Batman Arkham Origins
Par : Nygma
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Prologue - Partie 1
Publié le 14/05/13 à 00:04:06 par Nygma
« C’est pas grave ! De toute façon, Batman, il va tuer le méchant ! »
Voilà pourquoi Bruce Wayne n’avait jamais voulu d’enfants.
Tout commença au bord du Gange, dans la ville indienne de Shortû. Tandis qu’Alfred sirotait un jus de mangue à la terrasse d’un café en face de l’imposante statue de Shiva, la déesse hindoue, qui ornait la rive droite du fleuve, Bruce se baignait tranquillement dans l’eau. Soudain, le téléphone d’Alfred sonna, ce qui alerta Bruce, connaissant par cœur l’air de sa sonnerie à force de l’entendre. Le majordome décrocha.
« Par pitié Alfred, le supplia Bruce. Faites taire cet appareil au moins le temps de ma baignade ! C’est censé être un lieu de repos et de relaxation ici, pas de travail, bon Dieu ! »
Alfred, faisant mine de pas écouter son maître, engagea la conversation. Bruce plongea sa tête dans l’eau et n'en ressortit qu’après avoir atteint l’autre bout du fleuve, gagnant ainsi la rive droite. Plusieurs hindous étaient assis en tailleur, yeux fermés, en face de la statue, imposante par sa taille. Par l’aspect reposé des hommes, Bruce Wayne les enviait. Il enviait cette sérénité ambiante, la chance qu’ils avaient de pouvoir vivre en parfaite quiétude, sans avoir à se soucier de tout ce qui les entourait, comme lui avait à le faire constamment. C’était dans ces moments-là qu’il regrettait presque d’avoir choisi d’être le défenseur de Gotham, le gentil par excellence. Lui, il ne pouvait pas déserter son poste. Mais quelques jours de repos ne pouvaient pas faire de mal à Gotham City, il se décida donc à imiter les prieurs et finalement à sombrer dans un profond sommeil.
« Maître. »
« Maître ! »
Bruce ouvrit enfin les yeux. Devant lui, Alfred était assis, un verre d’eau à la main. Une jeune femme pressait délicatement la paume de sa main sur le front du milliardaire. Bruce reconnut Barbara, la charmante hôtesse privée de son jet.
« Merci, Barbara, je pense que ça va aller, fit Alfred. Il n’a fait que s’assoupir après tout. Vous pouvez disposer maintenant. Allez rejoindre ce petit veinard de pilote ! »
La demoiselle pouffa lorsqu’Alfred l’envoya vers la cabine d’une petite tape sur l’arrière-train.
« Allons bon, Monsieur Wayne, dit le majordome en s’adressant à Bruce, on s’endort au bord du Gange sans crier gare ?
-Je… Oh mon Dieu, balbutia Bruce en s’étirant. Je ne pensais pas dormir autant. Pourquoi sommes-nous partis de ce havre de paix ?
-Parce que la paix ne peut pas régner partout, répondit Alfred. Le travail, maître Wayne, toujours le travail... J'ai reçu un appel de Jim Gordon comme quoi il avait impérativement besoin de vous à Mexico.
-Mexico ? Mais pourquoi Mexico ? Son lieu de travail est Gotham City, pourquoi devrait-il se mêler de ce qui se passe là-bas ? Surtout que ce n'est pas dans le même pays !
-C'est pour ça qu'il veut nous voir, justement. Il dit que ça concerne Cobblepot.
-Mais j'ai déposé le Pingouin à Blackgate pas plus tard que la semaine passée !
-Il semblerait qu'il se soit échappé, répondit Alfred. Vous savez mieux que moi qu'il possède le plus grand réseau de pègre de Gotham, il suffit qu'il claque des doigts pour que ses hommes le sortent de sa cellule. Et on dirait même qu'il ait décidé d'étendre son entreprise hors des frontières américaines. Mais le commissaire ne m'en a pas dit beaucoup plus, il avait l'air pressé. "
Bruce but la dernière gorgée de son verre d'eau puis frotta ses lèvres du revers de sa manche. Il ferma les yeux, ses mains déposées sur son torse. Alfred aussi s'assit en face de lui.
" Curieux que vous ayez encore sommeil, monsieur Wayne, fit remarquer le majordome.
-Je n'ai pas sommeil, Alfred, dit Bruce tout en gardant les yeux clos. Je veux juste prolonger mon voyage plus longtemps. J'étais en Inde pour me reposer normalement, et maintenant on m'envoie régler les affaires des Mexicains sans prévenir.
-C'est vrai que vous aviez l'air bien, là, au pied de Shiva. Peut-être est-ce parce que vous vous ressemblez. Vous savez, dans la mythologie hindoue, Shiva est une des divinités les plus importantes. C'est elle qui s'occupe entre autres de la création de toutes les choses, mais aussi de leur destruction. Elle les réalise pour rendre le monde meilleur, et les extermine pour la même raison. Le bon et le mal réunis sous une même personne. Dites-moi, maître, auriez-vous été cherché votre inspiration en chez les Hindous ? Supprimer le mal pour créer un monde meilleur, n'est-ce pas un de vos crédos ?"
Un long silence s'installa.
"Je ne détruis pas, dit Batman. Je punis."
"Alors, Wayne, comment avez-vous trouvé ce petit voyage ?
-Revigorant, Harvey, répondit Bruce à Harvey Bullock, policier de la GCPD. Trop court mais revigorant. Encore merci pour le conseil.
-Avec plaisir, dit Bullock avant de mordre dans son donut. Mais dites-moi Wayne, continua-t-il la bouche pleine, quel mauvais vent vous a ramené auchi vite en Amérique ? Encore une affaire de femme, je chuppose ? "
Bruce rit jaune puis se leva de sa chaise.
"Non, non, pas cette fois. Arrêtez de faire le jaloux, Harvey, et dites-moi donc où je peux trouver Gordon, s'il vous plaît.
-Oh, à cette heure-ci il devrait encore être à la mairie, dit-il en s'essuyant nonchalamment la bouche pour en faire tomber les miettes. Je ne sais pas ce qu'il y fait, mais ça fait un sacré bout de temps qu'il est occupé.
-Pas grave, répondit Bruce. Merci pour l'indication."
La mairie était totalement inanimée. Ses portes closes ne laissaient personne entrer ou sortir et aucune voix ne se faisait entendre de l'intérieur.
Soudain, brisant le silence, le maire de Gotham sortit bruyamment du bâtiment, dévalant les escaliers, les bras levés vers le ciel, talonné par le commissaire Gordon qui semblait dépassé par la situation.
"Bruce !, cria-t-il. Enfin vous voilà ! Vous ne savez pas combien j'étais heureux de vous apercevoir à travers cette vitre, cela m'a donné envie de venir vous remercier avant même de vous avoir fait part de notre problème !"
Bruce Wayne, complètement décontenancé, se contenta de lancer un regard à Gordon, qui suivait le maire. Celui-ci ne fit que sourire à Bruce et lui adressa un signe de tête faisant comprendre qu'il ne savait pas ce qui se passait.
« Vous êtes mon sauveur !, continua le maire. Vous êtes d’accord, alors ? Vous allez aider Gotham City, comme vous l’avez toujours fait ? »
La boule au ventre, Bruce se demanda si Jim Gordon avait réellement révélé son secret. Il lui jeta un nouveau regard, noir cette fois, et Gordon fit signe que non, comprenant sa détresse.
« Comment ça ?, s’indigna le maire en se retournant vers le commissaire. Vous ne lui avez pas encore dit ? »
-C’est que…
-Mais enfin ! Où aviez-vous la tête, commissaire ? »
Il se tourna à nouveau vers Bruce Wayne et posa une main sur son épaule.
« Bruce, il faut que je vous demande… Vous qui avez toujours été là pour Gotham, accepteriez-vous de… voyons voir… « prêter » un peu d’argent à sa police pour qu’ils aient les moyens de se rendre à Mexico en avion, le plus rapidement et le plus discrètement possible ? Vous savez, le Pingouin s’est une fois de plus échappé, et si on apprenait qu’il s’était enfui plus de deux fois en un mois… Je, enfin je veux dire Gotham, serait la risée de l’Amérique ! Vous imaginez ma réputation si cela venait à se savoir ? Je suis certain que vous aussi vous êtes vous aussi indigné par le nombre de criminels qui pullulent ici comparé aux autres villes, mais le président ne veut rien entendre… Vous seriez d’accord ? Il n’est question que de quelques milliers de dollars, rien de plus. »
Bruce réfléchit tandis que le maire renouait sa cravate. Gordon lui fit signe d’accepter.
« C’est d’accord, dit-il en se raclant la gorge. Mais je pense que quelques agents suffiront. Gordon se chargera de prévenir Batman, cela leur facilitera la tâche. N’est-ce pas, Jim ?
-Bien sûr.
-Alors je crois que tout est réglé. Vos hommes n’auront qu’à venir avec moi, je possède quelques jets, dont un suffisant pour une dizaine de policiers. Après tout, j’ai toujours rêvé de revenir à Monaco.
-Parfait, parfait !, dit le maire en se frottant les mains. Encore merci, monsieur Wayne.
-Avec plaisir, fit Bruce. Maintenant, si vous permettez, je vous emprunte votre commissaire quelques minutes.
-Mais faites donc, cher ami, faites donc. Après tout, c’est à lui de s’occuper de ces affaires-là ! »
Bruce et Jim s’engagèrent dans une ruelle de Gotham. Gordon sortit de sa valise une grande carte qu’il déplia. La petite rue sombre, typique de la ville, était connue par Gordon pour être déserte, étroite et longue, il était ainsi persuadé que personne ne pourrait les surprendre.
« En toute logique, commença le commissaire, le Pingouin devrait être ici, dans un hangar de Mexico, où vous devrez brûler son traffic de drogue, à l’est de la ville. Pour moi, il n’y aura que très peu d’hommes, ses principaux sbires sont restés à Blackgate. Vous pourrez dans tous les cas atterrir ici, quelques centaines de mètres au sud du hangar, dit-il en montrant l’endroit sur la carte. »
Bruce acquiesca.
« Je pars quand ? »
Voilà pourquoi Bruce Wayne n’avait jamais voulu d’enfants.
Tout commença au bord du Gange, dans la ville indienne de Shortû. Tandis qu’Alfred sirotait un jus de mangue à la terrasse d’un café en face de l’imposante statue de Shiva, la déesse hindoue, qui ornait la rive droite du fleuve, Bruce se baignait tranquillement dans l’eau. Soudain, le téléphone d’Alfred sonna, ce qui alerta Bruce, connaissant par cœur l’air de sa sonnerie à force de l’entendre. Le majordome décrocha.
« Par pitié Alfred, le supplia Bruce. Faites taire cet appareil au moins le temps de ma baignade ! C’est censé être un lieu de repos et de relaxation ici, pas de travail, bon Dieu ! »
Alfred, faisant mine de pas écouter son maître, engagea la conversation. Bruce plongea sa tête dans l’eau et n'en ressortit qu’après avoir atteint l’autre bout du fleuve, gagnant ainsi la rive droite. Plusieurs hindous étaient assis en tailleur, yeux fermés, en face de la statue, imposante par sa taille. Par l’aspect reposé des hommes, Bruce Wayne les enviait. Il enviait cette sérénité ambiante, la chance qu’ils avaient de pouvoir vivre en parfaite quiétude, sans avoir à se soucier de tout ce qui les entourait, comme lui avait à le faire constamment. C’était dans ces moments-là qu’il regrettait presque d’avoir choisi d’être le défenseur de Gotham, le gentil par excellence. Lui, il ne pouvait pas déserter son poste. Mais quelques jours de repos ne pouvaient pas faire de mal à Gotham City, il se décida donc à imiter les prieurs et finalement à sombrer dans un profond sommeil.
« Maître. »
« Maître ! »
Bruce ouvrit enfin les yeux. Devant lui, Alfred était assis, un verre d’eau à la main. Une jeune femme pressait délicatement la paume de sa main sur le front du milliardaire. Bruce reconnut Barbara, la charmante hôtesse privée de son jet.
« Merci, Barbara, je pense que ça va aller, fit Alfred. Il n’a fait que s’assoupir après tout. Vous pouvez disposer maintenant. Allez rejoindre ce petit veinard de pilote ! »
La demoiselle pouffa lorsqu’Alfred l’envoya vers la cabine d’une petite tape sur l’arrière-train.
« Allons bon, Monsieur Wayne, dit le majordome en s’adressant à Bruce, on s’endort au bord du Gange sans crier gare ?
-Je… Oh mon Dieu, balbutia Bruce en s’étirant. Je ne pensais pas dormir autant. Pourquoi sommes-nous partis de ce havre de paix ?
-Parce que la paix ne peut pas régner partout, répondit Alfred. Le travail, maître Wayne, toujours le travail... J'ai reçu un appel de Jim Gordon comme quoi il avait impérativement besoin de vous à Mexico.
-Mexico ? Mais pourquoi Mexico ? Son lieu de travail est Gotham City, pourquoi devrait-il se mêler de ce qui se passe là-bas ? Surtout que ce n'est pas dans le même pays !
-C'est pour ça qu'il veut nous voir, justement. Il dit que ça concerne Cobblepot.
-Mais j'ai déposé le Pingouin à Blackgate pas plus tard que la semaine passée !
-Il semblerait qu'il se soit échappé, répondit Alfred. Vous savez mieux que moi qu'il possède le plus grand réseau de pègre de Gotham, il suffit qu'il claque des doigts pour que ses hommes le sortent de sa cellule. Et on dirait même qu'il ait décidé d'étendre son entreprise hors des frontières américaines. Mais le commissaire ne m'en a pas dit beaucoup plus, il avait l'air pressé. "
Bruce but la dernière gorgée de son verre d'eau puis frotta ses lèvres du revers de sa manche. Il ferma les yeux, ses mains déposées sur son torse. Alfred aussi s'assit en face de lui.
" Curieux que vous ayez encore sommeil, monsieur Wayne, fit remarquer le majordome.
-Je n'ai pas sommeil, Alfred, dit Bruce tout en gardant les yeux clos. Je veux juste prolonger mon voyage plus longtemps. J'étais en Inde pour me reposer normalement, et maintenant on m'envoie régler les affaires des Mexicains sans prévenir.
-C'est vrai que vous aviez l'air bien, là, au pied de Shiva. Peut-être est-ce parce que vous vous ressemblez. Vous savez, dans la mythologie hindoue, Shiva est une des divinités les plus importantes. C'est elle qui s'occupe entre autres de la création de toutes les choses, mais aussi de leur destruction. Elle les réalise pour rendre le monde meilleur, et les extermine pour la même raison. Le bon et le mal réunis sous une même personne. Dites-moi, maître, auriez-vous été cherché votre inspiration en chez les Hindous ? Supprimer le mal pour créer un monde meilleur, n'est-ce pas un de vos crédos ?"
Un long silence s'installa.
"Je ne détruis pas, dit Batman. Je punis."
"Alors, Wayne, comment avez-vous trouvé ce petit voyage ?
-Revigorant, Harvey, répondit Bruce à Harvey Bullock, policier de la GCPD. Trop court mais revigorant. Encore merci pour le conseil.
-Avec plaisir, dit Bullock avant de mordre dans son donut. Mais dites-moi Wayne, continua-t-il la bouche pleine, quel mauvais vent vous a ramené auchi vite en Amérique ? Encore une affaire de femme, je chuppose ? "
Bruce rit jaune puis se leva de sa chaise.
"Non, non, pas cette fois. Arrêtez de faire le jaloux, Harvey, et dites-moi donc où je peux trouver Gordon, s'il vous plaît.
-Oh, à cette heure-ci il devrait encore être à la mairie, dit-il en s'essuyant nonchalamment la bouche pour en faire tomber les miettes. Je ne sais pas ce qu'il y fait, mais ça fait un sacré bout de temps qu'il est occupé.
-Pas grave, répondit Bruce. Merci pour l'indication."
La mairie était totalement inanimée. Ses portes closes ne laissaient personne entrer ou sortir et aucune voix ne se faisait entendre de l'intérieur.
Soudain, brisant le silence, le maire de Gotham sortit bruyamment du bâtiment, dévalant les escaliers, les bras levés vers le ciel, talonné par le commissaire Gordon qui semblait dépassé par la situation.
"Bruce !, cria-t-il. Enfin vous voilà ! Vous ne savez pas combien j'étais heureux de vous apercevoir à travers cette vitre, cela m'a donné envie de venir vous remercier avant même de vous avoir fait part de notre problème !"
Bruce Wayne, complètement décontenancé, se contenta de lancer un regard à Gordon, qui suivait le maire. Celui-ci ne fit que sourire à Bruce et lui adressa un signe de tête faisant comprendre qu'il ne savait pas ce qui se passait.
« Vous êtes mon sauveur !, continua le maire. Vous êtes d’accord, alors ? Vous allez aider Gotham City, comme vous l’avez toujours fait ? »
La boule au ventre, Bruce se demanda si Jim Gordon avait réellement révélé son secret. Il lui jeta un nouveau regard, noir cette fois, et Gordon fit signe que non, comprenant sa détresse.
« Comment ça ?, s’indigna le maire en se retournant vers le commissaire. Vous ne lui avez pas encore dit ? »
-C’est que…
-Mais enfin ! Où aviez-vous la tête, commissaire ? »
Il se tourna à nouveau vers Bruce Wayne et posa une main sur son épaule.
« Bruce, il faut que je vous demande… Vous qui avez toujours été là pour Gotham, accepteriez-vous de… voyons voir… « prêter » un peu d’argent à sa police pour qu’ils aient les moyens de se rendre à Mexico en avion, le plus rapidement et le plus discrètement possible ? Vous savez, le Pingouin s’est une fois de plus échappé, et si on apprenait qu’il s’était enfui plus de deux fois en un mois… Je, enfin je veux dire Gotham, serait la risée de l’Amérique ! Vous imaginez ma réputation si cela venait à se savoir ? Je suis certain que vous aussi vous êtes vous aussi indigné par le nombre de criminels qui pullulent ici comparé aux autres villes, mais le président ne veut rien entendre… Vous seriez d’accord ? Il n’est question que de quelques milliers de dollars, rien de plus. »
Bruce réfléchit tandis que le maire renouait sa cravate. Gordon lui fit signe d’accepter.
« C’est d’accord, dit-il en se raclant la gorge. Mais je pense que quelques agents suffiront. Gordon se chargera de prévenir Batman, cela leur facilitera la tâche. N’est-ce pas, Jim ?
-Bien sûr.
-Alors je crois que tout est réglé. Vos hommes n’auront qu’à venir avec moi, je possède quelques jets, dont un suffisant pour une dizaine de policiers. Après tout, j’ai toujours rêvé de revenir à Monaco.
-Parfait, parfait !, dit le maire en se frottant les mains. Encore merci, monsieur Wayne.
-Avec plaisir, fit Bruce. Maintenant, si vous permettez, je vous emprunte votre commissaire quelques minutes.
-Mais faites donc, cher ami, faites donc. Après tout, c’est à lui de s’occuper de ces affaires-là ! »
Bruce et Jim s’engagèrent dans une ruelle de Gotham. Gordon sortit de sa valise une grande carte qu’il déplia. La petite rue sombre, typique de la ville, était connue par Gordon pour être déserte, étroite et longue, il était ainsi persuadé que personne ne pourrait les surprendre.
« En toute logique, commença le commissaire, le Pingouin devrait être ici, dans un hangar de Mexico, où vous devrez brûler son traffic de drogue, à l’est de la ville. Pour moi, il n’y aura que très peu d’hommes, ses principaux sbires sont restés à Blackgate. Vous pourrez dans tous les cas atterrir ici, quelques centaines de mètres au sud du hangar, dit-il en montrant l’endroit sur la carte. »
Bruce acquiesca.
« Je pars quand ? »
14/05/13 à 16:47:18
Merci de t'y intéresser Droran :)
14/05/13 à 09:35:51
Sympathique, même si l'histoire ne tient pas totamement debout. Attention à bien présenter les lieux et les personnages.
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