Les chroniques d'Aoflir Tome I, Sagesse
Par : Redfl0
Genre : Fantastique , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 25
Publié le 28/04/13 à 12:14:45 par Redfl0
Aoflir descendait tranquillement la montagne où il était perché avec l'aide de ses ailes d'un vert majestueux grâce aux brillants rayons de soleils qui dominaient la plaine. Le dragon se sentait bien sous un tel temps. Il avait aussi bien récupéré de sa longue marche jusqu'ici. Aoflir était néanmoins préoccupé par les événements prochains qui étaient à venir. Il atterrit, pas trop près du village : il ne souhaitait pas se faire trahir par une flèche pendant son vol. Le dragon aurait plus de chances de se faire rapidement accepter en arrivant par la terre. Il regarda le petit village : il n'y avait aucune protection. Seulement quelques petits piquets de bois rudimentaire pour montrer les limites du hameau. Aoflir vit au loin un homme cultivant son blé qui avait lui aussi remarqué la présence du jeune dragon, mais il ne paniquait pas à la vue de la créature. Non, au contraire :il hurla de joie et appela ses congénères, qui, d'un air ébahi regardaient le majestueux dragon approcher de ce qui semblait être l'entrée du village, car deux piquets plus grands que les autres montraient une plus grosse ouverture, suivi d'un sentier en terre. Aoflir s'y engouffra. Plusieurs humains regardaient le jeune dragon sans s'en approcher, sûrement par crainte de se faire attaquer, mais aucun ne semblait exprimer de la peur, ce qui plut à Aoflir.
« Finalement ce sera peut-être plus simple que prévu. » se dit-il, commençant alors à rendre un sourire à l’accueil des villageois.
Une personne de plus grand titre, de par sa cape en peau d'un certain animal ainsi qu'une petite épée à son flanc gauche barrait maintenant le chemin à Aoflir. Les deux se regardèrent, puis ce fut l'homme qui parla en premier.
-Bonjour majestueux dragon, je suis Torleïf, je suis en quelque sorte le « chef » du village. Qu'est ce qui peut vous amener en un lieu si égaré de vos terres ?
-Bonjour, je suis enchanté. Mon nom est Aoflir, je ne vous veux aucun mal, je cherche juste un endroit pour me reposer et me restaurer, je chercherais aussi quelques réponses à d'importantes affaires, c'est pour cela que je vous demande hospitalité juste le temps de quelques jours.
-Et je te l'accorde, Aoflir. Tu peux rester chez nous autant que tu le souhaites, je pense parler pour tout le monde quand je dis qu'un dragon chez nous est le plus grand honneur que nous pouvions avoir. Ma maison est ta maison, noble dragon.
Aoflir n'en revenait pas. Leur chef avait sans broncher accepté de le loger, il penserait qu'il y'aurait méfiance envers lui, mais le village avait tendu les bras vers le jeune dragon sans rien demander d'autres, Aoflir se sentait apprécier d'un peuple pour la première fois depuis longtemps.
-Où puis-je trouver refuge ?
-Oh, oui, bien sûr, je ne vais pas faire attendre un si majestueux invité. Nous avons une propriété qui n'est plus habité depuis que ses résidents sont morts. Triste histoire. Un assassin, mais il a été arrêté et tué, n'ayez crainte.
-Toutes mes condoléances pour eux. Fit Aoflir, affligé par la mort de si honnêtes hommes.
-Je te laisse un « guide » que tu pourras demander à ta guise, il fera tout ce qu'il faudra pour toi, dans la limite du raisonnable bien sûr.
-Merci beaucoup, mais vous ne restez pas ?
-Cela aurait été avec plaisir, mais en tant que chef de ce village, j'ai des obligations. Cependant, nous préparons un grand banquet en honneur des bonnes récoltes de l'année passée. Nous serions honorés de la présence d'un être si pur tel que vous.
Aoflir se sentait flatté par tant de bonté venant de ces hommes. Il accepta bien évidemment l'offre de l'humain. Ce dernier s'en alla et laissa le jeune dragon seul avec pour unique compagnie un petit garçon. Il devait avoir 13 ans environ, les cheveux bruns et les yeux d'une couleur similaire, il atteignait environ 1m40. Le jeune ne semblait pas à l'aise en la compagnie du dragon, ce qu'Aoflir remarqua, aussi tenta-t-il de le rassurer :
-Comment t’appelles-tu, jeune garçon ? Demanda Aoflir d'un ton doux et amical.
-Je...je m'appelle Orlan.
-Bien, peux-tu me conduire « chez moi », s'il te plaît.
-Oui bien sûr, monsieur...
Aoflir rit ce qui fit un peu peur au garçon, mais Aoflir posa délicatement sa patte sur le jeune humain et dit doucement :
-Tu peux m’appeler Aoflir, je ne vais pas te manger tu sais, je suis content d'avoir un peu de compagnie, dans ma tranche d'âge qui plus est, je suis ravi d'être avec toi Orlan.
Orlan sembla touché par ses paroles et envoya un grand sourire au dragon, qui ne put s’empêcher de lui renvoyer ce sourire. Ils partirent tous les deux vers la partie nord du village, opposé au versant où Aoflir observait le hameau hier.
« Finalement ce sera peut-être plus simple que prévu. » se dit-il, commençant alors à rendre un sourire à l’accueil des villageois.
Une personne de plus grand titre, de par sa cape en peau d'un certain animal ainsi qu'une petite épée à son flanc gauche barrait maintenant le chemin à Aoflir. Les deux se regardèrent, puis ce fut l'homme qui parla en premier.
-Bonjour majestueux dragon, je suis Torleïf, je suis en quelque sorte le « chef » du village. Qu'est ce qui peut vous amener en un lieu si égaré de vos terres ?
-Bonjour, je suis enchanté. Mon nom est Aoflir, je ne vous veux aucun mal, je cherche juste un endroit pour me reposer et me restaurer, je chercherais aussi quelques réponses à d'importantes affaires, c'est pour cela que je vous demande hospitalité juste le temps de quelques jours.
-Et je te l'accorde, Aoflir. Tu peux rester chez nous autant que tu le souhaites, je pense parler pour tout le monde quand je dis qu'un dragon chez nous est le plus grand honneur que nous pouvions avoir. Ma maison est ta maison, noble dragon.
Aoflir n'en revenait pas. Leur chef avait sans broncher accepté de le loger, il penserait qu'il y'aurait méfiance envers lui, mais le village avait tendu les bras vers le jeune dragon sans rien demander d'autres, Aoflir se sentait apprécier d'un peuple pour la première fois depuis longtemps.
-Où puis-je trouver refuge ?
-Oh, oui, bien sûr, je ne vais pas faire attendre un si majestueux invité. Nous avons une propriété qui n'est plus habité depuis que ses résidents sont morts. Triste histoire. Un assassin, mais il a été arrêté et tué, n'ayez crainte.
-Toutes mes condoléances pour eux. Fit Aoflir, affligé par la mort de si honnêtes hommes.
-Je te laisse un « guide » que tu pourras demander à ta guise, il fera tout ce qu'il faudra pour toi, dans la limite du raisonnable bien sûr.
-Merci beaucoup, mais vous ne restez pas ?
-Cela aurait été avec plaisir, mais en tant que chef de ce village, j'ai des obligations. Cependant, nous préparons un grand banquet en honneur des bonnes récoltes de l'année passée. Nous serions honorés de la présence d'un être si pur tel que vous.
Aoflir se sentait flatté par tant de bonté venant de ces hommes. Il accepta bien évidemment l'offre de l'humain. Ce dernier s'en alla et laissa le jeune dragon seul avec pour unique compagnie un petit garçon. Il devait avoir 13 ans environ, les cheveux bruns et les yeux d'une couleur similaire, il atteignait environ 1m40. Le jeune ne semblait pas à l'aise en la compagnie du dragon, ce qu'Aoflir remarqua, aussi tenta-t-il de le rassurer :
-Comment t’appelles-tu, jeune garçon ? Demanda Aoflir d'un ton doux et amical.
-Je...je m'appelle Orlan.
-Bien, peux-tu me conduire « chez moi », s'il te plaît.
-Oui bien sûr, monsieur...
Aoflir rit ce qui fit un peu peur au garçon, mais Aoflir posa délicatement sa patte sur le jeune humain et dit doucement :
-Tu peux m’appeler Aoflir, je ne vais pas te manger tu sais, je suis content d'avoir un peu de compagnie, dans ma tranche d'âge qui plus est, je suis ravi d'être avec toi Orlan.
Orlan sembla touché par ses paroles et envoya un grand sourire au dragon, qui ne put s’empêcher de lui renvoyer ce sourire. Ils partirent tous les deux vers la partie nord du village, opposé au versant où Aoflir observait le hameau hier.
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