auteur d'être remarqué par le poète Nikolaï Nekrassov et l'influent critique Vissarion Belinsky. Il se retrouve alors immédiatement propulsé au rang de « nouveau Gogol » et parade dans les cercles mondains de Saint-Pétersbourg. Il ne se sent pas du tout à l'aise dans ce milieu, où règnent la superficialité et l'hypocrisie. Bientôt, l'élite commence à railler son manque de tenue, son air abattu. Tourgueniev le surnomme le « chevalier à la triste mine ». Sa disgrâce sera accélérée avec la publication de ses romans suivants (Le Double et La Logeuse) qui ne rencontrent pas le succès escompté .

En 1847, il fréquente le cercle du socialiste utopiste modéré Mikhaïl Petrachevski, fonctionnaire au ministère des Affaires étrangères. Il n'adhère pas à un système en particulier mais cherche à maintenir une présence dans les milieux intellectuels progressistes petersbourgeois. Il ne fréquente pas ces cercles pour fomenter de réelles actions révolutionnaires mais pour discuter d'idées nouvelles et surtout, parler de l'avenir de la Russie. Cette même année, il fait sa première crise d'épilepsie, à 26 ans.

En avril 1849, les membres du cercle Petrachevski sont arrêtés, y compris Dostoïevski, qui est emprisonné. Le tsar Nicolas Ier voit resurgir le spectre du complot des décabristes, un mouvement insurrectionnel qui se propagea dans l'armée et aboutit la sanglante émeute du 14 décembre 1825. Après un simulacre d'exécution sur la place Semenov le 22 décembre 1849, le tsar ayant gracié les prisonniers au moment même où ils allaient être exécutés, la sentence est transformée en un exil de plusieurs années et la peine commuée en déportation dans un bagne de Sibérie.

En 1850, il arrive à Omsk (Souvenirs de la maison des morts, 1860)[5]. Cependant, les punitions corporelles sont épargnées à Dostoïevski sur l'intervention de M. de Grave, un officier d'origine française .

Dans les baraquements, il partage sa vie avec des forçats de droit commun, il écrit dans sa correspondance : « Je n'ai pas perdu mon temps : j'ai appris à bien connaître le peuple russe, comme peut-être peu le connaissent ». Ce qui oblige l'intellectuel de salon qu'il était à commencer son évolution : « J'étais coupable, j'en ai pleine conscience... J'ai été condamné légalement et en bonne justice... Ma longue expérience, pénible, douloureuse, m'a rendu ma lucidité... C'est ma croix, je l'ai méritée... Le bagne m'a beaucoup pris et beaucoup inculqué. »

Cette période déterminante dans son œuvre donnera lieu à plusieurs passages importants de ses livres dont une partie de Crime et Châtiment.

Sa peine se termine en 1854 et il est affecté comme officier à un régiment de Sibérie. Il recommence à écrire : les Souvenirs de la maison des morts, récit romancé de sa vie au bagne, puis une comédie, Le Bourg de Stépantchikovo et sa population. En 1857, il épouse Maria Dimitrievna Isaeva.

En 1860, il obtient sa retraite comme sous-lieutenant et l’autorisation de rentrer vivre à Saint-Petersbourg, sous la surveillance de la police secrète. Il renoue alors avec les libéraux et fonde avec son frère Mikhaïl une revue modérée et nationaliste, Le Temps. Cette revue est interdite en 1863 car un article publié est jugé trop contestataire par la censure. L'arrivée au pouvoir du nouveau tsar Alexandre II en 1855 amène de nombreuses réformes en Russie. Le servage est aboli en 1861. Malgré ces ouvertures politiques, on assiste à l'émergence de mouvements révolutionnaires violents, ce qui inquiète beaucoup Dostoïevski.

En 1862, il se rend en Europe occidentale pour la première fois et rencontre Apollinaria Souslova, qui devient sa maîtresse lors de ses périples.

Sa femme Maria, puis son frère Mikhaïl, meurent en 1864. Il est couvert de dettes et doit fournir de quoi vivre à la femme et aux enfants de son frère qu'il a adoptés. Pour échapper aux créanciers, il continue à voyager et tente de faire fortune à la roulette. On trouve des échos de sa passion maladive du jeu dans Le Joueur (1866) et L'Adolescent (1875). Il revoit la jeune Apollinaria (Paulina) Suslova, qui refuse sa proposition de mariage.

Ces années d'errance et de troubles marquent profondément Dostoïevski. Son aversion pour l'Europe et la démocratie grandit. Il commence Les Carnets du sous-sol alors qu'il veille le corps de sa femme défunte. Cette longue nouvelle sert de « laboratoire aux grands romans »: en réponse au roman Que faire ? du révolutionnaire Nikolaï Tchernychevsky, il développe une réflexion théologique sur la place de l'homme moderne et les limites de sa liberté dans la Création. Selon Dostoïevski, l'égalité démocratique n'efface pas la violence des rapports humains mais l'exacerbe au contraire. En outre, en détruisant Dieu et la monarchie, l'homme crée selon lui un monde dominé par le matérialisme, l'individualisme et l'égoïsme. Sa pensée le conduit alors à revenir dans le giron de l'Église orthodoxe et de développer sous forme de roman une philosophie religieuse orthodoxe.

Il s'oppose à la démocratie bourgeoise parce qu'elle donne une place trop importante à l'argent. Il admire en revanche la liberté de presse ; lui qui a souffert de la censure en Russie : de son incarcération en 1849, jusqu'à la publication des Frères Karamazov en 1879, Dostoïevski est toujours placé sous la surveillance des services secrets du tsar qui révisent son courrier, surveillent ses relations et contrôlent ses bagages aux frontières.

Politiquement, il est un fervent « libéral » pour son pays et surtout un nationaliste convaincu. Il aime le peuple russe avec passion et hait profondément les usuriers qui saignent le bon peuple. Le crime de Crime et Châtiment consiste d'ailleurs dans la vengeance gratuite d'un étudiant contre une usurière. Certains y ont vu l'émanation d'un antisémitisme de Dostoïevski.

Il engage Anna Grigorievna Snitkine comme secrétaire et l'épouse peu après 1867 alors qu'elle n'a qu'une vingtaine d'années. Grâce à son esprit pratique et à sa volonté, la situation du ménage s'améliore considérablement. Dostoïevski renonce au jeu et se met à travailler régulièrement, publiant ses œuvres les plus abouties : Crime et Châtiment, l'Idiot, Les Démons (appelé parfois Les Possédés).

Ce dernier roman est inspiré d'un fait divers tragique : l'assassinat par les siens d'un des membres du groupe révolutionnaire de Netchaïev. Son œuvre romanesque s'achève par Les Frères Karamazov, qu'il publie à l'âge de 60 ans. Cette œuvre incarne l'apogée de Dostoïevski. Le roman synthétise ses deux plus grands thèmes de réflexion : la force irrationnelle de la passion et l'existence ou non de Dieu. Ce livre connait un succès immense et assoit la place de Dostoïevski parmi les grands écrivains russes. En 1880, son Discours sur Pouchkine, où Dostoïevski évoque sa vision sur le rôle de la Russie dans le monde, fait de lui un héros national acclamé tant par la jeunesse, les femmes russes que par ses anciens ennemis (Ivan Tourgueniev au premier rang).

Ses dernières années restent marquées par des discours enflammés sur l'âme et le peuple russe ainsi que la supériorité du « génie russe » sur les autres nations. Il attribue un rôle messianique au peuple russe, seul peuple capable de comprendre tous les autres peuples et d'avoir ses propres spécificités nationales. Selon lui, le peuple russe a intrinsèquement pour mission d'apporter le bonheur à l'humanité.

Dostoïevski, à la fin de sa vie aura été un fervent croyant et non plus l'agnostique de ses premières années. Homme en dehors des systèmes (et notamment en dehors des Églises), il reconnaît le Christ comme prophète ayant révélé la Vérité.

Il succombe à une hémorragie le 27 janvier 1881 du calendrier julien (9 février 1881 du calendrier grégorien) et est enterré à Saint-Pétersbourg au cimetière Nevisky.

Après une vie marquée par la pauvreté, la marginalité et la maladie, ses obsèques ont lieu le 31 janvier 1881 et sont suivies par 30 000 personnes .



Tout ça pour dire :

Ceux qui comptent se mettre à la Bd, s'il vous plait faites nous au moins quelque chose qui ressemblent à un truc marrant parce que en attendant je préfère encore me taper la bio de ce vieux con de Fiodor que votre saloperie faites en 5 minutes !


Voilà c'est tout tu peux t'en aller maintenant :( !


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